Je vais vous raconter une rencontre qui ma assez marquer. Une rencontre avec laquelle je me sentais bien (très rare). Malheureusement cette rencontre ne ce n'est pas passer comme prévue.
Quamarie a 11 ans d'apparence dans cette rencontre.
Je m'étais caché dans les buissons, j'entendais des bruits de pas. C'était l'heure du repas. Il ou plutôt elle arrive à petits pas en ramassant des baies et des fleurs, elle s'en met une dans les cheveux. Elle détourne son regard, c'est le moment. Je m'avance vers elle en faisant attention à ce qu'elle ne me remarque pas. Quand je suis tout près d'elle je la tire par les plis de sa robe. Elle sursaute, bonne réaction maintenant qu'elle a eu peur elle pourra être encore plus attendri sur moi. Je pris un petit air triste puis dit:
-Madame, madame! Je me suis perdu et je ne trouve plus mes parents. J'ai faim et je suis fatigué. Pouvez-vous me montre le chemin vers la sortie de la forêt?
-Bien sur que je vais te montrer le chemin. Tient si tu à faim tu peut prendre des baies que j'ai ramassées je pensais les manger chez moi mais tu à l'air d'en avoir bien plus besoin que moi.
Elle était gentille et attendrie par mon apparence de petite fille. Jusque-là c'est un plan sans embrouille. Il faut juste qu'elle commette une erreur pour que je la mange. Je ne fis de ses fruits. Elle m'accompagna chez elle. C'était une maison pauvre mais belle. La lumière s'infiltrait par les nombreuses fenêtres creuser dans le bois. Un portrait était tourné de sorte à ce qu'on ne puisse pas le voir. Un vase était posé sur une grande table en bois très simple. Elle mis les fleurs dedans ce qui mettait de la couleur dans la pièce. Je regardais la maison dans tous ces détails. Le seul point qui pouvait faire paraître cette maison un peu lugubre était la toile d'araignée dans un coin de la pièce mais même là le soleil la faisait ressembler à du fil d'argent.
-Dis-moi tu à une maison? Des parents? Si tu veux je peux t'héberger pendant un moment.
-Non madame. Je n'ai ni maison ni parente. Cela me ferait plaisir si vous m'hébergiez.
Allez craque! Fait une gaffe! J'en ai marre de jouer la gentille petite fille. Tout d'un coup elle me prit dans ses bras sans rien dire et ce mis à pleurer. Qu'est-ce qui sa passais? Je n'y comprenais rien.
-Désolé, je me suis laissé emporté. Excuse moi.
-Quelque chose ne va pas madame?
-Non, non rien je t'assure. je suis désolé si tu veux dormir ici tu devras dormir sur le canapé je n'ai moi-même pas de chambre et d'habitude j'y dors mais cette fois-ci je me contenterais du tapis
Je n'y croyais pas trop. Mais bon il ne faut pas être désagréable. Pour l'instant pas de grosse gaffe. Le temps passait et l'on commençait à s'ennuyer alors elle me demanda si je savais jouer aux échecs, je lui répondis que non alors elle me montra. Les pions, les tours, les fous, les cavaliers, la reine et le roi. Je trouvais ce jeu stupide: ce jeu n'était-il pas censé représenter deux armées en train de se battre? Dans ce cas pourquoi tout juger les combats sur la vitesse et l'emplacement par rapport à l'autre pièce? Et pourquoi quand le roi était battu tout le jeu s'arrêtait? C'était idiot, vraiment idiot, je reversais le jeu par terre.
-Ce jeu est stupide: Quand un roi meurt on n'arrête pas la guerre, on en trouve un nouveau. Dans un combat si des personnes ne sont pas proches elles peuvent quand même se combattre si elles ont des arcs ou des pouvoirs. On peut gagner même si on n'est pas rapide. Pourquoi dit-on qu'on mange les pièces? Ce n'est pas censé être un combat entre deux armées? On dirait plus un combat d'animaux carnivores si vous voulez mon avis!
Elle commença à ramasser les pièces de l'échiquier sans ne rien dire jusqu'à quelle est tout ramasser et qu'elle est apporter une feuille et un crayon.
-Je suis désolé... Si tu veux nous pouvons inventer de nouvelles règles qui te conviendraient mieux.
-Ho oui, ça ça me plairait vraiment!
Pour une fois j'avais vraiment dit la vérité. On écrivit des nouvelles régler comme par exemple: Quand le roi meurt on n'arrête pas le jeu, on fais en sorte que la pièce ayant comme on le dis maintenant "tuer" le plus de pièces. Et les pions pouvaient maintenant tuer non plus juste à au diagonal mas aussi dans tous les sens. Et puis son jamais on n'était sur une pièce on avait deux choix sois eu la tuai, soi on pouvait essayer de la convaincre de venir dans l'armée qui lui était ennemie; on lançait un dé, si le chiffre était supérieur à 3 alors on avait réussi à le convaincre et il venait dans l'armée sinon on n'avait pas réussi à le convaincre c'est lui qui nous tuait. On jouait bien ensemble et je commençais à l'apprécier. Finalement à la fin de la partie je regardai son visage, elle souriait mais on pouvait voir une grande tristesse dans ces yeux.
-Quelque chose ne va pas?
-Non, non rien.
Je la baffais avec un air en colère. Elle me regarda d'un air étonner et surprise.
-Comment ça rien!? Depuis tout à l'heure tu as l'air triste et tu voudrais me faire croire que tout va bien! Expliques-toi bordel!
Mon comportement avait changé du tout au tout. Mais c'est juste que maintenant je ne la considérais plus comme un simple repas. Elle commença à pleurer.
-... Tu me fais penser à ma fille.
En disant ces mots elle alla retourner le portrait et l'on put voir dessus elle est deux personnes que j'avais rencontré quelques jours avant : un homme d'une grande taille aux cheveux bruns et aux yeux bleus mer et une petite, elle me ressemblant étrangement bien qu'elle n'ait ni ruban ni yeux violets. Non ces yeux à elle étaient bleus tirant sur le vert émeraude. Et enfin elle, toute resplendissante avec un grand sourire, ses cheveux blond brun et ses yeux émeraude. C'était un beau portrait de famille que voilà. Elle était en pleuré maintenant. Dire que c'était moi qui avais tué son gosse et son mari.
-S'il te plaît reste avec moi! Je t'élèverais comme mon propre enfant! je ne veux plus être seul!
À la fin de ça phrase ces mots devenaient troubles et elle s'effondra à terre devant moi. Je posais ma main sur à tête en lui répondant.
-Pauvre femme. S'il y a une chose que tu ne sais pas c'est toi est actuellement à terre devant celle qui à tuer ta famille. Et que je n'ai pas 11 ans comme je voudrais le faire croire mais 32. Tu pleures sur ta fille et ton marie mais sache que ta fille n'avait pas de cervelle et ton marie poing de cœur. Ne les pleurent plus tes lames ne font que faire ressortir ma colère.
Il fallut que je lui donne un coup dans le ventre avec mon genou pour qu'elle arrête enfin de pleurer. Quand elle en eut fini je dis.
-Maintenant profite de la vie, trouves-toi quelqu'un de nouveau à qui parler pour arrêter d'être seul. Tu as de l'esprit, du charme et du cœur ne les gâches pas.
À ce moment j'ouvris la porte pour sortir de la maison en reversant le panier de baies qu'elle avait cueilli . J'avais un regard de femme à ce moment dès que je fus dehors à l'abri des regards je courus en larmes comme une petite fille venant de se faire disputer par ses parents et m'assis à côté d'un arbre en hurlant de colère car je ne savais pas suivre mes propres conseils. Mes mots se répétaient dans ma tête "maintenant profiter de la vie, trouves-toi quelqu'un de nouveau à qui parler pour arrêter d'être seul. Tu as de l'esprit, du charme et du cœur ne les gâches pas." et puis finalement seulement de ma voix étouffée par mais pleures je disais.
-Tu as de l'esprit, du charme et du cœur ne les gâches pas. Tu as de l'esprit, du charme et du cœur pourquoi les gâches tu?
Le lendemain j'avais tout oublié de cette histoire et ma vie reprenait un cours "normal".
Aujourd'hui je me demande ce qu'est devenu cette femme. Sois elle est morte sois elle à dans les 65 et elle mène une vie de vielle femme.