A la recherche d'un boulot

"On peut dire qu'il était temps... "

La jeune fille traversait un dédale de couloir, arpentant le château du prince depuis longtemps. Elle était à la recherche d'une pièce... Plutôt importante dans un château, à savoir la salle du trône. Introuvable. Elle n'avait jamais eut un sens très développé de l'orientation, et les ruelle de n'importe qu'elle ville ressemblaient à des labyrinthes, du moins selon son avis. Alors, un château...
En plus le "voyage" ou la "course d'orientation" dans le domaine du Prince était rendue très désagréable par les gloussements débiles et les sifflements appuyés que lançait généralement les courtisans sur son passage. Parfois, encore pire, ils étaient lâchés par des courtisane. Elle n'avait plus d'air à force de pousser des soupirs de réprobation. Tout le monde semblait idiot, dans ce château. A espérer que le prince ne faisait pas partie du "tout le monde, sinon, elle risquait de se barrer et d'aller vers l'autre camps.

Car oui, aussi étonnamment que cela puisse paraître, la belle nymphe était à la recherche du prince. C'était pour cela qu'elle se dirigeait vers la salle du trône. Parce que le plus souvent, c'était à cette endroit que l'on trouvait un monarque.
Bref, la jeune femme était à la recherche du prince en un but bien précis. Un boulot. D'espionne. C'était une requête étrange. L'idée d’exercer cette fonction lui était venue juste après qu'on ai prononcer en ça présence le mot "prince". Pourquoi pas, après tout?

Au bout d'un long moment, la jolie jeune femme, qui en avait marre d'onduler ses hanches pour le plaisir de la cour, décida de faire quelque chose. De productif, s'entend. Elle se dirigea vers un homme, richement vêtu, accompagné d'une jeune demoiselle. Celle-ci eut un regard de désapprobation envers l’énergumène de foire qui s'approchait d'eux. Les cheveux de la nymphes était longs et détachés, tandis que ses vêtements étaient... Étrange. Elle portait une robe avec très peu de tissue, d'une jolie couleur turquoise. Ses pieds étaient nues, et ses chevilles, poignets et cou était ornés de beaucoup, beaucoup de bijoux, amulettes, bracelets et autre. En plus, elle était belle. Alors la courtisane s’accrocha aux bras de son mari, amants, amis ou autre, pour signifier que la nymphe n'avait pas intérêt à s'en approcher. Mais l'homme n'avais pas trop envie de partir. Il regardait avec une expression de béatitude la créature qui s'approchait d'eux. Cette dernière prononça des mots qui n'avait aucune signification, ou qu'il ne comprenait pas, mais alors pas du tout. Sa compagne se chargea de répondre.

-Le bureau du prince est par là.

Ame eut un sourire de gratitude et se dirigea dans la direction indiquée. Elle arriva devant une porte, et, supposant que c'était la bonne, l'ouvrit sans toquer. Elle entra dans la pièce, ne regarda pas autours, et s'inclina poliment, jusqu'à ce que ses cheveux balayent le sol. Elle ne bougea pas, attendant une remarque de l'autre, lui démontrant qu'il avait remarqué sa présence.

A la recherche d'un boulot

"On peut dire qu'il était temps... "

La jeune fille scruta le visage de son interlocuteur. Elle poussa un soupir de soulagement. C'était bien le prince Kanoë. Elle ne l'avait jamais vu d'aussi près. Il semblait si puissant... Ce n'était pas par sa beauté. Car, oui, il était beau. Incontestablement beau. Qu'on soit avec ou contre lui, on ne pouvait dire le contraire. Mais ce n'était pas ça. Il dégageait un auras de force qui l'enveloppait et s'envolait pour disparaître au plafond de la pièce. Il ne sembla pas portait attention au physique bien mit en avant de la belle nymphe.
Il se mit à parler.
Elle ne l'écoutait que d'une oreille distraite, mais elle comprit le sens principale de ses
parole. Elle était rentré sans frappé et cela n'avait visiblement pas plut au prince. Presque immédiatement, sa peau, déjà considérablement pâle, devint blanche. Elle avait passé tant de temps à rentré dans des salles et à fermé la porte juste après qu'elle avait oublier de frapper. Heureusement que personne ne se trouvait présent dans la pièce. Personne ne l'avait vu se faire humilier de la sorte par le prince en personne.
Elle plissa ses paupières et réspira longuement pour retrouver sa dignité de nymphe.

Je suis désolé, mon prince. Je ne voulais nullement vous offenser. J'éspère pouvoir me faire pardonner.  Je voulait juste ... Elle réspira et décida d'être direct. Je voulais juste vous demander de me prendre comme étant votre espionne. Personnel.