Cette Hantise qui ne me quitte pas. (PV Leïna-Tsukiyo).

Aujourd’hui est journée fraîche, plutôt froide, les branches sont encore couverte par la rosée du matin, l’air est froid et le sol encore en dégèle par endroit, les plantes commence à éclore. Dans ce tableau annonçant la renaissance des végétaux, l’arrivée du printemps, il y a cette tâche qui contraste dans ce décor agréable. Il y a ta silhouette qui se traîne entre les arbres reprenant vie, toi en paraît dépourvue, tu es une chose pittoresque, accrocher au désespoir, mais qui pourtant lutte pour vivre. Petite louve faible et boitant, tu vies dans cette peur d’être retrouvé par l’être qui ta pourtant maintenue envie ses dernières années. Alors pourquoi tant redouter son retour, ton corps est déjà souffert alors de quoi te plains tu ? Mais oui sais justement ça le problème, tu ne te plains pas, tu acceptes sans rien dire, tu subits en silence. Après tout, ce tout ce dont tu es capable de faire non ?

Tu te balades quelque part près d’une cascade, entends-tu le bruis de l’eau qui s’écoulent d’entre les roches a moitié immergées et la chute vertigineuse, de se liquide, qui a présent te remplis l’estomac a défaut de nourriture consistante. Quand te mettras-tu en tête qu’il te faudra chasser pour survivre, maintenant tu n’as plus ce loup pour avoir assez pitié de toi pour te nourrir…tu regrettes cela ? Non, Peut-être que d’ici une semaine, tu le feras. Tu regardes autours de toi, tu as toujours cette hantise de le voir surgir de derrière les arbres, mais aussi de croiser des personnes dont tu craindrais les humeurs massacrantes, dont-ils verraient en toi qu’une agréable passe nerfs.

Tu es maintenant assise sur tes hanches, elles te font mal, elle pourrait peut-être ne jamais se remettre de ses nombreux coups que tu as reçut, tu rappelles-tu du son qu’elles ont déjà produit après avoir été brisé, entre les crocs de Raujin ? Ou même par ceux que tu considères encore comme ta meute. Es-tu idiotes ? N’as-tu toujours pas comprit qu’ils ne t’on jamais vu autrement que comme un simple parasite ? Une simple mouches que d’un geste ont écrases ! Non tu crois encore que c’était ta place, que tu n’avais pas d’autre utilité que celle que tu avais, qui sais, peut-être est-toi qui ais raison. Tu trembles et ton air apeuré se lit comme dans un livre ouvert.

[HRP: Je tente un autre style, si ça vous dérange dit-le Wink

]

Butant sur les pierres, Leïna s'avançait péniblement vers la cascade, le bruit continu de l'eau lui permettait de s'orienter. Elle frissonna et s'emmitoufla dans sa cape, le matin était une période qu'elle n'appréciait pas beaucoup pour certaines raisons. Alors qu'elle marchait, elle sentit son pied glisser du caillou sur lequel elle l'avait poser et bascula en avant. Lorsqu'elle se releva, elle sentit une douleur aiguë à son genou, sur lequel elle posa la main afin d'évaluer la blessure. Elle serra les dents à cause de la brûlure que provoquait le contact.

Après quelques secondes elle retira sa main, il lui semblait que la blessure, bien que profonde, était sans gravité, le problème était qu'elle saignait beaucoup, elle essuya sa main sur sa cape et utilisa celle-ci pour couvrir sa plaie. Elle se releva et continua à marcher non sans difficulté. Pour se donner un peu de courage, elle se dit qu'à la cascade elle pourrait nettoyer sa blessure. Elle put enfin y parvenir après avoir failli glisser à plusieurs reprise sur les cailloux humides.

Elle se figea quand elle vit une louve au bord de l'eau. Leïna se mit derrière un arbre et observa l'animal, ou plutôt son aura. Et ce qui la frappa chez cette bête, ce fut sa peur, sa crainte, qui se reflétait dans son aura, à telle point que Leïna ne pouvait voir autre chose. Prise de pitié pour l'animal, elle décida de se mettre à découvert en prenant soin de cacher sa blessure. Elle s'avança doucement sans geste particulier, sans parole, simplement en faisait un pas après l'autre. Lorsqu'elle fut au bord de l'eau, elle le remarqua quand elle avait mis son pied dans l'eau, elle s'accroupit sans quitter la louve des yeux. Elle ne fit plus aucun geste, malgré sa douleur et resta immobile.

J’ai pour habitude de me déplacer, sur les branches des arbres, mais ce matin quand je voulus le faire, ce fut avec surprise que je m’étais retrouver le nez par terre. Mis appart la fierté, je ne m’étais pas faite mal.

J’étais à la base partie traquer du gibier, malgré le fait que je sois mercenaire et été entrainer pour le combat, mon protecteur, se refuse à me laisser l’aider dans sa tâche, bien à lui, me laissant bien souvent seule pour le coup.

Du coup j’occupais mes journées comme je le pouvais, bloquée entre le fait de vouloir aller à la découverte de chose nouvelle, et le fait de rester à ses côtés. Mais quel est donc ses hommes qui refusent de laisser une femme se battre ?

J’ai été entrainé pour ça, non ? Enfin il est sûr que le nuit prochaine je ne lui en laisserais pas le choix et lui ferait comprendre le caractère bornée des kitsunes. Du coup à parcourir la forêt, je ne m’étais pas rendue compte que je revenais vers la cascade.

Ici même ou quelques temps plutôt j’ai fait les connaissances de plusieurs personnes, rencontre très mouvementer en fait, ce qui me fit rire comme une certaine nostalgie. Je remarquais qu’au sol il y a des traces de pattes d’un loup.

Je me stoppai, elles sont légère et presque inexistante par endroit à cause du sol encore en dégèle. J’en remontai sa trace, pour la retrouver près de la cascade ou une fille qui me rappelle quelque chose y était déjà.

J’observai la louve, regardant à deux fois pansant que la luminosité me jouait des tours, mais non cette louve est bien dans un piteux état, malgré que je ne perçoive pas les couleurs, ces traces foncé sur ce pelage que je lui devine bien blanc.

Je me pose, près de Leïna la saluant par réflexe, alors qu’elle ne verra pas mon geste mais bon. La rattrapant la voyant partir trop près de l’eau, c’est qu’il fait froid quand même et de plus, c’est animal est clairement effrayé et rien n’est plus dangereux, qu’une bête apeuré.

-Bonjour, Leïna, prend quand même garde, elle pourrait mordre par défense.

(HRP : Je pars du principe que ce rp se passe après celui « derrière un mur ».)

Tu vois, cette louve pitoyable que tu fais ? Tu ne remarques même pas la présence qu’il y a près de toi, tu ne t’en retourne même pas, pourquoi faire tu te crois seule. C’est le bruit de son pied dans l’eau qui te fait réagir et tu te tournes, étonnée de t’apercevoir, qu’il y avait quelqu’un aussi près de toi. Et ce n’est pas tout, car une autre la rejoins, la première te fixe de ses yeux blancs, tous comme ses longs cheveux soyeux qui lui arrive bien bas.

L’autre les a moins long et noir, les yeux violacés et un d’air plus dur que la première, elle porte des oreilles et plusieurs queues, et sans réfléchir, tu fais quelques pas en arrière, la regardant avec terreur. Puis tu te rends comptes de ton erreurs, tu te rends comptes qu’elle n’a pas l’odeur d’un loup, qu’elle est-elle ? Un renard ? Est-elle aussi cruel que ses cousins. La kitsune parle à l’humaine qui apparemment porte le nom de Leïna. Ca tu l’as entendu et même retenu, bien petite louve, mais as-tu aussi entendu qu’elle te considère comme quelqu’un de potentiellement agressive ? Oui tu y rirais bien à cette phrase, mais tu ne le feras pas, tu en a bien trop peur, tu t’exprimes à peine.

Tu les regarde à tour de rôle tu ne sais pas ce que tu dois faire, sont-elles un danger pour toi, ou non ? Tu regardes timidement la kitsune, et tu reprends ta forme humaine, tu as tes oreilles et ta queue un peu comme elle sauf le nombre. *Je…je ne suis…une menace.* Dis-tu d’une voix qu’elle pourrait avoir dure à entendre. Tu en baisse de suite la tête. Qu’elle impolie fais-tu donc ? Tu ne te présente même pas.

Leïna se releva avec une grimace de douleur, sans quitter la louve des yeux. Elle tourna un moment la tête pour l'aura de la nouvelle venue et fit un petit hochement de tête pour la saluer.

- Toi aussi tu as l'air en forme Tsukiyo, ne t'inquiète pas pour moi. Si tu pouvais la voir comme cette louve comme moi, le mot dangereux serait celui qui te viendrait en dernier. Mais si tu veux savoir celui qui me vient en premier... J'hésite entre apeurée ou magnifique, c'est bien la première fois que je vois une louve avec une aura comme la sienne...

Tout en parlant, elle regarda la jeune fille qui venait de se substituer à la louve. Oui, vraiment une très belle aura qui se tenait en face d'elle, dommage que la peur qui en dégageait la ternisse. Leïna crut entendre la fille dire quelque chose, mais elle ne put comprendre, son ouïe avait ses limite bien qu'elle soit développé. La jeune fille décida de s'avancer vers elle à petit pas, malgré la douleur de son genou. Elle avança la main pour montrer qu'elle n'avait aucune arme et aucune intention malfaisante. Elle s'immobilisa à quelque pas de la jeune fille/louve et attendit que celle-ci, à son tour, marche vers elle.

Belle ? Je ne vois pas trop en quoi elle est belle ? Pas que je la trouve moche ! Enfin ce n’est même pas de contexte, cette louve est balafré et visiblement maltraité par les siens. Elle vient à parler mais ce fut si bas qu’avec toute ma concentration je ne pus rien comprendre.

Elle changea de forme, une forme hydride un peu comme la mienne, a y pense heureusement qu’ Õshi n’est pas là, elle me fait penser un peu à un loup-garou et je sais que l’homme les détestes.

Mais plus je la regarde et plus je me dis qu’elle ne doit être qu’une simple changeuse de forme, donc même si elle avait eu un autre caractère elle n’en aurait pas et pour autant un danger. Enfin, après Aéon, je trouverai ça idiot de me méfié d’un être juste pour ses origines, si je ne considère par une personne potentiellement dangereuse, comme-t-elle.

-Tu es un lycan ou encore autre chose ? C’est quoi ton nom ?

J’eu observé quelque instant Leïna c’est une idée ou elle boite ? Elle s’est faite mal ? Enfin elle ne semblait pas s’en plaindre donc c’est peut être une boiterie due au froid ou une ancienne blessure, si elle venait de se le faire surement qu’elle aurait cherché à se soigner.

Sauf si elle est plus intriguée par la louve que par son propre état.

-Tu as un problème aux jambes Leïna ?

La femme qui répondrait au nom de Leïna, s’approche de toi et par reflexe tu recules pour garder cette distance qui tu t’obstine à garder, que tu crois protectrice. Tu les dévisage toute les deux, qui sont-elles ? Tu te le demande, tu comprends qu’elles se connaissent peut être ont elle déjà fait une mission ensemble ou simplement rencontrée, tu ne le sais pas. Mais tu te calme tu ne décèle aucun agressivité venant d’elles.

-Je m’appelle Sadness…je suis une voir-loup.

Penses-tu être utiles de préciser, Leïna ne semble pas du tout se méfié de toi, et elle a bien raison, jamais tu ne serais capable de faire de mal à quelqu’un. Tu n’es pas même pas capable de chassée pour te nourrir. Enfin tu te rencontres qu’l y a une odeur de sang qui flotte dans l’air et tu te rencontres qu’il ne vient pas de toi. Du coup tu oses portée tes yeux sur les deux. L’odeur vient de la femme aux longs cheveux blancs.
-Tu…tu t’es blessées ?

- Juste une petite plaie au genou, ce n'est rien, rien du tout...

Faisait fi de la douleur, Leïna continua à fixer la jeune fille. Sa peur faisait mal à Leïna qui aimerait pouvoir la rassurer, mais elle avait peur de la blesser. Elle sentait que cette fille-louve souffrait, aussi bien moralement qui physiquement. Le genre de douleur que Leïna supportait mal, surtout lorsque c'était les autres qui la ressentaient. Elle voulait tellement l'aider, la soulager.

- Sadness, tu dis t'appeler ? Un joli prénom, aussi joli que ton aura. Je suis Leïna, Leïna Drayne et je te promet que tu n'as rien à craindre.

Je ne pus m’empêcher de pouffer de rire, son nom joli ? Pluto accordé à elle, mais certainement pas joli, triste tout comme ça signification, avec un nom pareil elle semblait plutôt avoir dès la naissance condamné à la tristesse. Mais bon son truc d’aura, elle ne le comprenait pas de trop, peut être voyait-elle les gens d’une autre façon qu’eux.

-Assied toi Leïna, je connais quelques plante médicinale, elle devrait être plus facile à trouver avec le retour du printemps.

Avant même de prévenir ou attendre la réponse d’une des deux, m’élançait parmi les arbres pour aller chercher l’une ou l’autre plante.

Sad l’observa avec un léger sourire, mais elle ne comprenait pas trop de quoi parlait Leïna avec son aura. Peut-être une capacité de la femme ? Regardant Tsukiyo s’en aller, sans rien dire, mais se doutant qu’elle allait chercher ses dites plantes, elle reporta son regard sur la femme aux long cheveux. Gardant un peu le silence, tout en observant les alentours.

-C’est…ton pouvoir ?…De voir les auras ?

S’osa t’elle timidement, espérant ne pas froissée la jeune fille, qui doit surement avoir le même âge qu’elle, Comment font-elles ? Toutes les deux ? Elles n’ont pas l’air plus vielle qu’elle et elle semble si forte ! Elle ne ressent aucune angoisse venant d’elle à propos du monde, alors qu’elle est morte de peur, depuis qu’elle ait osé fuir Raujin.

Leïna regarda Tsukiyo s'éloigner entre les arbres, jusqu'à son aura disparaisse. Ne sachant que faire, elle s'accroupit et plongea sa main dans l'eau froide, lorsque la question de Sadness fusa. Elle fut un peu surprise mais elle savait qu'elle aurait du s'y attendre.

- En effet. Je suis doté de la capacité, probablement unique, de voir les auras. Je suis aveugle mais je vois ce qu'aucune personne ne pourrait voir. En fait, j'ignore d'où me vient ce don, il est apparu d'un coup il y a quelques années. Aujourd'hui encore, j'ignore encore si c'est une bénédiction ou une malédiction. Je vois la vraie nature des êtres vivants, je sais qui ils sont réellement, je peux même deviner les émotions qui les traversent. Mais de l'autre coté, je suis devenu infirme; je ne peux plus voir la lumière du soleil, le bleu du ciel ou les étoiles qui brillent, je ne peux plus voir la cascade, l'eau qui s'écoule, les pierres sous mes pas, je ne peux plus voir les êtres vivants sous leur apparence extérieur. Tout cela... M'a été retiré...

Son visage s'attrista pendant qu'elle parlait, montrant que sa cécité et le pouvoir qui en découlait la plongeait dans un profond désarroi. Et Leïna ignorait pourquoi elle parlait autant à la fille-louve. Et surtout de son pouvoir, peut-être parce qu'elle se sentait bien avec elle. Et peut être aussi parce que d'une certaine manière, elles se ressemblaient.

Je mis un long moment a parcourir les sous-bois, chercher des fleurs c'est bien joli, les trouver, c'est encore mieux maintenant, les différencier entre part leur couleur en est une autre pour un achromate.
Heureusement que l'usnée, soit facile a identifié sans même percevoir les couleurs, elle est un bon antiseptique.

Je revenais en arrière retrouvant les eux femmes, au bords de l'eau , j’observai un instant Sadness, avec toutes ses plaies ça risque d'être assez galère de chercher a la soigner, mieux valait-il qu'elle se prennent carrément un bain de désinfectant. Elle tendit le lichen a Leïna, lui plaçant directe sous la main.

-Frotte le sur ta plaies, ça à un effet antiseptique.

Elle se tourna, vers Sadness sachant que Leïna ne vois rien s'était inutile de lui demander a elle.

-Je suis désoler, Sad mais je ne connais que le pavot comme anti-douleur, je ne distingue pas les couleurs du coup, je ne sais pas dire si c'est bien cette plante là.

Tsukiyo partie tu écoutais tranquillement Leïna, la pauvre est donc aveugle, capacités intéressante, mais elle aussi en avait un prix a payé,Son sort t'attriste, de plus que la jeune femme en semblait elle aussi peinée. Tu te dis qu'il doit en être ainsi pour tous, que chacun dois avoir son tribut a payé pour pouvoir vivre.

Tsukiyo revenait, directement dans la main de Leïna les plantes, tu compris donc que la Kitsune savait pour sa vue, elle s'approcha de toi, et comme une idiote, tu en eu un sursaut, pourtant elle ne fait que t'aider, du moins l'essaye t'elle, a sa révélation, tu te dis que finalement tu es chanceuse de n'avoir été qu'oméga, ce n'est qu'une place parmi t'en d'autre, que tu n'as finalement rien payé d'être en vie, comparer aux deux personnes face a toi.

-Ce... n'est rien... C'est gentil... d'avoir penser a moi.

Leïna lança un regard reconnaissant à Tsukiyo puis, sous ses indications, frotta le lichen sur son genou, retenant de justesse un gémissement à cause de la douleur. Après un court instant, elle se leva et déchira un petit morceau de sa cape qu'elle trempa dans l'eau puis la tendit à Sadness.

- Tu devrais nettoyer tes blessures, navré de ne pouvoir faire plus. Tsukiyo, tu n'as pas essayé de sentir les plantes ? Sous ton apparence de renard, tu dois avoir un meilleur odorat, je ne veux surtout pas critiquer tes connaissances, loin de moi cette idée, mais la vue et la couleur ne font pas tout pour la reconnaissance des végétaux.

Leïna, craignant d'avoir vexé la jeune fille, recula et continua à frotter son genou, puis elle prit un peu d'eau afin de nettoyer sa jambe au cas où du sang aurait couler.

-Je ne suis pas assez calée en plantes que pour savoir les différencier a l'odorat, ce n'est pas vraiment ma formation première, j'ai juste retenus ce qu'une personne m'avait montrer.

Elle s’assit sur une branche, avant de se rappelé, qu'elle était attendue autre part et qu'elle devait donc ne pas tardé.

-Il serait peu être mieux que tu aies voir un docteur avec ces plaies ? Elles sont quand même profonde. Je dois retourner a Dolvin, je peux t'y accompagné,je peux aussi te proposer l'hospitalité d'une auberge, mais faut d’abord que je parle a la personne avec qui je vie...

Ramenée Sadness avec elle cela ne le dérangerait certainement pas, mais comme celle-ci est une louve, ce serais plutôt a ce niveau là qu'il pourrait y avoir un problème. Elle s'adressa donc aussi a Leïna.

-Accompagne ne nous aussi, au moins vérifié, qu'il n'y ait pas plus qu'un simple coup.

Tu regardes et écoutes les deux femmes, sa te donne un peu de joies, elles sembles si gentilles, ça te parais étrange de croiser toutes ces personnes qui sembles vouloir te venir en aide, mais avec ce que tu as appris, tu as aussi peur que cela ne sois qu'une ruse pour te ramenée a cette place, se passée que tu as fuis. Tsukiyo te proposes d'aller la rejoindre a Dolvin...Dolvin ? Tient il te semble avoir déjà entendu ce nom quelque pars.

Tu regarde a présence Leïna, tu te demande pourquoi elle semble aussi alarmer a ton sujet, ça non plus tu ne comprends pas, personnes ne c'étais jamais retourner parce que tu semblait être dans le besoin. Tu n'oses et surtout, ne sais quoi répondre a l'invitation de Tsukiyo, risqué de se rapprocher de la foule, de tous se monde qui grouillera autour de toi. Mais dans un sens Raujin ne pourrait certainement pas te suivre dans un village.

Tu hésite et tu ne sais pas quoi répondre, les seuls paroles que tu prononce ne sont que des "heu..." Tu attends en faite de voir si Leïna semble aussi être de l'avis de Tsuki, voir si celle-ci aussi se risquerait a aller dans un village se confié a une personne totalement inconnue. Pourquoi devrait-on faire confiance à une personne part le simple fais qu'il soit docteur?

- Bon, d'accord, je veux bien te suivre.

Leïna se tourna vers Sadness et alla se placer devant elle et tendit sa main pour la fille-louve.

- Ne t'inquiète pas, ça va aller. Nous serons avec toi, personne n'osera quoi que ce soit. Et si quelqu'un te veut du mal, on te protégera, c'est promis.

Sur ces mots, Leïna recula en essayant de ne pas glisser, afin de laisser Sadness faire son choix.

Tsuki regardait les deux femmes, souriant encore et toujours, Leïna avait bien raison, elles feraient attention a la voir-loup. Elle l'aideront a sortir de son passé, si Sadness accepte leurs aide. Quoi qu'il en soit. Tsuki ouvrit le chemin pour dolvin vu qu'elle connaissait bien la ville, là-bas elle y guiderait les filles selon leurs besoins, peut être même proposer un hébergement a Sadness, se doutant que la louve, ne doit pas avoir de quoi se payé le luxe d'une chambre d'hôte. Quoique restait-il le problème Õshi mais ça elle s'en occuperait une fois la-bas et selon de toute façon ce qui voudra ou non Sadness.

(Désoler je fais cours Tsukiyo Out.)

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Cette Hantise qui ne me quitte pas. (PV Leïna-Tsukiyo).

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