Sombres Nouvelles

Depuis le temps que je fais des petits textes pour passer l'ennui des cours, j'ai décidé de commencer à les poster pour voir l'avis de la communauté dessus et ses conseils, rien de mieux pour s'améliorer comme on dit Wink

Douce nuit

Dans cette sombre nuit où la lueur de la Lune était telle une blême balafre sur la peau sombre des ténèbres du crépuscule, un souffle pesant déchirait ce silence cadavérique. Des jambes, telle était la chose éclairée par la Lune. Une personne dormait au clair de lune dont la couche était feuillage et verdure. Le sombre dévorait la clarté de sa peau laiteuse et de longs cheveux d'or qui reposaient sur un large oreiller écarlate.
Pauvre femme, pauvre dame, pauvre innocente pleine de clarté. Cette nuit te sera la dernière, une nuit calme et sombre accentuée par le regard d'acier et acéré de la lame qui ta déchirée la gorge, cette lame sans vie, animée par la main de l'être cher. Douce nuit, sombre nuit pour cette âme en peine.

Blanc

Tel un serpent, ce chemin étroit serpente entre arbres et fougères. Ce n'est qu'une petite rivière de terre dans ce grand océan de verdure, nichant en son sein, pierre et feuillure.
Malgré tout, ce calme, cette harmonie est brisée par le bruit des brindilles qui craquent, des feuilles qui se brisent, le souffle effréné d'un enfant qui fuit.
Jeune enfant capricieux, il est trop tard pour fuir. Ces bois oppressants sont son domaine, son fief. Tu ne pourras fuir tes erreurs, son jugement. Pauvre petit au visage griffé par les branchages, la seule chose que tu verras, sera un point blanc dans une nuit noire.

Parce que

Pourquoi tant de ténèbres dans cette vie si claire ?
Pourquoi tant de souffrance dans ce monde si intense ?
Pourquoi tant de haine dans ce cœur en peine ?
Pourquoi tant de larme dans ces yeux avec tant de charme ?
Pourquoi tant de tristesse dans ce visage plein d'allégresse ?
Pourquoi tant de questions ?
Parce que. Telle est la réponse, l'ultime réponse sortant de cette jeune bouche se rapprochant de son funeste destin, dans une chute sans fin.

quand j'ai vu le titre j'étais convaincu que tu nous annonçais une catastrophe ! Shocked

comme on dit chez nous dans des circonstances comme celles-ci... Evil or Very Mad

fais-moé pu jamais peur de même mon tabar**k Razz

(demandez a quam si il vous faut de l'aide pour la traduction québécois-français Very Happy

)

je suis salement occupé dans l'immédiat mais je vais lire tes textes avec joie lorsque je ne serai pas en train d'écrire 36 trucs simultanément Very Happy

et quand j'aurais dormi Sleep

et si tu poste un autre truc qui me fait redouter l’apocalypse je te jure que j'envoie la chatbox te bouffer immédiatement Twisted Evil

je m'inquiétais pour de vrai câ)(&se Evil or Very Mad

XD

A + tard moi je dois me sauver ! j'essaierais de repasser demain pour te donner mon avis ^^

Merci de bien vouloir prêter attention à mes textes ^^
Je peux au moins me féliciter que le titre fait peur à quelqu'un x) Ne t'inquiète pas, l'Apocalypse sera pour plus tard...... Wink

grrr...

ça va pour cette fois mais a partir de maintenant j'te surveille >.<

morrigan entre dans la pièce et tire elric de force hors du sujet pour qu'il arrête de raconter n'importe quoi...en plus elle l'a bien aimée le titre ! Razz

Surveille bien car il se peut que la Fin vienne tel un serpent sur sa proie, rapide mais discret Wink

mais je pense qu'il en a une qui va te mettre des bâtons dans les roues. C'est bien Morrigan, la prochaine fois je trouverais un autre moyen pour lui causer une crise cardiaque x)

Cordes

Ce son si clair, si mélodieux, si entrainant appuyait cette scène. Un instrument au son métallique, vibrant sous les doigts du pauvre homme. La guitare hurlait, accentuant la détresse de cette âme torturée par son passé. Trop de douleur se faisait ressentir dans le timbre presque humain de l'instrument, mélangeant les sentiments les plus noirs d'un être. La musique était telle une histoire, racontant les peines de l'homme. Si seulement....Si seulement quelqu'un avait été là pour l'écouter. Si seulement quelqu'un avait été là pour comprendre les lamentations de son instrument. Jamais il n'aurait pris cette décision. Mais, il est trop tard maintenant, le choix est fait, la décision est prise. Maintenant une autre corde vibre dans un craquement sec. Voici le morceau final de cette musique, de cette vie. Une corde ne vibrant maintenant que par les doigts du vent.

Poids lourd

Une ombre se mouvait sous la lumière opaque des réverbères. Cet homme était abattu, le chagrin transformait son ancien regard joyeux en quelque chose de terne, inexistant. L'homme était vide, vide de sens, vide de vie, vide d'espérance. Juste plein de nuages, des nuages funestes et sépulcraux. On voyait peu à peu son visage être dévoré par les ténèbres, nous crachant ses paroles bileuses et haineuses. Il avait tout perdu, tout. Sa vie, sa mie, sa joie, son espoir. Il ne lui restait plus que le vide affamé d'un cœur arraché, celui-ci d'un homme désespéré. Maintenant, il le voit, le bout de son chemin, le bout de son destin, un destin qui se reflète dans les larmes de ses yeux à travers le feu des watts de deux puissantes LED.

Joie

Blanche, innocente, transparente, sombre, telle est la vision d'un lac se recouvrant de sa fine couche de glace en hiver. Sa surface est la joie des petits et des grands qui ne cesse de blesser sa peau fragile avec l'acier de leur patins. Des balafres blanches parcours tout son corps pâle. Mais, dans un râle, elle céda. Ce trou noir fait dans sa peau dévora les pieds frêles de la petite fillette qui l'avait fait craquer. Un crie se fit entendre jusqu'à être emporté par les eau noirs et glacées s’engouffrant dans sa bouche, sa gorge. Elle voulu nager mais chaque battement de pied la rapprochait plus des ténèbres du lac que de la lumière de la surface.
Son corps engourdit par le froid se résigna, cessant tout moyens de se débattre de cet ennemi invisible. Puis, sa bouche s'ouvrit, libérant quelques bulles d'air si précieuse pour elle. C'était la fini, la fin de son combat. Son corps, son frêle corps flottait dans les dans les eaux, disparaissant des regards de la surface.

Amen

Dans cette petite clairière, illuminée par la pâle lueur argentée de la lune, deux hommes se faisaient face. L’un creusait, l’autre priait dans un cri étouffé par un tissu moite de larme et salive. Seul résonnait le crissement de la pelle contre la roche et la pierre jusqu’à mourir dans un cri de plainte métallique.
Soudain, le pénitent fut soulevé par le fossoyeur et placé dans les entrailles protectrices de la terre. L’homme à la pelle, dans son infini bonté, saisit un objet rectangulaire. Il versa le liquide béni sur l’homme hurlant ses peines dans le trou de ses péchés. Puis, une faible lueur illumina les doigts du saint homme. Une lueur affamée qui chuta sur la tête du pauvre homme.
Une étoile ! Une étoile brillait dans le trou, une étoile chantant comme un ange. La croix en argent brillait autour du cou orné de blanc de l’observateur. Il ferma son saint livre en un « Amen » calme et il partit, les yeux brillants de joies sous les hurlements de son ange brillant de mille-feux.

L'Ombre

Toutes les nuits, elle est là. Elle nous observe, silencieuse et trompeuse, cachée sous le lit ou dans l'armoire. Son ombre se dresse là où la lumière se meurt, là où les ténèbres règnent. On ne peut la discerner mais on la ressent, on sent son regard oppressant qui nous observe. Un regard vide de vie mais plein de malice et d'orgueil. Elle se nourrit de nos peurs les plus terrible et grandie avec notre imagination. Surtout, pauvre fou, ne laisse pas la lumière disparaître ! Car elle et ses sœurs finiront par te prendre, telle la Mort. Heureusement, elles sont inoffensives car les ombres ne sont que le reflet de ce qui nous entoure, troubles, trompeuses et dangereuses à la fois....

La Forêt de la Fin

Je n'ai pu penser à cette fin. Une fin accrochée à un arbre, dans cette célèbre forêt, la corde au cou. Pourtant, j'aurais dû m'en douter et écouter les conseils des guides japonais. Une forêt berçant la Mort en son sein, rien de plus mystérieux que ça. J'y suis donc allé, malgré les mises en garde, dans la Forêt de la Fin ou, nommée aussi, la Forêt des Suicidés.
Les oiseaux étaient inexistant, seul le bruit du vent et de mes pas animaient cet endroit. C'était le premier avertissement que je n'ai point écouter. À un moment, un brouillard s'est levé et m'a très vite entouré. Le vent s'est tu laissant place au bruit des branches se mouvants sous un poids qui se balance doucement... Puis je les vis, ces ombres humaines se balançant grâce à leur corde au cou. Le grincement se changea en bruit et au gargouillement de milliers d'étouffements qui se rapproche rapidement et.... Plus rien, le grand noir, je ne me souviens de plus rien sauf la douce odeur du bois et la sensation forte de la corde qui m'enserre le cou. Quelle ironie de rejoindre notre fin dans le lieu de la Fin. Pauvres mortels qui ne peuvent m'entendre, cette forêt fût notre perte, fuyez la telle la Peste car Elle en veut pour votre vie !

Sommeil....

Le sommeil est une chose importante pour la vie et un moment de création. C'est aussi un moment de mort. En effet, d'après mes études, j'ai découvert que les personnes mourraient le plus souvent pendant la période des rêves. Étrange n'es pas ? Mes études approfondies sur des sujets mon permis de trouver la cause. Ce sont nos cauchemars. Ceux-ci réussissent à tuer l'individu mais de façon inconnue. Peut-on se servir d'eux pour tuer un individu en pleine santé ? Les films nous font imaginer à Freddy mais un film reste un film. Malgré cela, je découvris des marques de lames sur le corps des patients…étrange…Mes études ont montré que les victimes même tenu éveillée finissent par décéder mais cela n'est qu'une donnée sans grande importance. Au final, j'ai découvert ceci, le sommeil est la vie mais une chose tue pendant le sommeil. Il n'y a pas de remède, il faut juste prier pour que cette chose ne vous choisit pas pour cible car votre mort n'a pas d'issus....

moi aussi jai tellement eu peur en voyant le titre XD beaux textes sinon ahah

C'est pas le titre qui doit faire peur mais les textes x) merci ^^

Espoir

La joie se peignait sur son visage, un visage agrémenté de sombres perles traçant, chacune, un chemin noir comme l’encre dont était imprégnée la feuille parfumée qu’elle tenait dans sa main droite. Un vent d’espoir parfumé caressa sa peau craquelée par une peur intestine. La peur de la fin, une fin affamée qui avait fini par cesser. A genou, caressant son crâne chauve, stigmate d’une ancienne vie douloureuse, enfin, l’Espoir était là. Brisant tristesse et chagrin. L’Espoir était là, plus fort que la chimie de l’Homme, plus fort que la maladie. L’Espoir, tel une bouffé d’air frais, regonfla sa maigre poitrine, lui insufflant une force nouvelle.
Espoir fit battre son cœur qui, pour la première fois de sa vie, trouva le doux repos. Ainsi, le visage souriant, elle ferma les yeux et enfouit son visage dans un oreiller de verdure et de marguerites, dernières douceurs d’une vie meurtrie.

Le Joyau

L’acier frappe sur la roche, creuse dans ce sol fertile, arrachant les nombreux trésors cachés en ses entrailles. Brillants, chatouillant, éblouissants sont ceux-ci pour l’homme creusant dans cette rouge terre à l’aide de son fragment de lumière lunaire. Avide, l’homme arrache ces larges filons de cette roche tendre. Le travail lui salit les mains mais il s’en moque, la seule chose qu’il voit, la seule chose qui pense est ce Joyau palpitant au sein de ces deux pâles montagnes au sommet couronné d’un sol brunâtre.
Enfin, la joie l’illumina lorsqu’il le trouva, caché derrière cette dure cage de roche blanche. D’un craquement macabre, il brisa cette cage, libérant le Joyau. Il l’arracha du corps de cette mine bercée par le son de l’acier frappant contre la roche, creusant dans ce sol fertile. La quête de l’homme se termina enfin, la fin du bruit dans cette mine, la fin de la joie en celle-ci.
La fin d’une vie.

» Sygridh (inspiré de DMC & Bayonetta)

Sombres Nouvelles

Sombres Nouvelles

Sujets similaires

Sujets similaires