sur la plaine (pv zarathos + évent)

je venais de faire mon annonce de guerre aux princes mais avant de vraiment entamer les hostilités, je me devais de faire venir mon armée sur ce plan d'existance.
frappant du point sur le sol de la plaine, j'ouvris une porte vers l'enfer et j'y fis sortir une armée de démons, de spectres, de zombies et de gargouilles en tout genre.

Zarathos, je te presente ta nouvelle armée, elle t'obéira tant que tu ne montrera aucune pitié envers tes ennemis.
En t'alliant avec moi, tu as fait le bon choix, regarde déja, ces démons inférieurs sont la base du nouvel enfer que je vais créer.
Ton ancien maitre est tres previsible, je sais déja qu'il viendra ici avec son frere, et qu'ils uniront leur armée, malheureusement, il y a une personne ici pour qui je ne peux pas prévoire les actions... Le nécroman qui est dans le chateau que tu vois là bas m'intrique, je ne peux revoir si son ame m'appartiendra un jour...

Lorsque ton maitre sera la, tu ira chercher ce necroman, et tu lui proposera de nous rejoindre. s'il refuse, tue le. Pendant ce temps, je me chargerais des deux armées et de ces insectes ridicules.

Sur la plaine, des fracas d'armure sonnaient auy fur et a mesure que les soldats franchissaient les portes infernales. L'herbe de la plaine, d'abord écrasée par ces centaines de pieds, se consuma assez vite par un tel regroupement d'energie négative regroupée en un seul point.
l'herbe noircit, puis brunit avant de se consumer. La plaine laissait une image de mer de flammes sur laquelle des fantomes étaient pret a encevelir tout ce qui tenterait de percer ce mur infranchissable.

Le premier ordre que je lança a mon armée fut de se preparer a une proche bataille.

Quand a toi Zarathos, arange toi pour que ton épée ne se mette plus sur mon chemin, ou sinon, c'est toi qui en paiera les frais. Suis-je claire???

Zarathos avait tout détruit son ancienne vie son allégeance son serment sa famille mais il avait enfin depuis des milliers d'année retrouvé ce qui l'avait rendu si fort si puissant si grand cette petite chose qui lui avait donné sa réputation et qui fit de lui un des démons les plus crains du paradis a la grande époque

Il regarda son maitre ouvrir une porte des enfers et sourit ses flammes noir brulait l’âme du sol qu'il foulait tandis que son corps de démon regardait ceux qui allait devenir sa nouvelle armé

Zarathos, je te présente ta nouvelle armée, elle t'obéira tant que tu ne montreras aucune pitié envers tes ennemis.
En t'alliant avec moi, tu as fait le bon choix, regarde déjà, ces démons inférieurs sont la base du nouvel enfer que je vais créer.
Ton ancien maitre est très prévisible, je sais déjà qu'il viendra ici avec son frère, et qu'ils uniront leur armée, malheureusement, il y a une personne ici pour qui je ne peux pas prévoire les actions... Le nécroman qui est dans le château que tu vois là bas m'intrique, je ne peux revoir si son âme m'appartiendra un jour...

Lorsque ton maitre sera la, tu iras chercher ce nécroman, et tu lui proposeras de nous rejoindre. S’il refuse, tue-le. Pendant ce temps, je me chargerais des deux armées et de ces insectes ridicules.

Zarathos regarda cette armé démoniaque et rigola il se rappela sa jeunesse ou il avait déjà mené de telle armé mais cette foi ci c'était lui qui allait attaquer et détruire et non ses adversaire

"Bien mon maitre ce nécroman ce nome Rosiel je l'ai déjà rencontré par le passer et je connais une personne qui lui est très cherre et qui pourra nous aider si il ne veut pas nous rejoindre une personne que je prendrai un plaisir absolue à torturer "
Il regarda l'armé en face de lui et dégaina l'épée de Khorne la seul chose qu'il gardait de son passait " que le sang de vos ennemi soit sur vos lames et qu’ils coulent à flot dans nos les cranes de nos ennemis"
Zarathos regarda cette armé qui lui procurait un frisson de plaisir en sachant le chaos qu'elle apportera

Quand a toi Zarathos, arrange toi pour que ton épée ne se mette plus sur mon chemin, ou sinon, c'est toi qui en paiera les frais. Suis-je claire???

"Je vous rassure mon maitre mon bras qui guide cette lame ne se retournera pas contre vous et vous servira jusqu'a ce que mon âmes brule "

Tous avaient répondus présent à mon appel. C'est dans un profond silence qu'ils écoutèrent mon discours. Je pus lire sur leurs visages beaucoup de surprise voire même pour certains du dégout lorsque je leur appris que nous devrions faire équipe avec l'armée de mon cher frère Fûma. Mais pourtant nous n'avions guère le choix... Le capitaine Tarod sembla contre ma décision mais il n'en dit rien et remplit son devoir de capitaine. Il ordonna aux troupes de se préparer à partir pour Nürnen dans les plus bref délais. Je m'éclipsai le temps des préparatifs et réapparus pour le moment du départ.

Ce fut tôt le matin que nous nous mîmes en route vers Nürnen, abandonnant derrière nous ce qui restait du château. Nous avançions peut être vers la mort mais une chose était sure, nous étions déterminés et donnerions tout pour terrasser notre ennemi. Les blessés de la première attaque étaient transportés par charrette et les valides chevauchaient fièrement prets à affronter ce monstre de Ragniel ainsi que ses troupes. Je levai les yeux au ciel et y ressentis une forte atmosphère électrique. Cette éclipse continuait de s'accentuer. Dans quelques jours le soleil serait totalement voilé. Dans quelques jours, Fantastiqua serait plongé dans les ténèbres. Nous avions très peu de temps devant nous pour anéantir ce monstre et annihiler ses plans machiavéliques.

La distance à parcourir jusque Nürnen était grande. Nous fîmes plusieurs pauses afin de reposer les cheveaux et nous restaurer. Nous discutions également des premières statégies à mettre en place, de la meilleure organisation possible. Ce n'est que le lendemain que nous franchîmes enfin la frontière du territoire neutre, territoire sous la direction de Rosiel. Je fis envoyé un messager jusqu'à la demeure de ce dernier afin de l'avertir de notre arrivée et de celle prochaine de mon jumeau Fûma. Témoin des derniers événements, il nous rejoindrait surement...

Arrivés sur la place forte du territoire, je fis stopper les troupes et mis pied à terre. Je les laissais se délasser un instant avant de finalement prendre la parole.

« Ca y est, nous y sommes. Nürnen... C'est ici que va se décider le destin de nos vies ainsi que celles de tous les habitants de Fantastiqua. Je ne vous cache pas que ce ne sera pas simple. Notre adversaire est puissant et il ne sera pas seul soyez en surs. Cependant, je vois dans vos yeux cette détermination, cette force, cette volonté de triompher, cette lueur d'espoir qui fera toute la différence le moment venu...J'ai confiance en vous, j'ai confiance en nous. Et, je sais qu'avec l'aide de...Fûma et de ses hommes...nous avons toutes nos chances. »

Je fus alors interrompu dans mon discours par le son d'une trompette venant dans notre direction.

(info pour tout le monde: rosiel n'habite pas un château, juste un manoir tout ce qu'il y a de plus ordinaire. pourquoi tout le monde fait cette erreur ? X__X)

cette journée s'annonçait terrible...vraiment atroce j'avais eu vent du massacre du château de kanoë et des pertes causées durant cette attaque et en mesure d'urgence j'avais autorisé les deux princes a venir prendre poste a nürnen avec leurs armées et moi-même je m'étais résolu a prendre part au conflict au commandes de mon armée de spectres et de morts-vivants de toutes sortes mais en ce momment je n'était pas en train de me préparrer a aller guerroyer. je mettais mon temps a profit pour ramasser le plus de renseignements possibles. j'avais appris que zaratos un démon avec lequel je m'étais brièvement allié par le passé et qui m'maintenant me révulsais de par les tortures qu'il avait infligé a fély avait rejoint les troupes de ragniel. si jamais je pouvais l'exterminer de mes mains je ne perdrais pas cette chance mais je restais aussi concentré sur la bataille de façon globale. c'était pour fantastiqua bien sûr mais aussi en assez grande partie pour elle que je comptais prendre les armes aujourd'hui au côtés des deux princes. en fait du momment ou j'avais reçu les dernières nouvelles jusqu'a maintenant je n'avais absoluement rien fait d'autre que me préparer au conflit.

j'avais passé toute la nuit a transporter par necro gate tout les cadavres auquels j'avais eu acces au cours de ma vie et qui acceptaient de m'aider puis a relever ces mêmes morts avec ma nécromancie. les équiper, former les non-guériers, entrainer les spectres dans l'art de l'espionnage et la possession et bâtir mes plans avec cette armée des morts qui pouvait rivaliser sans problèmes avec celle des deux princes mais que jamais au grand jamais je ne comptais utiliser contre l'un ou l'autre...seulement maintenant je n'avais pas le choix. mes plans et renseignement étaient bien a l'abri dans ma mémoire, un plastron mauve sombre portant pour emblême une faux et une rose argentés croisés recouvrait mon torse pour me protéger au moins un peu des coups. ma rapière pendait a ma hanche droite. une faux dans mon dos, ma bonne vieille cape et des lunettes a la fois renforcées, moulées pour non seulement me permettre de voir mais aussi pour couvrir complètement mes yeux et les protéger des débrits complétaient mon équipement, aucun casque ou armure additionels sinon quelques os cachés dans mes habits comme armes de secour. j'avais aussi entrainé et harnaché phantom mon destrier. dans sa selle reposait une lance pour les combats montés dans lesquels ma rapière et ma faux seraient peu utiles. meran dans son armure dorée-argentée était le capitaine de cette armée mais contrairement a moi il ne lui fallait qu'une bonne armure, salamandre: sa flamboyante épée de feu et une hache pour les combats a cheval. rien qu'avec ça il travaillerait comme un artiste. j'avais vraiment tout mobilisé pour ce conflict. mes troupes se comptaient par millier, le spectre des mers mon fidèle navirre volant nimbé de brûme et presque invisible qui n'avait pas bougé de son poste près du manoir débordait de renforts et déjà mes associés s'occupaient des détails de certains de mes plans. pour l'instant il n'y avait pas de complications

c'est une énorme armée qui se présenta donc devant kanoë et elle n'était que la partie visible de l'iceberg. il y avait certes des soldats volontaires et quelques anciens millitaires comme meran de même que tout mes alliés vivant venus me porter assisstance mais il s'agissait avant tout d'une légion de cadavres animés cependant équipés d'armements neuf et d'excelente qualité. des archers au cavaliers en passant par des mages, des lanciers, et même des golems au dessus desquels flottaient en une masse diaphane et uniforme: une légion de spectres, d'esprits frappeurs et d'âmes de toutes sortes. c'était une armés diversifiée, orgaqnisée et extrèmement efficace. je ne perdais par de temps et donnait silencieusement des instructions a mes troupes avant de me diriger vers kanoë...il me manquait certaines informations dont j'avait besoin pour éviter les pertes autant que possible. cependant je ne pouvais m'enpêcher de redouter quelque chose: une chose très simple que j'avais tout fait pour éviter ces dernières années. mon coeur était lourd et trouble et les visions de mort réveillées dans mon esprit des années plus tôt par le pettit leefaen et qui étaient encore présentes en moi s'étaient accentuées. des centaines peut-être même des milliers de personnes allaient perdre la vie aujourd'hui et ces images dans ma tête étaient devenues plus forte encore comme si attirée par la perspective de toutes ces pertes de vie quelque chose cherchait a refaire surface dans ma tête en ce triste jour de mort et de chaos. me forçant a reprendre mon calme et laissant ces images dans un coin de ma tête je m'adressais brièvement au prince

-je vous prie de bien vouloir excuser mon manque de manières du momment de même que ma précipitation prince mais je dois savoir...a quoi devont-nous nous attendre ? que savez-vous au sujet de notre ennemi commun ?

lorsque j'eus appris tout ce que le prince souhaitais me dire je retournais auprès de mes troupes et m'adressaient a elles. les morts comme les vivants: tous et toutes avaient besoin d'encouragement. je tirais donc ma faux, la levais au dessus de ma tête et leur adressaient ces paroles. même si tout le monde pouvait m'entendre ce n'est qu'a mes troupes que je m'adressais: aux autres dirigeants de trouver les mots juste pour préparrer leurs troupes, moi je m'occupais des miennes et prenait un peu d'avance car j'en avais long a dire et car malgré les apparences les morts et les âmes errantes qui me servaient étaient parfaitement conscient de ce qu'ils faisaient. depuis des années ils m'étaient tous d'une loyauté sans égale. a moi a présent d'en faire preuve a leur égard en les encourageant, en étant la pour eux et en me battant a leurs côtés jusqu'a mon dernier souffle

-mes chers amis, mes chers citoyens, mes chers alliés de ce monde comme de l'autre, je souhaiterais pouvoir tous nous avoir réunis dans de meilleures circonstances mais comme vous le savez un mal insondable menace maintenant la vie de tout les habitants de fantastiqua...affronter un mal de cette ampleur est une tâche bien trop lourde pour nous seuls, la légion de la sauvegarde de fantastiqua laissée a elle même serait impuissante face a un tel fléau...mais nous ne sommes pas seuls, aucun et aucune d'entre nous ne l'est ni ne le sera au cours de cette bataille car aujourd'hui nous mettons de côté nos différents passés pour pouvoir tous ensemble nous relever lorsque cette menace aura disparue. nous ne sommes pas les seuls a mettre nos vies en jeux dans cette bataille aussi mes chers et vaillants soldats je vous en conjure: aujourd'hui est un bien sombre jour mais même dans ces ténèbres il y aura toujours un peu de lumières. tout les gens présent ici se battront avec nous mais aussi pour nous je m'attend a ce qu'a votre tour vous vous battiez non seulement avec eux mais aussi pour eux. aidez-les et protégez-les car aujourd'hui il n'y-a pas d'armées, pas de clans, pas de guerre et pas de barrières. simplement des gens qui ont décidés de prendre les armes pour leur monde...ensemble

ma déclaration fût immédiatement suivie par des applaudissements et des cris d'approbation. j'eus même le plaisir d'entendre quelques remarques du genre ''a nous tous aucune force si puissante soit-elle ne nous fera tomber'' ou ''jamais plus cet infâme démon ne touchera a qui que ce soit, ni ici ni chez les princes ni nulle part ailleur'' ou encore ''ce démon a tout un monde contre lui: il n'as jamais eu la moindre chance contre tout fantastiqua'' je ressentis aussi un puissant élan d'affection pour une jeune soldat qui alla même jusqu'a crier a plein poumons ''je ne laisserais personne mourir. ici Rosiel, fûma ou Kanoë ça n'a aucune importance: personne ici ne passera dans l'autre monde et ceux qui veulent essayer de nous y envoyer vont mordre la poussière''

un sourire, mon premier vrai sourire depuis longtemps se dessina sur mon visage allors que je regardais ses gens avec fierté. après les avoir rapellés a l'ordre je leur adressais plus serainement les derniers mots de ce long discours improvisé

-peu importe ce qui se passera la bas: battez-vous les uns pour les autres et faites tout ce qu'il vous sera possible de faire. en ce qui me concerne je compte bien entrainer autant d'adversaires que possible dans la tombe avec moi...et ce ragniel aussi si jamais j'y arrive. gardez la tête froide, les yeux ouverts, souvenez vous de la raison qui vous pousse a vous battre et que ceux ici qui ne se relèveront pas puisse partir en toute quiétude en sachant que d'une manière ou d'une autre tout ira pour le mieux...que vos âmes trouvent le repos, que vos larmes se sèchent que votre colère s'apaise et que vous soyez rassurés et confiants: nous réussiront. cela ne fait pas le moindre doute

une fois que tout fut dit je levais les yeux au ciel, a ce momment la une brise fraîche caressa agréablement mon visage. j'avais espoir et pour la troisième fois de toute ma vie je pus pendant un instant regarder vers l'avenir sans crainte. seule une seraine détermination m'animait en ce jour a la fois obscurci par la mort et la peine et éclairé par l'entraide et l'espoir. en fait j'avais presque hâte de voir arriver les troupes de fûma, troupes qui feraient sûrement bientôt leur apparition

Apres m'etre sorti de la stele ou etait enfermé mon maitre, je me dirigeais enfin vers le lieu de bataille. Tout ce qu'il m'avait indiquer s'etait dérouler, il avait tout prévu.
A mon arrivée, je voyais un autre démon a ses cotés...
en fouillant dans les souvenirs de Niru, je le reconnaissait: Zarathos
je ne sais pas s'il allait me reconnaitre, mais de toute façon, je n'etais plus la pauvre petite niru qu'il avait menacer.

Maitre, en passant vers les armées des princes, j'ai vu un nécroman, j'aimerais m'en charger personnelement car il manie la faux, tout comme moi.

Je savais que Ragniel n'allait pas refuser car pour sortir, il m'avait enfermer et il ne savait meme pas si je pourrais ressortir un jour. Il me devait bien ça

Toi là, Zarathos.... charge toi de son armée de squelette, enfin, si ce n'est pas trop dur pour toi... et si tu n'a pas trop peur...

Son regard de mepris traversait le démon. Malgré le fait que Nirubi avait été gréffée au corps de Niru pour pouvoir etre materialiser dans fantastiqua, Nirubi etait bien plus ancienne qu'elle ne semblait l'etre. Elle avait déja ete créée au moment de l'emprisonnement de Ragniel, ce qui fait d'elle un ancien démon, au meme titre que Zarathos.

Une fois que Ragniel eut aquiessé pour qu'elle aille s'occuper du nécromancien, elle disparut et arriva au sein de l'armée de zombie qui, en quelques secondes furent transformer en poussiere dans un rayon de 10 metre autour de la démonne.

Bonjour toi, alors tu es un nécroman? intéressant, mais bon, tu es dans le mauvais camps mon petit ^^
Je suis la car le maitre a accepter que je me mesure a toi, alors viens te battre, mais ne prend pas la peine d'utiliser tes tas d'ossements, lui va s'en charger dis je en montrant Zarathos

Comme d'habitude, mes hommes m'avaient considérablement ralentis. Les incapables. J'avais d'abord survolé les troupes, les injectivant durement à chaque passage, mais il était évident qu'elles avaient besoin de plus que cela. Dans un soupir contrarié, j'avais fini par désintégrer d'un claquement de doigt les deux derniers soldats de la longue colonne, ceux qui trainaient particulièrement la patte. Le resta avançait dorénavent deux fois plus vite. Enfin.

Le grand rassemblement dans les plaines de Nürnen m'apparut bien avant tous les autres. Aussi, je laissai mon armée continuer à son rythme si lent qu'il en devenait insupportable, et m'élançai à la rencontre des têtes dirigeantes. Mon cher frère... il était là.

Bousculant quelques hommes en attérissant brutalement, je repliai mes ailes derrière mon dos, et parcourus les derniers mètres d'un pas déterminé. Je regardai Kanoë droit dans les yeux, d'un air de défi. Je toisai son armée, sans accorder un regard au binoclar régent du territoire neutre.

- C'est tout ?

J'eus un rire sarcastique. Si mes hommes n'étaient pas plus nombreux, ils valaient cependant dix fois mieux que ça. Pas de doute, à la fin de cet affrontement, mon armée serait encore la seule en bon état. Regardez moi ça, moyenne d'âge : 12 ans et des poussières. Il y avait quoi là dedans... cinq guerriers ? dix, tout au plus, le reste n'étant qu'une masse informe d'infirmes. La bonté de mon frère me faisait pitié. A force d'admettre n'importe qui, on finissait par devenir n'importe quoi.

Natika suivit Le nouveau chef de l'Armée de Füma, tout en fessant attention de ne ps se faire voir de Gae Dearg au cas ou il suivrait lui aussi leur chef. Natika se demande ce qu'elle fait là au lieu d'être en sécuritée avec son fils. Mais elle continua tout de même, elle ne pouvait plus reculer à Présent. Elle devait continuer sur la même route. Natika attendit donc la suite des événement en fesant nien attention de ne pas se faire voir par Gae-Dearg, qui lui a demander de rester à la maison avec leur fils Aneth quand il est partit rejoidre l'armée de Fûma. Mais Natika n'est pas du genre à rester tranquille surtout quand Fantastiqua est en danger comme aujourd'hui. Natika n'a peur de rien malgré que ce soit une femme et qu'elle soit mère en plus de tout cela. Natika a plus peur pour ses amis et sa famille que pour elle même. A ce moment là Natika vit arrivée Kanoë avec son armée, mais elle ne vit personne de l'armée de Fûma à-part elle. Bien sur elle vit Zarathos qui a trahis Fûma mais c'est tout. Natika se Demande bien coment on trahir un roi, pour qui on a une allégence. En tout cas personellement ça lui viendrait jamais a l'idée de faire ça, surtout que ça famille est pour Fûma depuis plusieurs générations. Natika se dit que les soldats de l'armée de Fûma arriverons sans doute plus tard aprés tout c'est pas son probléme, elle est venu pour aider le prince Fûma a sauver Fantastiqua elle fera tout son possible pour cela même elle se retouve la seule guérière de Füma a être ici. Pourtant ils étaient plus nombreux que ça, quand le prince Fûma à conqué toute sa troupe avant de partir.

La route avait été longue, et la plupart des hommes étaient au mieux fatigués, au pire à bout de force. Seuls quelques uns, plus robustes, tenaient encore facilement sur leurs jambes. Plutôt inquiet de tout ceci, je talonnai mon cheval pour remonter la longue colonne de l'armée en marche. Il me fut difficile de ne pas m'arrêter auprès de Fel pour tenter une énième fois de la convaincre de faire demi-tour, mais je me tins à son choix. La mine renfrognée, je repris finalement la tête d'une armée que tous auraient voulu plus glorieuse. Au loin, les longues ailes noires de Kanoë me servirent de guide.

Nous arrivâmes néanmoins dans la grande plaine plus tôt que je ne l'aurais cru. Déjà, une armée de démons nous attendait de pied ferme. Mes yeux balayèrent la masse informe avant de se poser sur les guerriers qui me suivaient. A première vue, nous étions à facilement 1 contre 2... Il allait falloir un sacré discours pour motiver tout le monde. Allez mon frère, ça, c'est ton domaine. Je ne fus pas déçu.

-Ca y est, nous y sommes. Nürnen... C'est ici que va se décider le destin de nos vies ainsi que celles de tous les habitants de Fantastiqua. Je ne vous cache pas que ce ne sera pas simple. Notre adversaire est puissant et il ne sera pas seul soyez en surs. Cependant, je vois dans vos yeux cette détermination, cette force, cette volonté de triompher, cette lueur d'espoir qui fera toute la différence le moment venu...J'ai confiance en vous, j'ai confiance en nous. Et, je sais qu'avec l'aide de...Fûma et de ses hommes...nous avons toutes nos chances

Toutes nos chances... en attendant, nous étions seuls, bel et bien seuls, et je commençai à me demander si Fûma ne nous avait pas consciencieusement laissé dans cet état. Après tout, il avait beaucoup à gagner que nos troupes se tiennent en première ligne... Mes sombres pensées furent interrompues par le cri d'une corne de guerre avant que je ne puisse me référer à mon Prince. Si je ne reconnus pas immédiatement le drapeau flottant au dessus des lances, je n'eus cependant aucun mal à déterminer le commandant de l'armée : une rose et une faux, cela ne pouvait être que Rosiel. En effet, le nécromancien eut tôt fait de nous rejoindre, puis de motiver à son tour ses troupes bien plus nombreuses que les notres. A présent, nous avions peut être à peu près le même nombre d'hommes que Ragniel. Mais était-ce suffisant ? Que pouvait un simple guerrier contre un démon ?

Fûma arriva à son tour, mettant fin à ma théorie du complot. J'avais failli m'en vouloir, mais Fûma me rassura très vite. Toisant Kanoë, ignorant Rosiel, il afficha le même air de mépris qu'on lui prêtait sur les fresques et les tableaux.

- C'est tout ?

Je fis un pas en avant, mais une explosion assourdissante m'arrêta net. L'armée de démons avançait vers les rangs serrés des squelettes et autres morts vivants. La bataille commençait. Laissant tout ce petit monde diplomatique à leurs affaires, je tirai mon épée de son fourreau, et me tournais brièvement vers les troupes :

- Soldats, aujourd'hui, vous ne vous battez pas pour Kanoë, ni même pour vos vies. Vous vous battez pour Fantastiqua tout entière, pour ses habitants, et sa prospérité ! S'il faut que nous mourrions avant ce soir, alors soyons en fiers !

Je me tournais vers l'ennemi et brandis mon épée vers le ciel :

- Pour Fantastiqua !

En deux foulées, je n'étais déjà plus qu'un énorme loup bondissant vers la mort. Jamais je ne m'étais senti aussi vivant. Par message téléphatique, je chargeai mon second de mener le gros des troupes prêter main forte aux squelettes de Rosiel. Quant à moi, je contournai le gros de l'armée de démons, me frayant un passage de manière peu subtile vers leur commandant. Mais alors que j'apperçus enfin la tête pensante, mes pattes se dérobèrent ; Zarathos ?

Sans plus faire attention à ce qu'il se passait autour de moi, je donnai des coups de crocs et de pattes à droite et à gauche pour me dégager de la masse. Quand enfin je sortis miraculeusement vivant du chaos des démons, je redevins humain, l'épée brandie, l'incompréhension peinte sur mon visage.

- Zarathos ? criai-je pour couvrir le vacarme des combats.

Le démon se tourna vers moi, et je compris qu'il n'y avait plus qu'une seule issue possible. Malgré tout ce qui avait pu nous rapporcher par le passé, le combat était inéluctable.

[HRP : Zara, jte laisse répondre dans un autre sujet, pour pas trop grossir celui là !]

La bataille avait été lancé trop tot a cause de Nirubi. Sans dout n'avait elle pas aimer que je l'enferme dans ma stelle pour ouvoir etre libre. Ce que je n'avais pas prévu, c'etait qu'elle puisse se libérer alors que moi meme je n'avais jamais reussi.
Je sens que Nirubi sera ma remplaçante un beau jour... mais d'ici là, elle n'a pas a agir a sa guise!

MES DEMONS, NOUS N'AVONS NUL BESOINS DE DISCOURTS POUR NOUS MOTIVER CAR QUOI QU'IL ADVIENNE, NOUS RETOURNERONS EN ENFER EN Y EMMENANT NOS ADVERSAIRE. OBEISSEZ AUX ORDRES DE ZARATHOS COMME S'ILS VENAIENT DE MOI
EN AVAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNTTTTTTTTTTTTTTTT
Quand a toi Zarathos, vas couvrir Nirubi, arrange toi pour qu'elle survive afin que je lui montre qui commande, occupe toi de l'armée des morts et de cet homme loup. Pense a la renaissance de nos congeneres et ne te bats que dans l'optique de ce jour proche qui arrive a l'horizon.
Je me charge des princes et de ce qu'ils osent appeler une armé...

Deployant les ailes de ma forme démoniaque, brandissant mon fouet enflammé dans une main alors qu'une épée tenait dans chacune de mes trois autres main, je m'envolais en direction de l'armée adverse , arrivant a raz de terre, les lames tendues en avant et sur les cotés afin de renverser les lignes cavalieres. Je sentais leur lances se briser contre mon corps, dont la peau demoniaque et solide offrait la meilleure des armures. Si j'avais été humain, je n'aurais fait qu'une petite ouverture dans leur défense, mais avec ma forme originelle, l'ouverture était gigantesque, un couloir de cadavre de six metres de large qui menait de mon armée aux princes dans une magnifique ligne droite.
Regardant en arriere, je voyais Zarathos diriger mon armée d'une main de maitre, alors que diriger des démons est different par rapport a diriger des humains. Malgré cela, il s'en tirait admirablement bien.

Fuma, Kanoé, préparez vous a mourrir, vous et votre pitoyable armée ne faites pas le poid. Venez vous battre si vous en etes capable, ou alors, montrez a vos hommes qu'ils se battent au nom de souverrains laches qui n'ont de prince que le titre.

Je lança mon fouet a la fin de ces paroles et ce premier s'enroula autour du corps d'un des deux princes angéliques que je fis tomber de cheval. Battant des ailes pour atterir, j'effrayais les chevaux et apres diverses ruades, la majorité des cavaliers se retrouverent a terre.

Votre mort approche...

Maitre, en passant vers les armées des princes, j'ai vu un nécromant, j'aimerais m'en charger personnellement car il manie la faux, tout comme moi.

Zarathos regarda la démonette qui venait d’apparaître et sourit *pff prétentieuse et idiote la vanité est toujours le plus gros défaut avec l’orgueil des démons *

Toi là, Zarathos.... charge toi de son armée de squelette, enfin, si ce n'est pas trop dur pour toi... et si tu n'a pas trop peur...
Zarathos sourit et pour toute réponse lui leva juste son troisième doigt enflammé et regarda ensuite les armées en se concentrant
puis il regarda Nirubi attaqué sans attendre Rosiel
« mais qu’elle c…. » Zarathos se posa face a son armé et prépara sa lame

La bataille commença les hordes de démons se jetèrent sur les armé de l’alliance Zarathos pour l’instant restait en retrait tout en menant ses force

MES DEMONS, NOUS N'AVONS NUL BESOINS DE DISCOURTS POUR NOUS MOTIVER CAR QUOI QU'IL ADVIENNE, NOUS RETOURNERONS EN ENFER EN Y EMMENANT NOS ADVERSAIRE. OBEISSEZ AUX ORDRES DE ZARATHOS COMME S'ILS VENAIENT DE MOI
EN AVAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNTTTTTTTTTTTTTTTT
Quand à toi Zarathos, vas couvrir Nirubi, arrange toi pour qu'elle survive afin que je lui montre qui commande, occupe toi de l'armée des morts et de cet homme loup. Pense a la renaissance de nos congénères et ne te bats que dans l'optique de ce jour proche qui arrive a l'horizon.
Je me charge des princes et de ce qu'ils osent appeler une armé...
Zarathos sourit et regarda son maitre attaquez et tout dévaster tandis que Zarathos regarda ses force et en moins d’une minute lança ses ordre et sans bouger dirigea sans problème ses unités sans se retenir pour tuer ceux qui oser l’approcher
Soudain il le sentit et resta toujours aussi calme et regarda le loup qui se changea en homme
Zarathos ?
Le démon se retourna doucement et soudain entre les deux hommes un silence et un vide se créa les combat au tour d’eux semblait loin
Zarathos alors leva sa main et dit juste « j’aurai du m’y attendre autant que l’on soit tranquille pour enfin en profiter »Alors un cercle de flamme se créa au tour des deux combattant et se ferma, Zarathos et Tarod était seul dans une sphère de feux impénétrable
« Maintenant personne peut rentrer ou sortir tant que je suis vivant le feu des âmes brulera l’âme de quiconque essaie de la traverser humain comme squelette comme démons »Une escouade de garde d’élite de Kanoë essayèrent et au contact avec le feu tombèrent le corps intacte mais sans âmes et sans vie
(Suite dans combat entre capitaine)
……………

Les armées de Zarathos et Ragniel combattait avec rage et massacrait sans se retenir toute vie autre que la leur
Mais bientôt ils furent bloqué par des grands combattants adverses et sourirent face à eux de grand nom comme Kaïri Felyndiira Alyanah ou Natika
Cette bataille allez devenir sanglante
(Je m’occupe dans ce sujet de mener les pnj de l’armé de Ragniel contre les joueurs restant)

l'attaque de nirubi ne m'avait pas laissée le temps de réagir et je fus incapable de sauver la trentaine de squelettes qui avaient eus la malchance de se trouver a moins de dix mètres de cette soudaine adversaire qui avait parti le bal et engagée les hostilités. malgré tout je me remis assez rapidement du choc et pour pouvoir éviter que cette ennemie prenne la fuite je descendait a terre en vitesse avant de former autour d'elle et moi une gigantesque sphère d'os qui nous isoleraient bloquant les sons, l'énergie, les impact et nous empêchant de voir comme d'être vus. dans l'immédiat j'allais devoir laisser mon fidèle majordomm et ami meran commander les troupes ce que je le savais il ferait sans trop de peine même si il était loin d'être aussi fin stratège que moi. pour l'instant j'avais mon propre combat a mener

(combat qui se trouve ici sur la plaine, sujet: nirubi VS. rosiel pour ceux et celles qui voudraient suivre ce combat)

J'avais le coeur battant la chamade. Le trajet nous conduisant aux plaines de Nurnen avait était très long et beaucoup en avait souffert. Pas seulement du aux mauvaises conditions du voyages mais surtout, la plupart étaient rongés par l'appréhension, si ce n'était plus. Le prince, le capitaine et les chefs de troupe se montraient particulièrement encourageant envers nos soldats. Chacun d'eux avait sa petite armée personnelle. Pour ma part, je n'en avait aucune mais j'avais ma petite idée la dessus. Cela faisait un moment que je rêvais pouvoir utiliser l'un de mes dons le plus ancien dans un évènement pareil. Une petite pensée s'envola vers mes deux fils, resté en sécurité. Tarod avait de nombreuses fois tenté de me dissuader de les accompagner ; même Kanoë s'y était mis - sans trop insister - mais ils avaient besoin de moi sur le champs de bataille. D'une part, je connaissais très bien l'un de nos adverssaires, le capitaine Zarathos qui était tombé du côté pire que obscur pour suivre Ragniel. D'autre part, mes qualités de féline me permettaient de me faufiler n'imprte où tout en gardant un parfait suivis du combat. C'était ainsi que j'avais décidé de combattre : discrétion et stratégie avant tout. Et l'arrivée de mon "arme secrète" achevera mon plan.
Les plaines étaient balayée d'une brise froide qui me glaça les os. Non pas que je soit sensible au froid mais il y avait dans cet air de la tension, de la cruanté à l'état pur et l'odeur de l'ennemis qui hantaient mes narines. Nous étions tout près. Alors que Kanoë acheva son discours d'encouragement avant le combat, les chefs de troupe se dirigeaient vers leurs armées pour faire de même avec elles. La mienne n'était pas loin, il me suffisait de l'appeler. J'avais passé plusieurs jours précédent notre mise en route vers Nurnen à la mettre au courant, à la regrouper, à grossir ses roang à une vitesse qui m'excitais plus que tout. Tous étaient avec moi, ils me l'avaient promis, ils seraient là, sur terre, dans l'eau et venant du ciel, mon armée mettra sa vie en péril pour sauver ce monde. La raiso pour laquelle j'avais choisis de me battre et non de rester protéger mes fils était que si nous n'arrêtions pas Ragniel ici même, mes fils seraient de toute manière perdu, avec ou sans ma protection. De même pour mon armé qui savait pertinament que rester caché n'aiderait pas à sauver ce monde et qu'après nous, eux aussi seront détruits. Je n'avais parlé à personne de ce groupe. J'attendais le bon moment, l'effet de surprise et priais de toute mon âme pour qu'il n'y ai pas trop de perte parmis mes alliés. Passant à côté de Tarod, je lui frolé la main et murmurais à son oreille avant de me rapprichais des arbres qui bordaient la plaine :

"Bonne chance mon amour, on se retrouve à la fin de cet bataille. Je t'aime"

ans me retourner - un regard vers lui aurait pu faire faiblir mon courage - je marchais d'un pas décidé vers la lizière. Des cris de rage retentir derrière moi, je risquais un coup d'oeil. Tout s'étaient enchaîné très vite. Rosiel répondait à la provocation de Nirubi, cette chienne démoniaque que je souhaitais ne pas affronter, ni moi ni mes alliés. Ce serait risquer des vies pour rien. Mon armée n'était pas qualifiée pour lutter contre la magie ou les forces démoniaques. Mais elle était constituée d'un nombres d'individu incalculable, enfin je l'espérait. J'en avais vu trop peu d'entre eux pour être certaine de leur présence en masse mais j'avais eu leur promesse qu'il préviendraient et rallierais le maximum d'individu de leur espèce pour m'accompagner. Tarod s'était lancé dans un combat contre Zarathos. Je priais pour lui en fermant brièvement les yeux. Puis je disparu dans les fourés. J'espérais qu'aucun membre de mon équipe ne penserais que je déserte. Ils me faisaient confiance mais connaisaient aussi mon passé qui se résumait à la fuite.

Cachée dans les buissons, je grimpais à un arbre pour avoir une meilleure vue et repéra les têtes importante à désarçonner au plus vite. Je repérais deux elfe dans la bataille mais je dévinais qu'ils appartenaient à la légion de Füma. les deux princes s'étaient rallié contre Ragniel. Que pouvais-je vraiment entreprendre. C'est lorsque je vis ce qu'on considérait comme l'armée de Zarathos que je sentis que j'allais pouvoir intervenir. Alors que les combats très clairs très distincts, se déroulaient devant mes yeux, je distinguais les sbires du capitaine, des morts ou des vivants, peu importe, des fantôme des démons, des êtres sans visages, des créatures sombres aux mains dotées de longues griffes rongées. Des êtres vraiment immonde, certains de très grande taille, d'autre semblant ridicule mais qui se faufilaient partout avec des coups bas diaboliques. Parfait pour mon armée. J'entendis d'ailleurs les premiers râles de celles-ci. Je me tournais et aperçu avec stuppeur une centaine d'animaux, d'espèce différents : des félins de toutes sortes, des bêtes à cornes, des canidés, de pachydermes, de rongeurs et de rampants. Près de nous, dans un cours d'eau, encore des centaine d'espèces de poissons, amphibiens et insecte aquatique. Dans les arbres, des centaines d'oiseau, de rapaces et autres mamifère volant en plus d'une dizaine d'espèce de singes et d'écureuils. Devant ce raliment, je me dis que le règne animal n'avait pas envie de s'impliquer davantage dans cette guerre et que qu'une seul de chaque espèce se laisserais dans la bataille. Je me trompais. Le lion, roi des animaux à ce qui paraît, pris la paroles pour ses semblables terrestres.

"Dame Felyndiira, nous avons tous répondu a votre apel aussi nombreux que possible pour mener notre dernière grande guerre contre le mal en espérant qu'il soit éradiqué pour toujours.
- ...je vous espérais plus nombreux mes frères.
- Nous le sommes dame, vous ne voyais ici que les représentants de chaque espèces qui se joins à vous aujourd'hui. Nous avons fait passer le mots en quelques jours via la terre, la mer et le ciel et avant rallié la quasi totalité des animaux vivants à Fantastiqua.
- Gloups, vous êtes sérieux ?
- Je ne l'ai jamais autant été.
- Vous êtes épatants. Je ne vous cache pas que notre adversaire et le pire de tous les prédateurs connus. Il est infâme, souillé de haine et de cruauté, imbibé de maléfisme et démoniaque jusqu'au bout des griffes. Il a des pouvoirs qui dépasse votre entendement. Je vous en prie, quoi que vous tentiez, gardez à l'esprit que vos sacrifices de seront pas vains.
- N'oublis pas la promesse que tu nous as faites dame féline. Le respect de l'espèce animale que tu chéris tant.
- Mon prince a toujours était bon envers vous et après votre aide, je suis certaine qu'il ferra en sorte que son peuple ai le respect pour vous que vous convoitez tant, avec raison. Mes amis, je me retiens de ne pas tous vous embrasser. Je mènerais vous troupe au centre du champs de bataille. Que tous les félins et les canins me suivent dans cette percée. Vous autres mammifères terriens, séparez vous en deux groupes pour les encerclés.
- Je tiens à préciser que les troupes de pachyderme sont déja posté à l'autre bout du champs de bataille. Ils ont laissé passer l'ennemis mine de rien puis se sont regroupés derrières leur dos. Les éléphant, rhino, hippo, bufle et autre attende le signal de leur porte parole éléphant pour charger, ils piétineront tous sur leur passage sans distinction possible.
- Formidable vous êtes deja près. Amis des eaux, faites au mieux, ils y a peu d'eau sur le champs de bataille mais ceux qui chercheront à fuir par les eaux seront à vous. Amis des arbres, je vous conseille de descendre de vos arbres et de grimper sur les pllus grand et fort coureur pour gagner de grande distance rapidemment et bondir sur les démons. Faites attention à voue, pas d'imprudence. Frère Lion, tu disais sans distinction. Faut t'il mettre à l'abbris mes compagnons ?
- Il serait sage de les prévenir oui mais si les tiens ont des signes distinctif de leu camps, nous pourrons éviter de faire des morts parmi ceux qui sont de notre côtés.
- Bien".

Après leur avoir expliquer comment reconnaître les guerriers de Kanoë et de Füma, je rajustais mon carquois plein de flèches, coinça ma dague dans ma ceinture et la petite nouveauté, je possédais maintenant ma propre épée. Toute légère et finement aiguisée, elle était parfaite pour moi. Je la brandis avec force pour encourager mes alliés. Ces derniers se dispercèrent pour gagner les leurs et donner mes instructions. Leurs laissant quelques minutes d'organisation, puis d'un cris féroces, je bondis sur le dos d'un léopard et jaillis des fourés suivis de ma hordes de griffes et de crocs acérés, près à tout pour ramener le calme dans leur vie et celle de leur famille. Mâles et femelles avait pris part au combats, même des touts jeune loups et félins participaient avec vigueur. Surgissant du ciel, mon armé du ciel fondis sur les spectres, semant la pagaille lachant d'abord tout sorte de projectile en fonction de leur force avant de se livrer eux-même au combat. L'éléphant se mit à barrir d'une puissance phénoménal et le sol se mit à trembler sous les pas furieux de ses congénères. Je notais que je ne voyais pas Taord mais que soudain il apparus en situation de supériorité face à Zarathos, Kienzan près d'eux. Cette réaparition fit stopper plus d'un guerriers et je pus aisément profiter de ce moment d'égarement de la part de nos adverssaires pour leur envoyer une bonne volée de flèches suivit de mes alliées. Des colombes portaient mon message d'avertissement aux autres chef de troupe. Elles se posèrent là où s'était possible et dans un moment qui n'altérait pas leur affrontement. Sur leur ailes, au charbon de bois était inscrit c'est quelques mots.

"Attention animaux charge sous mon ordre, Fely"

Celle pour Tarod comportait deux mots supplémentaires "Je t'aime".

Les bêtes à cordes chargèrent des deux côtés à leur tour, défonçant tout sur leur passages. Les pachydermes déboulèrent à l'arrière prenant la totalité des trois armées en filet. Les crocs de mes proches se refermaient avec rage sur les têtes des démons. Je distinguais avec plaisir, que mes alliés parvenaient à distinguer les miens de ceux de Ragniel. L'armée de Zarathos fut prise par la surprise comme beaucoup d'autre. Il fallait tuer le plus d'ennemis le temps que l'effet de surprise se dissipe. Avec fierté devant la bravour de mon armée animale, je me lançaient moi-même avec rage dans l'affrontement enchaînant les décapitations parmis les créatures immondes de Zarathos et Ragniel en poussant des rugissement digne d'une féline

L’armé que Felyndiira avait réussi à recruter fit mal très mal les démons était pris en plein dans des charge mortel et ne comprenait pas ce qui se passait mais en moins de temps que prévu dans un bruit qui était insupportable le ciel devint sombre et la pluie se mit à tomber, une pluie torrentielle qui transforma le terrain sec en pleine bouilli ou tout le monde glissait facilement

Alors un tonnerre tomba sur le sol et une deuxième porte s'ouvrit laissant apparaitre des créatures de Fantastiqua mais aussi des démons et des anges déchus

Zarathos commença à se faire envelopper de flamme immense et il regarda ses frères démon et d'une voie calme et rocailleuse lança
"Phamtom Ghostar capturez fely vous pouvez tout lui faire sauf la tuez "
Les deux ombres sourirent et d'un corps matériel devinrent noir ombre et disparurent
"Toka'krick apporte la famine et l'apocalypse sur ses salle bestiole qui ne savent pas rester a leur place "
Le démon plein de pustule et maigre alors commença à partir et tout en levant les mains une nué de parasite commença à attaquer les plus gros des animaux
"Vicious et Greed vous prenez les vétérans et reformez notre armé afin qu'elle réattaquer et détruise tout leur flanc disperser pour mieux régner n'oublier pas des attaquer disperser et directe peuvent faire plus mal que foncer tète baisser"

Les deux démons alors disparurent dans un cercle magique et réapparurent avec d'autre démones plein dans les rangs de Kanoë puis dans ceux de fuma et ainsi de suite
Zarathos éclata de rire ses armé était âgé de plusieurs millier d'année et avait affronté des ennemis aussi effrayant que Ragniel donc il ne craignait pas fuma et Kanoë

Puis les deux capitaines redis parure sous un mur de flamme

Les âmes des ancien frere de Zarathos qui avait rejoin ragniel commencer à faire un massacre mais le pire c'est que Vicious et Greed fessait en

Les animaux une fois leur charge fini comprirent surement très vite qu'il allait mourir très vite pour certain étant donner qu'il était entourer des guerrier de zarathos le massacre commença alors

Pendant ce temps Ghostar et Phamtom arrivèrent face a fely et sourire "voici donc la petite protéger de la vielle "
"Je comprends que zarathos voulait la bouffer elle a l'air délicieuse et ses sur que son pouvoir aurait grandement servi"
"Le mieux c'est son fils il faut absolument le récupérer il nous permettra de vaincre nos ennemis"

Les deux ombre alors sortirent des dagues forger bizarrement et se préparèrent à se battre contre fely et....

Nous étions arrivé rapidement sur la plaine du combat et, après les discours du prince et du capitaine, la bataille fut lancée. Nos adversaires étaient aussi ténébreux que l'enfer dont ils sortaient surement. A leur tête, le fameux Ragniel, aussi horrible que ses sbires, Niru, ma chère amie qu'il m'avait été donné de rencontrer lors d'un entrainement et qui avait bien faillit me faire plier et... Zarathos, ce capitaine traître qui ne m'avait jamais inspiré confiance.
Le brouhaha et les clameurs du champ de bataille étaient en contraste avec la route longue et silencieuse que nous avions entrepris. Notre armée avait vu ses rang gonflés par les soldats du prince Fuma et par l'armée de Rosiel mais elle semblait si chancelante à côté de nos adversaires! De plus, nos hommes étaient affaibli et je priais pour qu'ils tiennent suffisamment longtemps pour nous assurer la victoire...
Les premiers à engager le combat furent cette imbécile de Niru contre Rosiel, suivit rapidement par les deux capitaines.
Bon, il fallait la jouer fine si je voulais m'en sortir!
En parcourant des yeux la plaine je vis des têtes que je connaissais bien comme ma petite oreille pointue, je m’aperçut également que la tigrée n'était plus là. Peut-être son mari avait-il réussit à lui faire changer d'avis? Je compris bien vite que c'était faux, elle renoncer? jamais! Une colombe vint se poser près de moi avec un message sur ses ailes:

"Attention animaux charge sous mon ordre, Fely"

Elle m'étonnera toujours celle-là! Mais moi non plus, je n"étais pas venu les mains vides et son assaut me permis d'appeler les miens, enfin des sous-vampires, mes level E.

J'avais un ami, Yral, vampire bien entendu, qui avait le pouvoir d'entrer dans la tête des gens à distance pour leur délivrer un message ou pour les torturer... au choix! Je lui avait demandé de réunir une poignée de vampire en Nurmen et, si possible, qu'ils passent par les villages aux alentours et qu'ils ramènent de jeunes vampires vigoureux et assoiffés. Comme les miens étaient rapide de nature, je savais qu'ils arriveraient à temps. Il s'étaient donc exécutés et de mon côté, lors du voyage, j'avais fait un petit détour pour me rassasier et pour gonfler les rangs. J'étais donc accompagné d'une vingtaine de toutou, près à tout pour se nourrir, qui n'avaient qu'une seule règle: ne pas toucher à nos alliés, même mort, par respect pour nos frères. Je n'eus aucun scrupule à les transformer, ces paysans devaient bien ce battre pour leur terre! Ils n'allaient pas resté gentiment au coin du feu en attendant que nous nous tapions le sale boulot et que nous finissions, pour la plupart, en charpie!

Yral me rejoignit donc et fit sonner une corne qui résonna entre les fracas des lances, épées et autres armes qui scintillaient sous les flammes et qui rougissaient de sang.
Bien plus de vampires que prévu avait répondu à l'appel. Il me restais des amis qui comme moi, haïssaient mon père et sa loi. Ils étaient près à en découdre par allégeance pour moi et l'un d'eux, le chef probablement s'avança à mes côtés:

-Je suis honoré de te revoir mais nous n'avons pas le temps de discuté à ce que je vois! Nous attendons tes ordres princesse de sang pur.

-Tu as raison, nous bavarderons plus tard! Envois tes chiens, qu'ils déchaînent leur soif sur nos adversaires et qu'ils dévorent leurs âmes noires!

Celui-à m'avait prêté allégeance à l'époque où je vivais sous la tutelle de mon père, je pouvais lui faire confiance et m'engagea donc, confiante (ou presque) dans ce combat, pour Fantastiqua!
Sous ses ordres, la troupe de vampires de rua sur l'ennemi, le transperçant de toute part à une vitesse fulgurante, chacun était armé mais c'est avec leur crocs qu'ils faisaient le ménage. Des têtes volées, aussi bien ennemies qu'alliées mais qu'importe, il fallait avancer sans se retourner.
De mon côté, mes Level E se battaient bravement déchiquetant tout, membres, chairs et os.
J'avais déplié ma faux et fonçais sur ces tas de squelettes ambulants qui me répugné. Diverses bestioles grouillaient partout, nous aidant moi et mes frères et je remerciais Fély d'avoir fait appel à elles.
Seulement, je ne compris pas comment, mais des démons tout droit sortis de l'enfer commencèrent à les encercler, mes level E avec! Ils étaient effroyables et apparemment, sortaient d'une incantation de ce cher capitaine Zarathos.
La première vague de combattants de Ragniel se repliait, laissant le champs libre à ses seigneurs de l’apocalypse. Je ne voyais plus les têtes familières de mes amis et m'en inquiétais mais je ne pouvais pas relâcher ma vigilance. Je libérais donc mon pouvoir pour faire face à ce nouveau flot d'adversaires et créais des animaux et clones de sang que j'actionnais comme des pantins, venant s'écraser contre les monstrueuses créatures qui me servaient d'ennemis. Je profitais d'une seconde d’inattention de leur part pour puiser ici et là du sang plus ou moins frais, et plus ou moins bon (mais bon, en guerre, on se contente de ce qu'on trouve).
Je ne savais pas vraiment combien de temps j'allais tenir et je comptais sur le soutien de mes frères d'arme mais je vis avec horreur que certains se retournaient contre nous! Déjà que notre nombre semblait faible, si nos combattants s’entretuaient, on irait pas loin!

Je savais ce qu'il fallait faire, anéantir la source ce carnage.... mais je n'avais pas la moindre idée de comment tuer des démons! Surtout qu'ils venaient d'un démon puissant... Mais bon, avec ma détermination et mon tact habituels, je siffla mes vampires et me rua sur ces entités maléfiques.
Espérons que la chance me sourira....

Non mais qu'est-ce-que je faisais là. Je me retrouvais dans une troupe de guerrier en route pour croiser le fer - enfin façon de parler - avec les miens contre ce dingue de Ragniel. Moi petite domestique de 14 ans sur un champs de bataille mais pourquoi. Le prince Füma avait ordonné ma présence mais j'étais très loin d'être une guerrière. J'étais terrifiée, il le voyait mais cela l'importait peu. Durant le trajet qui nous menait au combat, j'avais tenté de dissuader mon prince de me faire prendre part à l'affrontement mais pour taire mes supplications, il n'avait sortis froidement que trois mots : "Tu me serviras". Il ne m'adressa plus la parole de tout le trajet et je ne pus rien faire d'autre à part le suivre, en silence. Ces mots m'avait scié car j'avais peur de comprendre ce qu'il entendait par là. Il n'allait quand même pas m'utiliser comme bouclier vivant contre Ragniel ? Hum, je devrais faire en sorte de m'éloigner "accidentellement" de mon maître. Dans la confusion d'un affrontement, ça ne devrait pas être trop difficile. Je devais également me trouver loin de Ragniel. Je ne tenais pas à affronter cette masse démoniaque même si je ne craignais pas ses pouvoirs. Ce n'était pas le seul être que j'appréhendais de croiser. Il y avait aussi Kanoë qui m'avait démasquer dans mon rôle d'espionne pour le compte de son cher frère et surtout Zarathos. Ayant était sa servante, il avait très vite compris mon pouvoir et je savais pertinemment que fasse à lui, il ne se fatiguerait pas à me lancer un jet de flamme. Celui-ci ricocherait sur moi et ne m'affecterais an aucun cas. Par contre, un bon coup d'épée dans le ventre était radical pour mettre fin à mon existence.

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En arrivant, j'avais aussi aperçu Kairi, la vampire qui m'avait épargnée et que j'avais aidé en contre partie. Les autres, je ne les connaissais pas. A cheval, telle une ombre je suivais mon souverain jusqu'au champs de bataille. Pour passer inaperçu envers ceux que je ne souhaitais pas croiser, j'avais caché ma tête sous ma cape roige foncé. Lorsque les hostilités commencèrent, j'écartais un peu mon cheval pour m'éloigner de mon prince qui, avec son frère, s'était ligué contre Ragniel. Ensuite tout alla très vite. Des hordes d'animaux se ruèrent sur nous mais à mon grand soulagement, ils chargeaient l'ennemi. Ils étaient conduis par une jeune femme d'apparence très féline que je n'avais encore jamais vu. Effrayée, je n'étais pas au bout de mes surprises. Kairi débarqua avec ses level E pour affronter la horde de démon déchaînée. Perdue au milieu de tout ça, je me sentais complètement inutile.

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Mon cheval se cabra brusquement et je tombais à terre sur le dos. Me relevant, ma capuche dégringola sur mes épaules et avant de pouvoir cacher ma chevelure si mémorable, je fis face à un démon qui m'envoya une vague noir censé certainement me faire du mal. Cette dernière percuta mon bouclier invisible et il renouvela ses attaques. Il s'approchait dangereusement de moi mais chacune de ses attaques était dissoute immédiatement. Moi je ne bougeais pas. Je ne sentais rien mise à part le vent. Il s'élança alors contre moi pour me percuter mais il s'écrasa sur le bras que je venais de tendre et explosa en mille morceau. D'autres curieux vinrent tenter leur chance mais rien n'y faisait. Les démons laissèrent place à une créature grotesque, terriblement effrayante qui brandissait une hache. Çà, j'étais certaine de ne pas pouvoir l'encaisser. J'évitais le premier coup en regrettant amèrement de ne pas avoir déserté plus tôt. Terrifiée, je me sauvais en courant, évitant les lames, les animaux, tout ce que je pouvais pour ne pas tomber mais je trébuchais néanmoins et fit face en criant à mon assaillant qui était prêt à m'ouvrir en deux comme une noix de coco.

allors ça j'étais loin de m'y attendre. je savais que mon adversaire était puissante mais ce qui venait juste de se passer défiait l'entendement...me relevant après le choc je regardais frénétiquemenbt autour de moi en essayant de rassembler des renseignements sur ce qui se passait. ayant été isolé de la guerre par mon adversaire j'avais du retard a ratraper quand a la manière dont les choses s'étaient déroulées.

mon duel avec la dame des enfers qui n'avait toujours pas eue la politesse de se présenter m'avait drainé mais j'étais encore en course et pouvait encore me battre: juste comme j'avais pris l'avantage grâce a une attaque surprise puis relâché mon dôme j'avais été balayé par la puissante explosion provoquée par mon adversaire. je venais juste de me relever et put enfin contempler les événement. cependant allors que je regardais autour de moi un oiseau vint se percher sur mon épaule pour me remettre un message qui arrivait un peu tard mais ammena immédiatement un sourire sur mes lèvres.

"Attention animaux charge sous mon ordre, Fely"

j'avais beau avoir raté une bonne partie de la charge animale il n'en restait pas moins que je pouvais encore en constater les dégâts sur l'armée ennemie. fély avait jouée une très bonne carte et pour moi il s'agissait d'unbe chance a ne pas gaspiller: de retour dans mon élément je me mettait de nouveau a penser comme d'ordinaire: armées, tactiques, les deux ou trois pettits pièges habituels. j'étais de nouveau a ma place quoi !

*aaaaah ! je l'adore celle-la ! même si on ne peut jamais prévoir ce qu'elle fera ça finit toujours par tourner au miracle...a condittion de survivre a la catastrophe initiale. je te tire le chapeau que je ne porte malheureusement pas fély*

mais avant tout je devais rester concentré, rapellant mon destrier je remontait rapidement en selle et après avoir brièvement observé les troupes je remarquais ce qui pour moi était une vraie aubaine: une jolie pettite brêche dans les défenses ennemies, probablement causée par le coup de maitre de felyndiira. étant donné que c'était l'endroit idéal pour tenter une percée je donnais des instructions a mon armée de morts-vivants qui comme ils m'étaient tous reliés m'obéirent aussitôt...seulement je n'aimais pas l'ordre que je m'apprêtait a donner. bien qu'efficace il était contraire a ma nature: j'ordonnais carrément une boucherie

- ce flanc touché par la charge animale est encore sous le choc ! pellez-les moi vivant, extrayez les combattants isolés au millieux des ennemis pour qu'ils recréent leurs formations, montez une ligne offensive et exterminez-en autant que vous le pourrez. ils sont vulnérables, ils tiennent a peine leur position allors ILS NE DOIVENT PAS AVOIR LE TEMPS DE RÉCUPÉRER, RAYEZ-MOI CETTE PARTIE DES TROUPES DU MONDE DES VIVANTS !

mes subordonnés se mirent au travail et moi-même je réparrais tout mes sbires précédement cassés dans le combat faisant remonter mon armée a son compte initial: c'est donc des milliers de morts-vivants qui se lançerent a l'attaque tandis que les fantômes sortaient du pétrin les soldats coincés parmis les lignes ennemies. cependant malgré mon épuisement je me joignit a la charge de mes troupes. faux a la main je sciais en deux tout ce qui passait a ma portée aidé par meran qui m'avait rejoint pour assurer mes arrières. cependant comme je commençait a fatiguer je dus assez rapiudement me poster derrière lui. mon majordomme et ami tenait encore la forme et en dehors du fait qu'il avait cassé sa hache et recourrais maintenant a son épée il semblait assez bien se porter. il avait quelques coupures mais rien de plus.

pour ma part je me vidais assez vite de mes forces car même avec la puissance que me donnait ma faux il n'en restait pas moins que je n'étais pas en grande forme. de plus j'étais déjà épuisé par mon combat, les sorts de haut niveau que j'avais jeté et le noimbre harassant de morts-vivants et d'esprits que je maintenait en activité en même-temps...je voyais les esprits soulever des guerriers égarés pour les sortir du pétrin et d'autres posséder des démons pour nous assister. mes troupes se débrouillaient assez bien et même après plusieures minutes de cet affrontement le flanc que j'avais décidé d'achever ne semblait pas prêt a monter une résistance. cette partie-la de l'armée dde ragniel serait exterminée dans les prochaines minutes, surtout que je ramenais les démons tués par mes troupes a la vie pour qu'ils me prêtent assistance.

la guerre était encore loin d'être gâgnée mais une portion non négligeable des troupes de ragniel allait disparaitre dans les prochaines minutes...seulement j'avait intérêt a boucler cet assaut vite fait si je ne voulais pas m'écrouler d'épuisement

(HRP: faeryl. si tu veux tu peux utiliser les spectres de mon poste pour te tirrer de ton guêpier, de même que tout ceux et celles qui sont coincés quelque part. -je n'ai pas pu tout suivre même si j'ai les grandes lignes-)

J'étais arrivée sur la plaine quelques minutes après les autres. Ben oui, je voulais pas venir seule avec seulement Saphir pour compagnie. Et en chemin j'eus la chance de tomber sur une charrette de bandits particulièrement stupide qui me relooker de haut en bas. J'eus un sourire meurtrier, il serait parfait. Je n'eus aucun mal à faire en sorte qu'il me suive. Abruties comme ils sont, me pensant seule et sans défense ils me suivirent tel des toutous suivants le maîtresse, et après coup il m'avait juste fallu une bonne persuasion pour les mettre de mon côté.

Saphir avait, lui aussi participé, en appelant sa meute. Quand il fut de retour, une bonne vingtaine de loups le suivaient. Il m'apprit également que, bizarrement, il n'avait put réunir plus d'animaux, faute .. D'animaux. Bien que je trouva cela étrange, je n'eus pas le loisir d'y penser. Arrivée sur la plaine, je vis le démon à coté d'un ... Gros sac à patate volant - Que, vu sa laideur et l'aura qu'il ce dégager de lui, semblait être ce Ragniel - et n'eus pas besoin de lunette pour savoir qui il était : Zarathos. Ainsi donc il avait trahi son prince, et plus important, moi. Les hostilités commencèrent sans que je ne prenne part à rien, des sensations bizarres, que je ne connaissais pas, se succédaient pour laisser ensuite place à toute la rage et la fureur dont j'étais capable.

Des masses informes se succédaient devant moi, Saphir et les loups arrachant les gorges - ou des trucs ressemblant presque à ça -, et les bandits tranchant, de leurs haches et épées, jetant quelque fois un coup d’œil sur moi, ce qui m’exaspéra au plus au point, mais qui me fit aussi revenir à moi. Sans plus un regard sur Zarathos, je me lança dans la bataille. La rage faisait bouillir mon sang. Je sentis plus que jamais mes yeux prendre la couleur du sang, comme si je n'avais jamais était aveugle. Plus loin, je vis l'aura de Kaïri, qui elle aussi - j'en suis certaine - prenait un malin plaisir à trancher des corps.

Alors que je tranchais un démon en deux, une colombe se posa doucement sur mon épaule. Je faillis la chasser mais Saphir m'envoyai des images qui bloqua net cette envie.

"Attention animaux charge sous mon ordre, Fely"

Voila donc où étaient partis tous les animaux. Je souris largement.
Peu après le message, je sentis le sol trembler. Comme j'avais été prévenu je ne m'inquiéta absolument pas. Autour de moi, des auras s'éteignirent en masse. Puis sans prévenir, une chose me fit dresser les cheveux, avant même de l'avoir vu, je sentis des démons, puissant refluer d'un .. Portail peut être. On pourrait penser en les voyant qu'ils sortaient droit des enfers, ce qui devait sûrement être le cas. Achevant de nouveau un ennemi, je regarda aux alentours. Je m'arrêta sur Zarathos un moment. Une haine non dissimulé brillait dans mes yeux. Je ne sus si il m'avait vu, et honnêtement, m'en foutais royalement. Je suivis Kaïri qui se dirigeait droit sur les nouveau arrivant. Moi aussi j'avais l'intention de jouer. Quit à crever, autant crever en héros.

(HRP: je fais mon retour dans le post principal de la guerre, avis aux amateur qui veulent m'arreter)

J'etais enfin de retour
lorsque j'apparu, comme je l'avait penser, la puissance de Nirubi fut concentrée a la difference que son energie se mélait a la mienne. Dans le but de la contenir, je tendis ma main mais ce qui arriva fut tout autre. La puissance de Nirubi etait immense mais malgré tout, elle se basait sur ma puissance pour vibrer a l'unisson et une fois fait, elle se concentrait dans ma main qui se fit entourer d'un genre de flamme energetique. Une sorte d'energie que je n'avais encore jamais vu, la puissance de deux etres, dans le meme corps, Niru et Nirubi ne faisant plus qu'un, une alliance inimaginable.

Ma main, sous cette puissance etait entourée de flammes d'un noir profond dans laquelle etait mélée des nuances d'un blanc laiteux. LE symbole de l'alliance des deux etres habitant dans le meme corps.
J'avais en main une puissance peu commune, je decidait de l'orienter vers l'armée de Kanoe et de Fuma afin de me débarasser du plus grand nombre.

La puissance de cette attaque se répartie comme une trainée de poudre enflammée, rien n'était épargné, pas meme les démons.
Une fois avoir fait le ménage, une énorme breche était presente dans les rangs des deux armées, remettant a zero les chances de succes des deux adversaires. Ils étaient certe plus nombreux mais nous avions la puissance et ce n'etait pas un moindre détail.

Je devais me remettre en course et terrasser un maximum de monde pour nous assurer la victoire. Je laissa donc la place a Nirubi afin qu'lle fasse ce pour quoi Ragniel l'avait envoyé sur Fantastiqua: semer le chaos

petit resumé de mon combat contre les prince (il n'est pas fini, mais dire ou on en est)

Mon combat contre les princes faisait rage, usant de toutes les ruses possibles et imaginables, je parvins a eloigner Kanoé pour finir mon duel contre Fuma. Profitant d'un moment d'inattention, je me deplaça derriere lui et le frappa dans le dos, et le laissa tomber. Alors que ses soldats venaient lui porter secours, je tranchais ses soldat et une fois tous a l'article de la mort, je levais mon epee au dessus de la tete du prince dans le but de l'achever.

Le combat étais torride. Je n'avais pas une seconde à moi pour récupérer. Je tranchais, transperçais, éviscérais tous les ennemis qui se trouvais sur mon chemin. Ma monture féline allait bon train et esquivait à la perfection les obstacles. J'étais parfaitement en équilibre sur elle et pouvais aisément laisser mes bras libres pour combattre. Soudain, le grand félin eux un sursaut et roula dans la poussière. En tombant, il s'écrasa sur moi, enfin surtout sur l'une de mes jambes. Je criais sur le coup mais ma douleur fut pire lorsque je constatais que mon félin courageux avait pris une hache en plein poitrail lorsqu'il avait bondit. Il mourrait sur moi. J'entendais sa respiration ralentir jusqu'à ce que la vie le quitte. Je lui caressais l'oreille en lui murmurant qu'il avait bien combattu et que son sacrifice ne serait pas en vain. J'en faisais la promesse. Pas le temps de pleurer sur son sort plus longtemps car il me fallait me dégager avant que d'autre ne charge. Ils étaient de plus en plus agressif car ils se sentaient menacés. Déstabilisés par mon attaque animal, ils avaient à peine eu le temps de reformer leur rang que les sbires de Rosiel les décimaient tous cinq par cinq. Très efficace. L'un d'eux d'ailleurs vint me porter assistance et m'aida à m'extirper de dessous le tigre. Debout de nouveau, je fus soulagée de constater que ma jambe allait relativement bien. Je repris donc l'affrontement face à une nouvelle vague de monstres, ne subissant comme blessures que de légère entailles. J'avais un bon rythmes cardiaque de lancé, tant que je ne m'arrêtais pas, je restais redoutable. Une pause me fut malheureusement imposée car brusquement, le nombre d'assaillant autour de moi chuta. Je me retrouvais seule avec personne autour à moins de dix mètres. Deux êtres s'avançaient vers moi, l'air cruel et le regard vicieux. Me sentant alors très menacée et particulièrement visée, je reculais un peu pour analyser ce qui se passait. Des démons tels qu'eux ne pouvaient être envoyé que par une personne, une connaissance qui avait tout intérêt à me garder comme joker.

« Zarathos, mais qu'as-tu donc encore en tête... »

L'un des deux affreux se fit un plaisir de me répondre :

« Si tu savais drôlesse, si tu savais...Tu vas commencer par venir avec nous, de grès ou de force ».

Ne me laissant pas intimider, je rétorquais vivement :

« Alors ce sera la force ! »

Avec des cris de rage, les deux bondirent sur moi, me rouant de coup violent. J'en esquivais quelques uns mais en pris pas mal dans la tronche. Leur corpulence et leur effectif supérieur ne me donnaient pas l'avantage. Paniquée, je bondis en arrière grâce à une pirouette parfaite et me redressai en position offensive immédiatement. Profitant de la course d'une antilope qui fila près de moi, je m'agrippais à elle. Surprise, elle voulu me projeter mais voyant qu'il ne s'agissait que de moi, elle donna un coup de tête vers l'arrière pour me permettre d'atteindre son dos avant que je ne lâche son cou. A cheval sur elle, je la dirigeais loin de mes futurs kidnappeurs, la peur au ventre. Sans que je ne comprenne pourquoi, ils se retrouvèrent face à moi. L'antilope stoppa net sa course mais sans trembler, resta droite devant les démons.

« Tu ne nous échappera pas tigresse ! Facilites-nous la tâche, ce sera moins pénible pour toi ».

Le regard plein de colère, je criais aux monstres :

« Jamais je ne capitulerais. C'est aussi ma guerre et je n'abandonnerais pas les miens sur le champs de bataille. Si vous me voulez, venez donc me chercher ».

Immédiatement après ses mots, je frappais le flan de ma monture qui fila à l'opposé. La sentant faiblir, je me redressais sur elle et bondis sur le dos d'une autre et ainsi de suite. De monture en monture, je gagnais la rivière qui sillonnait la plaine. Cette dernière était blindée de combattant, humains, animaux et démoniaques ; il y avait de tout. Voyant mes frères animaux faillirent, j'ordonnais qu'ils disparaissent. La confusion dans les rangs avait était un succès mais à présent, l'ennemi contre-attaqué avec violence et mes amis n'avaient aucune chance. Le mieux pour eux étaient de tenter de sauver leur vie à présent. La plupart s'exécutèrent mais certains parmi les plus vaillant, ou les plus entêtés, continuèrent à affronter les masses démoniaques jusqu'à la mort. Touchée par leur obstination a vouloir nous porter assistance, je me jurais que les animaux auraient le respect qu'ils demandaient. Des explosions retentirent près de moi ; ils s'agissait de mes deux poursuivant qui m'avaient déjà rejoins. Je sautais à terre et fit un rouler-bouler jusqu'à la rivière. La je me retournais, essoufflée et fixais mes agresseurs.

« La partie s'arrête ici messieurs »

Les bêtes aquatiques, qui n'avaient pas encore prises part au combat sortirent leur tête de l'eau. Les plus féroce tels que les crocodiles et leur frère quasi semblables, commencèrent à ramper sur la berge, menaçant les deux démons avec leur gueule monstrueuse et pleine de dents tranchantes. Hésitant un peu, mes adversaires ne reculèrent pas pour autant. Moi je fuyais par la voie des eaux sous leur nez. Guidée par des saumons argentés, ils me menèrent à un endroit de la berge qui était sûre. Je refis surface et m'effondra sur les cailloux mouillés en reprenant mon souffle. Épuisée, je songeais à mes fils et à mon mari que je ne devais pas décevoir. Je devais être forte pour eux. Une voix non méconnaissable me tira de ma pause :

« La partie n'est pas encore finie dirait-on... »

Je relevais la tête et constatais avec horreur qu'ils étaient encore là.

« Ce n'est pas tes petits toutous à écailles qui pourraient nous arrêter ».

L'un d'eux tenait avec fierté la queue arrachée d'un aligator. La boule au ventre, je me redressais.

« Vous êtes des monstruosité de la nature. Je ne vous suivrais pas, quoi qu'il m'en coûte ».

Ils se regardèrent avec malice et dégainèrent leurs armes. Ils hurlèrent à l'unisson :

« Alors affrontes notre colère, femme tigrée ! »

Se jetant sur moi, j'esquivais rapidement mais ils eurent vite l'avantage. Me frappant avec leur lame que je tentais de bloquer, ils me poussais vers un faussé que je ne vis malheureusement pas. Je trébuchais et roulais. Je fus stoppée par l'un d'entre eux et avec un regard de haine, il leva son arme et l'abattit sur moi. Je hurlais à men arracher la gorge et ouvris les yeux sur une lame plantée dans l'épaule droite. Clouée au sol je ne pouvais plus bouger. En sueur, je gémissais et les deux autres ne trouvaient rien de mieux à faire que de rire de mon sort. Tout près de moi, l'un d'eux s'agenouilla et murmura en jouant avec un couteau sur ma cuisse :

« Tu as voulu jouer et tu as perdu. Sans rancune ? »

« Soyez...maudit...aaaah ! »

« Ah oui ça fais mal hein ».

Je tirais ma dague de mon bras valide et le plantais dans la gorge de cet immonde tortionnaire. Il tituba et s'effondra plus loin.

« Ça, tu ne l'avais pas vu venir hein ordure ».

L'autre me fila un cou de pied dans le visage et balança mon arme au loin avec fureur. Il plaça ses mains à ma gorges et serra.

« Tu n'est qu'une chienne, meurt donc ».

Suffoquant, je finis pas perdre connaissance. Mon agresseur relâcha son étreinte et arracha la lame qui me clouait par terre. Tel un trophée, il me hissa au dessus de lui, me portant à bout de bras en hurlant :

« ELLE EST A VOUS ZARATHOS ! AHAHAHAHAH ! »

Mon sang dégoulinant sur ses bras, je ne voyais plus que je ciel qui me semblait rouge...

« ELLE EST A VOUS ZARATHOS ! AHAHAHAHAH ! »

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Ce cris de victoire attira l'attention de mon agresseur qui tourna la tête. Je profitais de ce moment d'inattention pour me glisser un peu plus loin. Je cherchais mon maître des yeux. Le prince Fûma n'étais pas visible. Mais où pouvait-t-il bien être ? Je regardais alors celui qui avait hurlé. Il portait une de nos combattante, une de chez Kanoë pour être exact car je ne la connaissais pas faisait parti de nos rangs. Elle avait l'air très mal au point la pauvre. Elle semblait blessée gravement à l'épaule. Était-elle seulement encore en vie ? Je le suggérais vu la phrase qu'il prononçait. Pourquoi la capture cette femme et dans cet état était-elle importante pour Zarathos ? Je ne pouvait bien sûr rien faire pour elle. Sauf peut-être prévenir son prince... D'ailleurs, trouver Kanoë me permettrait de trouver son frère. Je me jurais de ne pas quitter Fûma d'une semelle une fois près de lui.

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Je courus la où je les avait vu pour la dernière fois, faisant ricocher les forces qui cherchaient à me frapper pendant la course. Je les retrouvais la où je les avait laissé. Kanoë avait les ailes particulièrement abimée et mon prince allait se prendre un coup sur la tête. Je ne réfléchissais plus mon maître étant en danger, je devait faire quelque chose mais contre une hache, j'étais aussi vulnérable qu'un poussin. Je bondis vers le frère de mon souverain et le secoua vivement tentant d'oublier notre première rencontre :

"Je vous en pris faites quelque chose, votre frère va être tué ! Il faut le désarmer qu'il ne puisse utiliser que ses facultés magiques. S'il-vous-plaît prince !"

Like a Star @ heaven

Affolé et les larmes aux yeux, je fixais mon maître, désespérée de ne rien pouvoir faire pour l'aider. S'il n'y avait pas cette hache, je savais déjà comment servir enfin à mon prince.

(HRP : pour les princes et Ragniel, me suis permise de "m'incruster" dans votre combat mes je continuerais à poster ici si vous voulez continuer l'affrontement entre vous ^^)

(HRP: comme l'a demandé Ragniel, je commence a éliminer les opposants, désolé Rosiel et Faeryl)

Je ne supportais plus l'affront que nous faisait cette armée de squelettes, il fallait que cela cesse. Je cherchais Rosiel en scrutant les troupes, une fois repéré, je me dirigeais vers lui, une fois a une dizaine de metre de lui, profitant de la cohue de la bataille, je sauta et attérit derriere lui, sur son cheval.

Dommage que sur ce cheval ton angle mort soit orienté vers moi, ça te coutera la vie...

Ma lame orientée vers lui, je le transperçait de part en part, a la surprise de ses soldats, impuissants devant ma rapidité. Je retirais mon katana de sa chaire, le laissant sur son cheval, seul parmis ses soldats. Une fois bien a l'eccart, je cherchais déja ma prochaine proie: la femme chat. Voyant un des soldats de Zarathos la porter au dessus de sa tete, je comprenais que cette proie était déja en vue, je cherchais donc la prochaine victime....

Mon regard se portait vers le combat de mon maitre contre les princes. La bas, je pouvais voire une gueuse qui aidait Kanoé, qui la soignait surement... Eliminer les soins qui peuvent etre prodigués permet de racourcir la durée d'une bataille, j'avais donc trouvé ma victime.

Laissant un bref instant la place a Niru pour me téléporter vers elle, je me manifesta rapidement

TOI, prépare toi a mourrir. Au nom de mon seigneur, ta fin est proche.

Ma lame fendait l'air vers cette boniche.

(faeryl, desole pour les termes boniches etc mais Niru regarde tout le monde de haut)

Comme je le préssentais, Ragniel ne tarda pas à réagir. Il fondit sur moi à la vitesse de l'éclair et enchaina une série de coups avant de me donner l'élan nécessaire pour m'écraser au sol sur quelques soldats qui défendaient vaillamment leur terre. Ce dernier coup fut d'une telle violence que l'impact couta la vie aux valeureux guerriers qui étaient là. Si j'avais été de nature humaine, j'aurai sans doute moi aussi périt suite à un pareil coup. Cependant, ma grande résistance, liée à ma race, fit que je tombai simplement dans une semi conscience. J'entendais autour de moi le fracas des armes alentours. J'entendais également les voix de mes compagnons luttant avec peine. A leurs voix se mêlaient également des grognements, des piaillements, des hurlements. Des animaux semblaient nous avoir prêté main forte. Le hurlement d'une jeune femme que je reconnu aussitôt comme étant Felyn' me fit un pincement au cœur. Puis, comme pour me ramener au combat auquel je prenais part, je sentis la brulure du fouet de notre ennemi s'abattre sur mes ailes. Je hurlai tant la douleur était intense. Je saignai abondamment à présent et était clouée au sol incapable de me relever.

Je fermai les yeux et sentis la douce chaleur humaine d'une paume de main. A ses quelques mots, je reconnu aussitôt cette petite espionne si particulière que j'avais rencontré par pur hasard. J'ouvris les yeux, et vis les larmes couler sur son visage. C'est alors qu'une présence se matérialisa près de nous en hurlant, lame à la main. Alors que le tranchant allait s'abattre sur la jeune femme, je déployai mon aile déjà blessée pour m'en servir comme bouclier. L'épée de la succube s'y enfonça rencontrant sur son passage un os dans lequel elle resta fichée. Je concentrai de l'énergie dans la main et lui lança un puissant rayon qui l'envoya à plusieurs dizaines de mètres du combat contre Ragniel. Je regardai alors dans les airs et constata que Fûma était en grande difficulté. Il fut lui aussi envoyé à terre. Ses hommes cherchant à le protéger s'agglutinèrent autour de lui mais furent tous éliminés un à un. Le regard du démon se posa alors de nouveau vers mon cher frère. Je concentrai tout ce qui me restait d'énergie dans ma paume et lança un rayon d'une puissance dont je n'avais encore aucunement fait preuve jusque là. Visant sa dernière arme, je réussis à l'atteindre la faisant même fondre tant l'énergie était concentrée. Le démon était à présent dépossédé de toutes ses lames.

Un genou à terre, la paume toujours tendue vers Ragniel, j'haletais et peinais à reprendre mon souffle. Je continuais de perdre de sang. Ayant utilisé presque la totalité de mon énergie dans ce dernier coup, mon processus de soin en était très affecté. Sans l'aide d'un médico-mage, je ne parviendrais à rien. Je regardai autour de nous, tous semblaient à bout de force mais continuaient de lutter piétinant le corps de ceux qui étaient tombés au combat. Je refixais à nouveau notre ennemi. Ragniel était toujours debout, désarmé mais semblant en pleine possession de son énergie, comme si le combat n'avait même pas eu lieu... Qu'allait-il advenir à présent...

tout venait de basculer a une vitesse infernale et la guerre qui me semblait lentement tourner en notre faveur prit en a peine deux minutes un tour catastrophique. mes troupes étaient en train de démolir méthodiquement le flanc droit de l'armée de ragniel et celles-ci tombaient de plus en plus vite car malgré mon épuisement je ne m'arrêtait pas. cependant une désastreuse séquence d'événements virent sonner le glas de cette bataille. peut-être que dautres qui ne voyaient pas aussi loin que moi ne s'en rendaient pas encore compte mais allors que je gisais ensenglanté sur ma selle j'eus la certitude que cette bataille allait mal se terminer.

le premier désastre fut le cri démentiel qui me déchira les tympans et m'arracha un hurlement de rage

« ELLE EST A VOUS ZARATHOS ! AHAHAHAHAH ! »

deux créatures tenaient fély pparemeent inconsciente au dessus de leur têtes et la présentaient au démon...zarathos hellfire...celui-la allait payer, je poussait phantom au dela de ses limites sans la moindre once de pitié en espérant pouvoir aller aider mon amie cependant on m'en empêcha: un poid se fit sentir derrière moi et a l'instant ou je tournais la tête une seconde catastrophe frappa

Dommage que sur ce cheval ton angle mort soit orienté vers moi, ça te coutera la vie...

un bruit mou et écoeurant se fit entendre et je sentis la lame de métal froid me passer a travers le corps. la douleur irradia en moi comme de la lave et m'arracha un long cri d'agonie

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH !!!!!

cependant mon esprit embrumé par la panique m'avait sauvé la vie: lorsque mon adversaire m'avait mbrochée je m'étais légèrement déplacé sur le côté évivant de me faire transpercer le coeur ou un poumon...certes j'allais survivre encore un momment mais je ne pouvais plus combattre. de plus la douleur me fit relâcher ma concentration et une partie non-négligeable de mes troupes mortes-vivantes s'enfoncèrent dans le sol. cette seconde catastrophe nous avait coutée cher et je n'étais pas au bout de mes peines car une troisième se produit aussi: le crash du prince kanoë qui en plus de tuer certains soldats laissait un répit a ragniel...c'est a ce momment allors que je me rendait compte du nombre affligeant de blessés que mon majordomme passa près de moi, sans perdre de temps je lui hurlais

-LES BLESSÉS ET LES MORTS S'EMPILENT ! VA CHERCHER TOUT LES MÉDECINS DISPONIBLES ! ILS NOUS BLESSENT PLUS VITE QU'ON NOUS SOIGNE ! VA !

fidèle a lui-même le vieux guerrier obéit immédiatement et quitta le champ de bataille. pour ma part je me plaçait un peu en retrait t observait la suite. bien que je sois très affaibli je pouvais encore utiliser ma nécromancie. je pouvais participer au conflit mais je ne pouvais plus ni mener de charges ni partir a la rescousse de fély comme je l'avais éspéré...satanée niru ! en attendant de pouvoir agir de nouveau j'observais ragniel et me mit a analyser ses actes...cependant il y avait une autre raison pour laquelle je ne pouvait pas détacher mon regard de lui: je n'en étais pas sûr mais je ressentait une énergie étrange...j'avais l'impression qu'il préparrait quelque chose et l'aura de mort que je sentais autour de lui me donnait l'impressoin que d'une manière ou d'une autre j'allais bientôt devoir exercer ma nécromancie. esseyant de contenir mes tremblements de douleur et mes cris je me fit un bendage de fortune a l'aide de la manche de ma veste pour ralentir le saignement, replaçait mes lunettes et attendit la suite en espérant que le département médical allait bientôt s'ammener. je commençait déjà a ressentir l'engourdissement et le froid caractéristique des lourdes pertes de sang

(je verrais si thierry peut enchainer demain)

(bien que la couleur de texte normalle de thierry soit le blanc je le fait parler en indigo pour le momment puisque meran emploie déjà cette couleur)

le pettit campement médical ou se trouvait l'unité des médecins était a peu-près aussi désordonnée et chaotique que le champ de bataille dont elle recevait les blessés. des centaines et des centaines de patients s'entassaient dans des tentes et il en arrivait toujours plus. la bataille faisait des dégats atroces et nos résultats d'une opération a l'autre variaient allant de la perte des patients jusqu'a leur retour immédiat vers le champ de bataille. en gros c'était une pettite guerre ici aussi. les médecins des trois armées et même des civils volontaires s'afféraient a soigner tout ce beau monde mais malgré tout nos efforts les blessés arrivaient simplement trop vite.j'étais en train de rattacher une jambe a un soldat de fûma quand une infirmière vint me dire qu'on voulait me voir d'urgence. je terminais mon opération aussi vite et bien que posible puis me ruhait dehors. je ne pensais qu'au prochains patients mais je ne m'attendais pas une seconde qu'obn allas me demander ce qu'on étais sur le point de faire

je m'étais donc jeté a la porte pour voir ce qui se passait espérant en finir le plus rapidement possible et m'étais retrouvé devant un colosse en armure a la peau bronzée et couvert de sang, pas le sien daprès ce que je voyais. il ne semblait pas blessé mais m'apris bien vite pourquoi il me dérangeait...et quelle mauvaise surprise

- docteur ! nous avons une urgence...je serais bref: les blessés s'empilent et nous perdont rapidement nos effectifs...je suis venu vous demander votre aide

-excusez-moi mais je suis déjà-

le guerrier m'interrompis en me saisisant par les épaules sans toutefois se montrer réèllement agressif. il semblait juste mortellement inquièt

-excusez-MOI docteur mais ce n'étais pas une demande. il nous faut un médecin et tout de suite. plusieures vies sont en jeux dont celle de votre prince et d'un très bon ami a moi...je sais que les blessés s'empilent ici mais il nous faut absolument quelqu'un. et je crois savoir que vous êtes l'homme qu'il nous faut...s'il-vous plaît...

je n'hésitais pas: pas par loyauté envers le prince mais d'une car j'allais toujours la ou j'étais le plus utile et simplement parce que je savais ce que c'étais de voir une personne importante a nos yeux souffrir pendant qu'on est impuissant. après avoir donné des instructions a tout les autres médecins -c'étais moi qui dirigeait ce service médical en entier après tout- je montais en selle avec le guerrier -j'apprendrais quelques minutes plus tard qu'il était le majordomme d'un seigneur neutre et s'appelait meran- puis après une course folle nous arrivâmes sur le champ de bataille ou je commençait immédiattement mon travail. d'abbord je m'occupais de celui auprès duquel le gaillard m'avait amené: un jeune homme a lunettes d'apparence chétif que je croyais avoir déjà vû quelque part, qui se tenait la poitrine de laquelle s'échappait une immense quantité de sang. il transpirait abondament, respirait difficilement et étais extrèmement pâle. je lui expliquais brièvement mes intentions

-ne bougez-pas! vous faites une hémoragie...je vais devoir-

cependant il me coupa la parole. comme son serviteur il semblait tendu mais resta néanmoins poli et courtois. j'apréciais cela d'autant plus que c'était rare de voir un blessé grave qui souffre le martyre réagir avec autant de tact

-je vous prie de m'excuser docteur mais nous manquons de temps. je n'ai pas besoin d'explications...juste de soins...je vous en pprie soyez bref. une personne a qui je tiens plus qu'a n'importe qui d'autre est en danger...je dois aller l'aider et ne peut pas me permettre rester ici sans réagir

-il le faudra bien pourtant. vous ne pouvez pas l'aider dans votre état et même après l'opération il vous faudra attendre un peu ou votre blessure s'ouvrira de nouveau...et mort vous ne pourrez pas aider cette persone n'est-ce pas ?

il sembla réfléchir un momment comme si il luttait contre lui-même...j'eus même l'impression qu'il prenait la déscision la plus difficile de toute sa vie: il voulait tout de suite se lancer au secour de la personne de laquelle il parlait mais esseyait aussi de se convaincre que ce n'étais pas une bonne solution

-...très juste...de plus comme elle a été capturée et non tuée elle est encore en vie en ce momment...si je meurs je ne pourrais rien faire pour elle...mais faites au mieux...meran ! veille sur lui...ne laisse aucun ennemi l'approcher...comme je suis en retrait je suis en sûreté pour le momment mais ce ne sera pas son cas lorsqu'il se jettera dans la mélée...je compte sur toi

-yes milord !

conformément a la volonté de mon patient je l'anesthésiais en vitesse, réparrais les artères et veines touchées puis refermais la blessures, après avoir rapellé a ce patient plutôt cool et plus coopératif que la moyenne du fait qu'il devrait passr un bon momment sans se forcer sous peine de voir la ble3ssure se ruvrir je me jetais sur le champ de bataille soignant en vitesse les blessés que je croisait. cependant j'eus une mauvaise surprise car je vis au loin...le prince kanoë ! mon premier patient, gravement blessé et qui tentais de se soigner. tant bien que mal. m'assurant que le majordomme surveillait toujours mes arrières je m'approcahis donc de l'ange

-mon prince ! tenez bon ! je m'occupe de vos blessures !

dis-je avant de l'examiner en vitesse et de commencer mon opération

» sur la plaine Nirubi vs Rosiel
» Chasse aux cerf dans la plaine [Pv Kanoë, Tori Ten'ka et Tarod]
» sur la plaine Ragniel contre Kanoé, Fuma et leurs armées
» zarathos le demons
» Un guerrier de plus... [Pv. Zarathos]

sur la plaine (pv zarathos + évent)

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