Un rafraîchissement de la mémoire

(hrp : je rappelle que Nolhan n'a toujours pas rencontré Rosiel donc il n'a pas de toit et pas grand-chose à manger)

Aujourd'hui était un plutôt bon jour : il faisait plutôt beau et je n'avais pas trop faim... À qui tu veux faire croire ça!? Il faisait trop chaud et j'avais l'estomac dans les talons voilé la vérité! En plus j'avais mal aux pieds à force de marcher et il y a plein de boulangerr dans ce coin, c'est dangereux. En voilà justement un, j'espère qu'il ne me remarquera pas... Il m'a remarqué! Au secours!

Je commençais à courir tandis que la vielle personne ne commençais à alerter ses coleges qu'il avait retrouvé le "chenapans" qui volent leurs brioches et leurs pains. Pauvre de moi, j'avais dix boulangers à mes trousses qui n'allaient pas me lâcher de si tot. Je tournais à chaque coin de rue jusqu'au moment où je compris que je n'avais aucune chance et j'allais me réfugier dans le dos d'un monsieur

-Aidez-moi, vite! S'il vous plai! Ils me veulent du mal!

Je m'accrochais aux vêtements de son dos et fermais les yeux, l'air apeurer. Esperons qu'il m'aidera.

rahhhh ! enfin la sainte paix! je venais de terminer un job assez payant pour un vieux maniaque qui croyait être poursuivi par...des cultistes fous ou un truc dans le même genre même si je suis personnellement touché par ce genre d'histoires j'était cotent d'en avoir fini avec le petit vieux: il me tapais vraiment sur les nerfs et il avait une saleté de coup de canne pour quelqu'un qui dépassait les quatre-vingt-dix ans !

c'est pendant que j'essuyais mon pic à glace que j'entendit des bruits de course et avant que je comprenne ce qui se passait quelqu'un s'était réfugié derrière moi pour échapper à...quinze personnes !? je me tapais le front avec un grognement exaspéré

-c'est quoi cette merde !? pas moyen d'avoir UNE soirée sans que quelque chose me tombe dessus !?

-relaxe un peu elric, tout est cool ! entendis-je derrière moi alors que ma partenaire démoniaque aux habits...faciles à remarquer et aux longs cheveux verts faisait son apparition.

avant que je puisse lui répondre elle déploya ses longues ailes, exhibant des ongles tranchants comme des rasoirs. un sourire indéchiffrable étirant ses lèvres

-C'est quoi cette merde !? Pas moyen d'avoir UNE soirée sans que quelque chose me tombe dessus !?

-Relaxe un peu Elric, tout est cool !

Derrière "Elric" et moi je voyais une jeune femme. Elle avait les cheveux verts et aux affaires assez... je ne saurais comment décrire ça sent cité des mots exprimant trop bien ma pensée.

Elle déploya deux ailes qu'elle avait dans le dos et montra de grandes griffes qui suffire a faire rebrousser chemins à mes poursuivants qui pensais quand même qu'un croissant volé valais moins que leurs vie, il aurait été d'ailleurs bien inconscient de continuer à me poursuivre pour ses sottises alors que il y avais... "ça", appelons la "ça", qui était devant eux. D'ailleurs moi aussi j'avais un peu peur de "ça", bien que je li soit reconnaissant de m'avoir sauvée des boulangers. Je regardais l'homme et "ça" d'un air reconnaissant.

-Merci de m'avoir sauvé, les boulangers sont de plus en plus agressifs de nos jours.

Je rigolais à ma petite blague qui n'tait en fait pas très drôle, je fait souvent des blagues nuls.

Je regarda l'hommes, bizarrement dès que je le regardais c'étais comme-ci je le connaissais déjà et je pensais directement que je pouvais avoir confiance en lui. Je lui souriait et passais ma mains derrière mon cou comme j'avais l'habitude de le faire quand j'était un peu gêner ou quand j'était heureux.

(excuse les réponses courtes mais à cette heure ci mes médocs sont en train de me lâcher >.<)

les boulangers n'avaient pas l'air de vouloir tester le tranchant des griffes de morrigan et déguerpirent sans demander leur reste. Nous laissant seuls moi, morrigan et le gamin

-Merci de m'avoir sauvé, les boulangers sont de plus en plus agressifs de nos jours.

mon visage s'assombrit un peu pendant que je poussais un long, long soupir découragé, devinant ce que ces types lui voulaient: après tout c'était pas compliqué

-ou alors ils en ont marre de se faire piquer leur pain et ils ont décidés de s'unir pour régler ça, mais ce sont pas mes oignons...tant qu'ils ne me posent pas de questions la dessus et si ils le font moi je ne te couvre pas t'es prévenu ! si ils s'en prennent à toi tu peux compter sur mon aide mais sinon...

-ne soit pas trop dur avec lui elric tu vois bien qu'il n'as que la peau sur les os. Tu voudrait qu'il fasse quoi ?

-je sais morrigan je sais: c'est pour ça que je ne compte pas le dénoncer, mais tu devrais penser à aller piquer ta bouffe ailleurs: nous ne seront pas toujours dans le coin pour te tirer d'affaire. au fait tu l'a déjà entendu mais je m'appelle elric et elle c'est morrigan

-et toi ? tu t'appelle comment ? demanda cette dernière en l'observant un peu...elle sentait bien ce qu'elle croyait chez lui ou se faisait-elle des idées ?

L'homme soupira.

-Ou alors ils en ont marre de se faire piquer leur pain et ils ont décidés de s'unir pour régler ça, mais ce sont pas mes oignons...tant qu'ils ne me posent pas de questions la dessus et si ils le font moi je ne te couvre pas t'es prévenu ! Si ils s'en prennent à toi tu peux compter sur mon aide mais sinon...

-Ne soit pas trop dur avec lui Elric tu vois bien qu'il n'as que la peau sur les os. Tu voudrait qu'il fasse quoi ?

-Je sais Morrigan je sais: c'est pour ça que je ne compte pas le dénoncer, mais tu devrais penser à aller piquer ta bouffe ailleurs: nous ne seront pas toujours dans le coin pour te tirer d'affaire. Au fait tu l'a déjà entendu mais je m'appelle Elric et elle c'est Morrigan

-Et toi ? Tu t'appelle comment ?

Je souriais. Ils avaient l'air gentils.

-Je m'appelle Nolhan. Enfin... je crois.

Je soupirais. Je ne suis même pas capable de savoir si "Nolhan" est vraiment mon nom. Comment est-ce qu'on pouvais prendre au sérieux quelqu'un qui ne connaît même pas son propre prénom.

(pas grave, mes post sont encore plus court.)

apparemment soulagé de ne plus avoir les boulangers au trousses notre petit voleur nous sourit largement et faillit me donner une crise cardiaque

-Je m'appelle Nolhan. Enfin... je crois.

j'arrêtais de respirer pendant quelques secondes, raide comme une barre de fer: Est-ce que ça pouvait être le nolhan que je connaissais il lui ressemblait en tout cas mais comme il semblait...pas tout à fait lui-même je préférais essayer de trouver un moyen d'être sûr de mon coup

indifférent à ma confusion et à mes dilemmes internes ma collègue venait de se jeter sur nolhan: je comprenais très bien la panique que je lisait sur son visage mais je connaissais suffisamment la succube pour savoir ce qu'elle voulait faire et contre toute attente ce n'était rien de dangereux

-oh je le crois pas! il est trop mignon ce petit chou c'est décidé je l'adopte !

elle se contenta de lui faire un câlin des plus enthousiastes, frottant affectueusement sa joue contre la sienne et refusant de le relâcher embarrassant et bizarre ouais mais sans plus et de toute façon j'avais une ou deux questions pour lui alors ça m'arrangeait

-t'en fait pas, elle devrait se calmer un peu dans deux ou trois minutes. en attendant -j'était tellement tendu que ma respiration bloqua un instant- j'ai une question pour toi: le nom Elric edwards ça te dit quelque chose ?

dis-je en empoignant tout de suite mon bracelet sans même prendre la peine d'essayer de cacher mon pouvoir. si c'était bien lui alors j'avait assez peur de ce que son absence de réactions pouvait vouloir dire mais j'écartais cette pensée de mon esprit pour me concentrer sur ce qu'il disait

J'eut à peine le temps de voir Elric prendre un air légèrement confus que Morrigan se jeta sur moi. Je commençais à me débattre, j'étais affolé. Qu'est-ce qui se passait?

-Oh je le crois pas! il est trop mignon ce petit chou c'est décidé je l'adopte !

Quoi? C'est quoi ce délire? Je ne voulais pas être adopté moi! Je commence à avoir peu moi, d'autant plus que Morrigan commençais un peu à m'étouffer dans son étreinte.

-t'en fait pas, elle devrait se calmer un peu dans deux ou trois minutes. en attendantj'ai une question pour toi: le nom Elric edwards ça te dit quelque chose ?

Je regardais l'homme. Elric Edwards... ça me disait quelque chose mais autant ne pas prendre de risque inutile puisque je ne me rappelais pas de la nature de ce nom et qu'en plus il y avait des grandes chances que ce soit en auto persuasion que je pense ça.

-Non, ça ne me dit rien...

Si c'est quelqu'un que j'ai connu avant je ne pouvais bien malheureusement pas m'en rappeler. Je voudrais tellement pouvoir me rappeler...

(désoler, ce post est vraiment très court)

et ben merde ! une réaction !? m-mais...il me mentais pourquoi au juste !? Perplexe je fermais les yeux et repensais une petite seconde à ce qui venait de se passer

...mon bracelet avait réagi quand nolhan avait prononcé le mot ''rien'' mais je n'avais pas eu le temps de me concentrer assez pour bien voir son tell...bon, autant recommencer

-euh...morrigan. lâche-le s'il te plait. je n'ai pas entendu ce qu'il vient de dire. tu pourrais répéter nolhan ?

cette fois j'étais prêt et je me concentrait. la noirceur envahit mon champ de vision, le silence se fit partout autour de moi et tout mes sens se concentrèrent sur nolhan

-Non

je l'observais et ne trouvais rien d'anormal. j'avais pas déjà vu sa boucle d'oreille quelque part moi ?

-ça ne me

toujours rien de bizarre mais je restait alerte

-dit rien...

il posât négligemment une main sur sa boucle d'oreille...

la boucle d'oreille...la boucle d'oreille...rien mais il avait réagi a la-

oh merde...Est-ce que ça pouvait être

si j'avais raison alors je tenais enfin ce que je cherchais !

-dis...j'ai déjà vû cette boucle d'oreille quelque part. comment as-tu mis la main dessus ?

je croyais connaitre la réponse mais je pouvais quand-même demander

(pas super long mais j'étais quand-même inspiré ce coup-ci. ça devrait aller en s'améliorant XD)

-Euh...morrigan. lâche-le s'il te plait. je n'ai pas entendu ce qu'il vient de dire. tu pourrais répéter nolhan ?

je répétait ma phrase en posant, sans m'en rendre compte, ma main sur ma boucle d'oreille.

-dis...j'ai déjà vû cette boucle d'oreille quelque part. comment as-tu mis la main dessus ?

J'avais presque l'impression d'avoir les larmes aux bords des yeux tellement ce passé inconnu me stressais. Je répondis d'une voix triste.

-Je suis désolé, je ne sais rie d'où j'ai eu cette boucle d'oreille... je suis désolé

J'éprouvais le besoin de m'excuser comme a chaque fois. C'est tellement idiot pourtant. Une larme tombait. Je pleure et je stresse vraiment trop facilement moi.

(bon bha moi c'est pas mieux hein.... jvais essayer de retrouver mon inspiration, la dernière fois que je l'ai vu c'était dans ma chambre alors espérons que je vais retrouver)

je fixais le jeune homme un long moment pendant que la démone le libérait de son câlin meurtrier. Ainsi il ne savait pas d'où lui venait l'accessoire ? et il ne le reconnaissait pas ? dans les deux cas j'avais senti une réaction mais nolhan ne semblait pas me mentir volontairement et je ne pouvais penser qu'à deux ou trois bonnes raisons de faire ça

soit il était impliqué dans quelque chose de bizarre et voulait que j'en reste loin

soit il était atteint d'amnésie

soit il voulait être certain de parler à la bonne personne. Après tout j'avais été kidnappé par un culte bizarre, disparaissant d'un coup au milieux d'une affaire et ne donnant aucun signe de vie pendant je ne sais plus trop combien de temps. à sa place moi aussi j'aurais voulu être sur de ne pas avoir affaire à un imposteur.

aussi je répondit

-je fais peut-être erreur sur la personne mais j'ai donné une boucle d'oreille identique à mon petit frère adoptif qui justement...s'appelle nolhan et te ressemble comme deux gouttes d'eau

-et le nolhan que tu connais il était nécromancien lui aussi ? ce petit ange...je sens qu'il à des pouvoirs sur la mort. nous interrompit soudainement morrigan

je me tournais vers elle

-tu en est sûre

elle hocha la tête et se tourna vers le jeune voleur

-ça t'arrive de voir des cadavres bouger de temps en temps petit chou ?

mon regard passait lentement de l'un à l'autre. maintenant c'était moi qui ne pigeais plus rien !

-Je fais peut-être erreur sur la personne mais j'ai donné une boucle d'oreille identique à mon petit frère adoptif qui justement...s'appelle Nolhan et te ressemble comme deux gouttes d'eau

-Et le Nolhan que tu connais il était nécromancien lui aussi ? Ce petit ange...je sens qu'il à des pouvoirs sur la mort.

J'avais de plus en plus l'impression d'être complètement perdu. Moi? Avoir des pouvoirs sur la mort?

-Tu en est sûre?

Morrigan me regarda. Je me sentais de plus en plus tendu et je regardais autour de moi comme pour trouver une échappatoire.

-Ca t'arrive de voir des cadavres bouger de temps en temps petit chou ?

Je n'avais pas du tout envie de répondre à cette question. Je ne voulais pas que quelqu'un me dise que j'avais des pouvoirs bizarres. Si je répondais par l'affirmative elle allait directement penser que je suis un nécromancien, pourtant j'en avais déjà vu bouger des cadavres mais je suis sur que ce n'est pas moi qui les faisais bouger. Il fallait mentir pour qu'elle me lâche les affaires avec cette affaire, je ne veux rien entendre de plus sur cette hypothèse. Les morts-vivants ça me font peur. Même si ça me met très mal à l'aise de mentir je prenais l'air et le ton le plus convaincant possible pour parler.

-Non, je n'ai jamais rien vu de la sorte madame. Je suis sûr et certain de ne pas être nécromancien. Les morts-vivants m'ont toujours fait peur et je ne pourrais JAMAIS en contrôler un.

Morrigan ne me mettait pas du tout à l'aise et je me sentais très nerveux. J'essayais de retrouver le regard d'Elric qui m'apaisait pour je ne sais trop quelle raison.

je soupirais ouvertement devant ce second mensonge à l'instant ou je sentis mon don s'activer et cette fois je ne pris pas la peine de chercher de tic: la vérité était on ne peut plus évidente aussi je fixais mon jeun interlocuteur et peut-être frère adoptif qui de toute façon semblait chercher mon regard

-autant te le dire tout de suite nolhan: tant que tu reste dans mon champ de vision je saurais toujours quand tu me raconte des conneries...ah ouais je n'en avais pas encore parlé...bref je suis un détecteur de mensonges humain. Bref le charabia de la demoiselle te dit quelque chose...mais peu importe. On s'en occupera plus tard, pour l'instant il vaudrait mieux bouger juste au cas ou: on ne sait pas qui peut trainer par ici. Je me cache souvent dans une grange abandonnée pas loin d'ici quand on me colle un peu trop. tu as de quoi crocheter un cadenas classique ? on pourra essayer d'éclaircir tout ce bordel une fois certains que les boulangers ne vont pas ameuter des passants pour te remettre la main dessus.

juste au cas je sortais quand-même mon pic et morrigan se plaça devant nolhan pour le protéger d'un éventuel agresseur mais posât quand-même une main rassurante sur son épaule

-ne t'en fais pas petit ange, je m'occupe des méchants ! relaxe et ne t'éloigne pas

pour ma part je pensais à un autre problème

-hmm...l'endroit auquel je pense est quand-même loin. Nol, t'aurais pas une autre cachette près d'ici des fois ?

(je préfère te laisser décider si on fait une mauvaise rencontre ou quelque chose dans le genre, je commence à rouiller un peu je crois -_- 'vais essayer de pas trop perdre la main Very Happy

)

-Autant te le dire tout de suite Nolhan: tant que tu reste dans mon champ de vision je saurais toujours quand tu me raconte des conneries...ah ouais je n'en avais pas encore parlé...bref je suis un détecteur de mensonges humain. Bref le charabia de la demoiselle te dit quelque chose...mais peu importe. On s'en occupera plus tard, pour l'instant il vaudrait mieux bouger juste au cas ou: on ne sait pas qui peut trainer par ici. Je me cache souvent dans une grange abandonnée pas loin d'ici quand on me colle un peu trop. Tu as de quoi crocheter un cadenas classique ? On pourra essayer d'éclaircir tout ce bordel une fois certains que les boulangers ne vont pas ameuter des passants pour te remettre la main dessus.

Même s'ils étaient casse-pied je voyais mal les boulangers faire cela. Bien que... si ça se passait se serait pas super et en plus je n'aurais rien prévu, ce serait vraiment la poisse. En parlant de poisse, pourquoi fallait-il qu'il sache que je mente, je vais être encore plus soupçonné maintenant. Le mensonge est très mal vu par la société et c'est mal, je le sais, mais maintenant on ne peut même plus faire un petit mensonge, c'est quand même flippant.

Elric sortait un pic comme une arme pendant que Morrigan venait poser une main sur mon épaule comme pour me rassurer.

-Ne t'en fais pas petit ange, je m'occupe des méchants ! Relaxe et ne t'éloigne pas.

Mouais, elle me parlait un peu comme à un gamin là, non? Ce n'était pas vraiment agréable.

-Hmm...l'endroit auquel je pense est quand-même loin. Nol, t'aurais pas une autre cachette près d'ici des fois ?

Nol? C'était quoi ça? Je sais que l'on s'est peut-être connu mais on n'est pas sûr alors pourquoi déjà me donner un surnom? À la base si on se connaît par on vient tout juste de se rencontrer.

-Je suis désoler mais je vis dans la rue en trainant de ville en ville, alors pour avoir une cachette ...

(Je te laisse juste répondre à ça, j'aimerais savoir vers ou on part pour mettre peut être des rencontres. Et je suis désoler pour la très longue attente, grosse baisse de moral )

je hochais la tête, un peu déçu que le petit voleur n'aie pas de cachette mieux placée pour nous.

bon d'accord. tu vas nous servir d'éclaireur nolhan, je te dit par ou on vas et tu t'assure que la voie est libre comme au bon vieux temps, morrigan et moi on est pas aussi discrets dis-je avec un petit signe de tête vers cette dernière: avec le costume qu'elle portait pas mal de mecs risquaient de garder les yeux rivés sur nous et même sans ça elle avait quand même l'air étrange, des cheveux verts ça ne court pas les rues.

morrogan leva la main, faisant mine de me gifler mais attendit tranquillement que nol lui fasse signe d'avancer.

le chemin semblait déterminé a bien se passer. nous arrivâmes en vue de ma planque sans incident et commençâmes l'approche finale vers notre planque histoire de pouvoir enfin discuter en paix

mais bien sûr il fallait que quelque chose merde n'est-ce pas ?

deux petits claquement se firent entendre derrière moi et avant même que je sache qu'il se passait quelque chose mon bras gauche et donc mon pic se retrouva coincé pendant qu'un petit cri m'apprenait que la succube avait aussi un couteau sous la gorge

parce que je ne l'ai pas dit mais j'avais un couteau sous la gorge.

tout ça c'était passer beaucoup trop vite pour mes pauvres réflexes d'humain et il ne faisait aucun doute que nos agresseurs ne l'étaient pas: ils étaient recouverts par des capes, leurs couteaux étaient noirs et quand un petit vieux tourna le coin et vint voir d'ou venait le cri qu'il avait entendu le démon qui tenait ma partenaire leva la main vers lui, lui cassant le cou a distance et laissant son cadavre tomber sur le sol

(pour une fois je décrirais pas le début vu par Nolhan, la flemme)

Je marchais devant, ce qui me stressait un peu car je n'avais pas de contact visuel avec Elric ni Morrigan, donc pour de rassurer j'écoutais le bruit de leurs pas et ainsi je savais qu'ils étaient là.... ou que quelqu'un marchait derrière moi du moins... arête d'être parano! (je sent que Rosiel et Nolhan vont bien s'entendre pour le trai parano)

Mon oreille qui était bien attentive aux sons de derrières remarqua que les pas s'arrêtaient, je me retournais donc pour voir ce qu'il se passait et je vis Elric avec un couteau surs la gorge, Morrigan était dans la même situation mais je ne le remarquait que plus tard. Premier reflexe à cette situation ? Retenir un cri de petite fille et aller me cacher (très courageux di donc --'). En regardant les deux personnes inconnues je remarquais juste qu'elles avaient de grandes capes qui les cachaient.

Ensuite les choses se passèrent très vite : Un vieux arriva, il se fit tordre le cou je sais pas trop comment. J'avais vraiment très peur mais si je faisais rien du tout il allait arriver la même chose à Elric et Morrigan.

Quelques après cette réflexion moi, comme un idiot, je sortais de ma cachette pour essayer de sauver mes amis. Je pouvais vraiment rien faire, j'allais me faire tordre le cou avec les autres et finalement j'aurais servi à rien à par à mourir.

Je m'avançais, sans bruits, je pleurais de peur tellement elle était forte je pensais "que quelqu'un nous aides par pitier, jpeux rien aire moi jsuis qu'un gosse sans armes et qui va mourir en trois secondes" J'avançais peu à peu en me répétant ça, chuchotant, quand quelque chose de bizarre se produisit : Le vieux tué de tout à l'heure se releva, il se releva! Et c'est pas une blague!

Alors que je ne savais pas que c'était moi qi faisait ça, j'avais encore plus peur.... j'aime pas les morts-vivants.

Il me fallait bien de l'aide pourtant. je pensais de toute mes forces "aidez-moi" et le corps du vieux s'anima pour foncer surs les "méchants" (ce qui ne suffit pas à me faire comprendre que je sis nécro bien sûr: je suis idiot, ne l'oubliez pas). J'essayant de retrouver mon calme sans grande réussite

(Hrp: il est évident que en avançant Nolhan se cachait toujours, il est idiot mais c'est un idiot peureux .. et je m'excuse pour le post tardif.... et les fautes d'orthographe surement bien présentes )

d'accord, je le précise tout de suite: à ce moment précis j'était certains que ces maudits cultistes qui veulent me remettre la main dessus venaient de réussir à me retrouver, pourtant, même si ils auraient dus nous trancher la gorge direct ils ne semblaient pas avoir autre chose en tête que de nous tenir en place morrigan et moi. Pas eux alors ? mais si ils venaient de tuer ce petit vieux simplement pour les avoirs vus pourquoi est-ce que je respirais encore ?

c'est fou ce que l'esprit s'accélère quand ça va mal et je n'aimais pas du tout mes conclusions: nous avions l'air de...servir d'otages...mais alors...leur vrai cible était-elle...!? oh merde, non, pas question.

j'allais crier à nolhan de ficher le camp mais avant que je n'aie le temps de le faire je vit quelque chose qui m'empêcha de parler

le petit vieux qui venait juste de se faire casser le cou

il venait de se relever et de nous foncer directement dessus

ça vaut la peine de le redire: un cadavre tout frais d'il y à 20 secondes venait juste de foncer directement vers moi et l'inconnu au couteau qui me tenait en place. j'aimerais pouvoir dire que ce que je fit ensuite était totalement volontaire et que je n'attendais qu'une occasion d'agir mais ça ne serait qu'a moitié vrai

après tout un cadavre sprintait dans ma direction ! Je n'était pas calme du tout et c'est pendant que l'autre connard me tirait vers l'arrière que je me rappelait. il me tenait le bras dans le dos, et moi je tenais mon pic

profitant de inattention du preneur d'otages je donnait une poussée vers l'arrière aussi fort que possible, ne serait-ce que pour ne pas prendre le punch du petit vieux a la place du type qui me tenait, j'en profitais aussi pour lui enfoncer mon pic dans le corps.

dès qu'il me lâcha je sprintais vers l'avant en levant la petite pierre qui me servait de contact avec morrigan.

celle-ci, répondant à l'appel se transforma rapidement en une épaisse fumée noire. quand elle se dissipa je tenais une épée digne de ce nom et mon apparence avait pas mal changée. Ainsi armé je me postait devant nolhan alors que les deux autres, pas impressionnés le moins du monde (et je les hais pour ça) se contentaient de tirer chacun une longue lame courbe et dentelée faite du même métal noirâtre que leur couteaux. En les voyant de face je remarquais vite qu'ils bougeaient exactement de la même manière, à la même vitesse et que seule la main de laquelle ils tenaient leurs armes semblait les différencier, des pantins contrôlés a distance peut-êtres ?

-au moins ils ont réussi leur petit tour d'image inverse et ils savent comment foutre les jetons. dis-je d'un ton enjoué et je m'en-foutiste destiné à calmer autant nolhan que moi-même. je veux vraiment pas t’alarmer Nolhan mais je crois que c'est après toi qu'ils en ont, j'espère que ton petit vieux peut en retenir un ou tout ça pourrait se compliquer. ils ressemblent à rien et n'ont pas l'air plus malin que ça mais juste au cas où ne t'éloigne pas trop. Hors de question qu'ils se servent de nous pour repeindre cette ruelle ! qu'ils prennent un rouleau comme tout le monde !

uh-oh, peut-être un peu trop sombre ma blague. je prenais une seconde pour regarder vers mon probablement petit frère adoptif en espérant ne pas l'avoir trop effrayé: il n'aimerait peut-être pas entendre ce que j'allais dire mais ce ne serait pas juste de lui mentir alors qu'à moi on ne pouvait pas le faire aussi je repris mon sérieux, un oeil sur les deux types qui ne bougeaient pas et lui expliquais tranquillement pourquoi il avait le droit de se mettre à hurler.

-celui que je viens de poignarder dans un rein ne s'en porte pas plus mal et je suis prêt a manger mes lunettes si ces deux-là sont humains...Je te le dis franchement: je ne sais pas si je peux en affronter deux en même temps, même pour un je ne connait pas mes chances: moi j'examine des cadavres et je pose des questions gênantes. Si ils ont l'air de me donner du mal gagner tu ne pose pas de questions, tu cours de toutes tes forces et tu fait ton possible pour amener toute âme qui vive dans le coin ici: ils veulent la jouer discrète on dirait: si il y à trop de témoins ils devraient nous lâcher. Compris ?

dis-je en levant lentement ma garde, avalant de travers et me demandant sans arrêt dans quoi j'étais en train de m'embarquer

(très inspiré cette fois-ci, j'espère que ça te va ! Very Happy

)

Je ne pensais presque plus qu'à la grande peur que je ressentais, mon cerveau ne comprenait plus rien et les choses auxquelles je pensais semblaient sans ordres dans ma tête.
Elric venait de réussir à se libérer puis il sait passer un truc bizarre et il a changé... ou quelqu'un d'autre est apparu; j'en suis pas sûr. En tout cas il vint se placer devant moi, surement pour me protéger, du moins j'espère. Je le regardais, ce qui me rassurait un peu.

- Au moins ils ont réussi leur petit tour d'image inverse et ils savent comment foutre les jetons. Dit-il sur un ton enjoué et je m'en foutiste. je veux vraiment pas t’alarmer Nolhan mais je crois que c'est après toi qu'ils en ont, j'espère que ton petit vieux peut en retenir un ou tout ça pourrait se compliquer. ils ressemblent à rien et n'ont pas l'air plus malin que ça mais juste au cas où ne t'éloigne pas trop. Hors de question qu'ils se servent de nous pour repeindre cette ruelle ! qu'ils prennent un rouleau comme tout le monde !

J'essayais de sourire à cette blague mais en fait je ne réussis qu'à lâcher quelques larmes de stresser. Pourquoi ils en auraient après moi... je n'ai rien fait... à part si c'est des boulangers. Et pourquoi il dit que c'est MON petit vieux, il n'est pas à moi ce grand-père mort-vivant, d'ailleurs il me fait flipper; et s'il se retournait contre nous, ce serait horrible.

- Celui que je viens de poignarder dans un rein ne s'en porte pas plus mal et je suis prêt a manger mes lunettes si ces deux-là sont humains...Je te le dis franchement: je ne sais pas si je peux en affronter deux en même temps, même pour un je ne connait pas mes chances: moi j'examine des cadavres et je pose des questions gênantes. Si ils ont l'air de me donner du mal gagner tu ne pose pas de questions, tu cours de toutes tes forces et tu fait ton possible pour amener toute âme qui vive dans le coin ici: ils veulent la jouer discrète on dirait: si il y à trop de témoins ils devraient nous lâcher. Compris ?

Je fis un petit oui de la tête.
J'essayais de me calmer, essayant de me convaincre que tant qu'Elric serait là je pourrais être tranquille et qu'en plus je courais assez ite après avoir échappé plus de miles fois aux boulangés mais plus j'essayais de me rassurer plus je pensais aux scénarios-catastrophes. Il fallait vraiment que l'on nous aide, le petit vieux devait être avec nous, il devait aider Elric. Il e me restait plus qu'à... il vient d'aller immobiliser un des gas. Je suis sûr que je n'ai rien fais, je n'ai rien fais! C'est une pure coïncidence!
(Nolhan allait penser qu'il ne lui restait plus qu'à espérer ce qui c'est passé)

(Vien à moi inspiration tu aura des bonbons. Bon, comme je l'ai dis manque d'inspi en ce moment hein, donc retard donc là je me fais un petit test d'inspi, j'ai l'impression que je guéri de la page blanche.)

eh ben merde alors...

le petit vieux avait vraiment obéi à nolhan ! Ça ou il avait encore une dent contre les trucs qui venaient juste de le tuer quelques minutes plus tôt. Quoi qu'il en soit il venait juste de projeter l'un des pantins par terre et le maintenait plaqué au sol

j'essayais de m'occuper de l'autre en vitesse mais il réussit à sauter par dessus mon coup d'épée, atterrit dans mon dos-

et fonça direct vers nol !

pas question !

sans même me retourner je concentrait mon pouvoir sur la pointe de mon épée et saisit notre ennemi dans la gueule d'une bête noirâtre avant de le jeter un peu plus loin. Je me tournais vers nol

-on fout le camp ?

(excuse le poste plutôt court mais je ne tiens pas la grande forme en ce moment pale

)

Je commençais à vraiment paniquer, je n'arrivais pas à me convaincre d'un simple coïncidence et je voyais bien que la vielle personne qui nous aidait avait quand même du mal à garder en place. Et si il se libérait, et si je restais figé sur place et que je ne pouvais rien faire pour aidé Elric, et si il y avait d'autres gas comme eux, pourquoi Elric avait changer? ou est Morrigan? pourquoi...
Mes pensés venaient de lâcher, ma vision baisait, je me sentais comme tombé avant que mon corps ne tombe vraiment, évanouis. Le cadavre Tombait en même temps que moi, je ne le voyais pas, Je n'entendais pas la phrase que Elric m'avais dit et ne pouvait plus savoir ce qu'il se passait.

Quelques temps plus tard, je ne sais pas exactement combien de temps mais en tout cas je rouvrais les yeux, je ne voyais presque rien à par des formes extrêmement floues, je refermais mes yeux aussi tôt, je faisais bouger mes lèvres pour essayer de dire "Elric".

(tu peux faie tout ce qu'il y a entre l'évanouissement et le réveil de Nolhan, prend tout ton temps)

ah ben merde...

juste merde !

pile au moment ou les choses commençaient un peu à s'améliorer c'est ce moment que choisit nol pour tomber dans les pommes

d'accord je l'en blâme pas mais c'était quand même chiant puis qu'avec lui partait le zombi

je me retrouvais donc seul face a ces deux trucs et probablement sur le point de me faire buter

aussi j'annulais illico la fusion avec morrigan a qui je hurlais d'emmener nol à la planque le plus vite possible par la voie des airs

bref je me retrouvais tout seul contre deux pantins armés d'épées sans autre instrument de combat que mon pic a glace

les deux pantins passèrent à côté de moi comme si ils avaient oubliés mon existence

voyant cela j’enfonçais mon pic jusqu'au manche dans la cuisse du premier et à ce moment la j'eus une surprise désagréable

si ma première blessure n'avait touchée que du bois celle-ci atteignit bel et bien quelque chose de vivant

terrifié, je retirais mon arme pendant que les deux types louches se tournaient vers moi

sous ce bois poli qui les recouvrait il y avait des gens !...en tout cas en partie et maintenant ils avaient décidés d'un commun accord de me mettre en morceaux

je ne savais pas quoi faire d'autre alors je décidais de m'en tenir a mon plan de base: trouver une rue surpeuplée

en fait je finis par me rendre compte que ces trucs étaient plutôt lents a la course car je finis par les perdre au bout d'une demi heure. La jambe blessée de l'un d'entre eux l'avait sans doute ralenti et ils ne se séparaient jamais

restait à espérer qu'ils n'iraient pas chercher morrigan et nol

pour être sûr je fonçais directement vers leur cachette une fois sûr d'avoir semé le duo de cirque a la con

Je rouvrais de nouveau les yeux, ma vision se stabilisais et je commençais à chercher un reperd des yeux. Une personne, un endroit, une impression, tout allait pour moi et remettais rapidement de l'ordre dans mes idées. Je vis Morrigan près de moi, je me mettais donc en place assise pour le montrer que je m'étais réveiller. Je parlais aussi à voix basse, premièrement par ce que je ne me sentais pas trop bien et deuxièmement car je ne savais pas trop si nous étions hors de danger.

-Morrigan, on est ou? Ou est Elric? Qu'est-ce qui s'est passer?

Je me rendais compte que je posais un peu trop de questions. Je soupirais.

-Pardon.

(Je suis désolé. J'ai des grands manques d'inspirations de plus en plus fréquents pour les Rp's que je ne viens pas de commencer. Besoin d'un nouveau RP moi avoir pour que l'inspi reste)

(HRP: vu la très forte tendance aux câlins de la succube je m'attendais presque a ce que nolhan se réveille, voie morrigan et se sauve en hurlant NONPITIÉT'APPROCHEPAS,PASDECÂLINSJ'AIDIT!...ça aurait été marrant en tout cas)

...roh le pauvre petit. Je ne lui reprochais pas d'avoir du mal à se repérer puisque ses derniers souvenirs était plutôt déplaisants...pour tout dire je le trouvais bien calme ce petit ange pour quelqu'un qui s'était évanoui de terreur quelques minutes plus tôt. normalement je lui aurait fait un énorme câlin mais inutile de le faire stresser plus qu'il l'était déjà. Après tout el n'était pas là et impossible de dire si il allait s'en tirer. Je ne doutais pas de lui mais comme le combat n'était pas une de ses forces j'avais quelques raisons de m'inquiéter. j'aurais aimée que le petit voleur dorme un peu plus longtemps pour jeter un coup d’œil a ses rêves mais je n'eus pas le temps de le faire: il s'était réveillé bien avant d'entrer dans la phase du sommeil ou on se mettait a rêver...dommage, une autre fois peut-être.

-Morrigan, on est ou? Ou est Elric? Qu'est-ce qui s'est passer?

d'accord, il était peut-être un peu plus stressé que je le croyais. je m'approchais un peu et vérifiais sa température en posant une main sur son front

-du calme...du calme. tu est en sécurité.

-Pardon.

je fit un petit geste de la main pour montrer qu'il n'y avait pas de mal et le fixais dans les yeux pour être sûre qu'il faisait attention a ce que je disais --une habitude acquise a force de devoir surveiller elric qui avait toujours la tête ailleurs. Puis commençait doucement

-Tu t'es évanoui pendant notre combat contre les pantins dans la rue et dès que tu est tombé elric à rompu notre fusion. il m'as demandé de t'amener ici et de surveiller l'endroit pour que personne n'y mette les pieds. j'ai essayé de t'installer aussi confortablement que possible et j'ai attendu ton réveil.

je décidais de prendre une petite pause; maintenant venait la partie inquiétante mais pas la peine de mentir au petit bout de chou

-elric a décidé de rester derrière pour éviter que ces mannequins démoniaques puissent nous suivre...je vais être franche avec toi: je ne sais pas si il va s'en tirer mais sur le coup il ne croyait pas si bien faire: ces pantins étaient des créatures démoniaques et tout me porte a croire que c'est après toi qu'ils en ont. El a du le remarquer lui aussi. c'est pour ça qu'il voulait que je te mette en sûreté. En ce moment il est beaucoup trop faible pour affronter ces marionnettes mais je le crois capable de rentrer en un seul morceau, t'en fais pas

je prenais un air un peu plus sérieux

-mais pendant que nous l'attendons il faut que nous parlions toi et moi...au sujet de tes pouvoirs: et pas la peine d'essayer de me les cacher. Ce zombi obéissait sinon a tes ordres du moins a tes désirs et il est redevenu inerte dès que tu t'es évanoui.

je haussais les épaules avec indifférence et rejetais en arrière une mèche de mes cheveux qui s'étaient retrouvés sur mon épaule pendant mon vol jusqu'ici

-que tu veuille les dévoiler au grand jour ou les garder pour toi ça c'est ta décision et ce que tu veux en faire ne regarde personne mais si j'étais toi j'apprendrais au moins a les contrôler. tu as relevé un mort et t'en est servi pour te protéger aujourd'hui mais rien ne dit que tu n'entrera jamais dans une colère noire qui réveillera le premier mort venu pour lui faire arracher la gorge de quelqu'un.

je posait une main sur son épaule et sourit un peu pour lui indiquer que ce n'étais pas un reproche

-dit toi que c'est mieux de les maîtriser et ne pas en avoir besoin...

mon regard devint vague pendant un petit instant alors que je replongeais dans mes souvenirs

-que d'en avoir besoin et de ne pas les contrôler

(j'espère que ce poste te va, les couleurs m'ont prises un siècle et demi Un rafraîchissement de la mémoire 3806757079

Un rafraîchissement de la mémoire 3806757079

)

Je regardais Morrigan, ayant bien écouter tout ce qu'elle avait à me dire, toujours l'air inquiet. Je commençais à froncer les sourcils quand elle me parla de mon pouvoir.

-Mais c'est impossible que j'ai un pouvoir tel que celui là. Je ne peux pas contrôler les morts, j'en ai une peur bleu! Ce n'étais peut-être qu'une coïncidence que ce mort vivant se soit réveille comme ça.... Je suis quelqu'un de normal, comment je pourrais avoir ce genre de magie... je ne saurais la qualifier!

Je me calmais et me mis à penser aux marionnettes et à Elric, j'avais peur pour lui... Morrigan dis qu'il y avais de fortes chances que ça soit pour moi, pourquoi? A par si elles ont été faites par des boulangers je ne vois pas pourquoi on m'en voudrais...

et si c'était vraiment le cas... je me demandais sic'était à cause de moi que nous nous étions mis en danger et ne le disais pas à voix haute, sachant que Morrigan, comme toute personnes à qui je l'aurais dis, me répondrais que ce n'étais pas ma faute ect... Ce ne serais pas la vérité

(deux postes déjà que j'ai la flemme de remettre avec mon autre compte)

(t'en fais pas trop pour ça Very Happy

)

bon d'accord: je pouvais comprendre les réticences de nolhan à admettre ses dons mais il allait devoir le faire tôt ou tard. je le saisit par les épaules et continuais de le fixer, prête à le tenir en place si il s’énervait plus que ça

-el n'a pris conscience de ses pouvoirs que le jour ou on à essayé de le sacrifier pour m'invoquer et franchement c'est beaucoups moins dangereux que ce dont tu est capable: tu n'as pas l'air de contrôler consciemment ton pouvoir et comme il est bien plus dangereux que celui de ton frangin tu as intérêt à t'y mettre tout de suite avant de blesser quelqu'un avec par accident: et ne va pas nier que c'est toi qui à relevé ce cadavre. elric n'as pas ce pouvoir et dans mon état je ne peux pas le faire non plus.

je le relâchais, le toisant d'un air sévère que je ne prenais pas souvent

-Ta nécromancie à l'air assez exceptionnelle de la part de quelqu'un qui ne s'en sers jamais et si tu tiens vraiment à garder une vie un minimum normale tu vas devoir apprendre à ne pas réveiller les morts à chaque fois que quelqu'un te fais sursauter. Pense-y un peu: tu aurais encore peur de ces pantins si tu pouvais leur envoyer tout un tas de zombies ? ça doit être la protection que tu puisse trouver si tes seuls ennemis sont des boulangers...mais ne fais pas l'autruche non plus: si ces pantins reviennent et que nous ne sommes pas là ton frère et moi tu vas devoir te protéger tout seul. Si ils t'ont pris pour cible c'est pas pour rien alors crois-moi ce ne son pas les dernières horreurs que tu va voir dans ta vie: tu peux sois fuir et te cacher jusqu'à ce que l'un de ces monstres te retrouve et te fasse la peau, sois prendre ton courage à deux mains, combattre ta peur des morts-vivants et apprendre toi aussi comment devenir assez dangereux pour qu'ils n'aient plus envie de t’emmerder.

je soupirais

-rien ne t'oblige à le faire tout de suite mais ça va devenir nécessaire à un moment ou à-

la porte s'ouvrit avec fracas alors qu'elric, a bout de souffle entrait dans la pièce, refermait derrière lui et se laissait tomber assis par terre

Pendant que le discourt de Morrigan avançais je commençais à douter du fait que es pouvoirs existent ou pas et à songer au dégoût et à la peur que cela m'inspirerait de moi-même.... J'eu un énorme doute et mes pensés se bousculait pendant un grand moment, presque les larmes aux yeux.

Je fus sauver de cette réflexion intense quand Elric rentra, je me précipitais vers lui. La surprise qu'ayant engendrer cet événement me fis lâcher les deux larmes que je retenais.

-Elric!

Bien sûr mes yeux montraient une certaines inquiètude pour lui