L'ombre de la mort...(PV Oshi-Sadness-Azazel).

Ça devais bien faire des jours que l'on suivaient les traces de ce loup dans le sable brulant d'Angmar, pourquoi celui-là, je ne vois rien de particulier a ces traces mais Õshi semblait vraiment vouloir les suivre et le retrouver. J'ai beau ne pas vraiment différencié les empreintes de loups et de loup-garou, elle me semble vachement petite pour un lycan, mais pourquoi suivrait-il un simple loup ?

Enfin je m'attardai sur le rythmes des ses traces, ce que je peux dire par contre, c'est que cet animal semble blésé, qu'il est lent et a des difficulté pour marcher correctement a des endroit je pourrait même dire, qu'elle a flanché de l'arrière train.

Elle soupire et s'accroche péniblement a la manche d'Õshi, pour se trainée derrière lui, avec se soleil, elle y voit rien du tout et cette cape sous laquelle elle se protège lui donne chaud, elle sort une gourde d'eau, qu'elle part simonie vu qu'elle n'a encore aucune idée, de la distance qui les sépare du loup.

Tu as finalement décider de voyager un peu plus a travers le royaume, non pas dans le but de découvrir de nouvelle chose, mais encore et toujours d’espéré t'éloigner de ton poursuivant, A un point a ne même plus faire attention a la ou tu vas Sans prendre garde au danger qui t'entour autres que les gens. La nature elle même peut être dangereuse petite louve .Ne vois tu pas autour de toi ces cercle dans le sol ? Ce sont des pièges, la en dessous attende des créatures hideuse, juste un instant d’inattention de ta part pour te terré la sous le sable.

Mais tu ne les a pas remarquée n'est-ce pas ? Chance ou peu être pas, tu arrives a passée sans même leur révélé ta présence, l'odeur du sang, ne perce pas le sable, et ta carrure peu imposante et maigre te font toute légère et tu t'en vas sans avoir même prit conscience du danger que tu tu viens de traverser. Ce qui ne veux pas dire que tu ne vas pas en devant de plus gros ennui...

Cette chaleur accablante ’épuises et bientôt, tu te retrouve là assise sous l'ombre peut rafraîchissante d'un buisson. Tu regardes autour de toi, tu te demande enfin ce que tu viens faire là ? Tu n'en as aucune idée. Enfin si tu voulais juste fuir Raujin. Il te semble entendre des bruits, tu te retourne pour vérifié, est-ce un mirage ? Non tu n'en est pas sur,il te semble bien voir quelqu'un arriver,mais qui pourrais venir se balader dans un tel coin ? Tu peux te retourner la question petite louve.

HRP:Si le style d'écriture dérange quelqu'un qui le dise et je change

Angmar. Une région que j'avais appris pendant ma jeunesse. Ce désert est si agréable, sa chaleur plus celle du Soleil est si revigorant. Je vagabonde depuis longtemps dans ce lieu sans vie, mon esprit torturé par deux faces totalement différentes. La bonne avais pris le dessus mais pour combien de temps ? Mon corps décoré de cicatrices n'était qu' un champ de bataille entre eux.

Mes bottes crissais sur le sable bouillant, mon sac de vivre était maigre mais je sentais que je m'approchais d'un lieu de vie. Mes économies était pas formidable mais une nuit en ville est mieux que à la belle étoile... Une mission me serais utile je pense pour remplir mes fin de mois.

Je vie au loin une forme d'animal. Un hybride je pense ou un démon je n'était pas sûr. M'approchant de la créature, je la vit blessée. Je lui dit dans la langue commune, sûr d'être assez compris:

-Race ? Raison de ta blessure ?

Simple et court mais compréhensible. Allons voir si c'est un danger ou un être en détresse...

C'était un peu par hasard que je m'étais retrouvé là, à tirer la pauvre Tsukiyo derrière moi dans ces interminables étendues sableuses. La chaleur ne pouvait m'incommoder, mais je compatissais pour elle qui en souffrait davantage à chaque pas. Et j'avais beau transporter quantité d'eau que je lui dispensais généreusement, il n'était pas souhaitable de prolonger notre errance.

Quoi qu'il en fut, je voulais aller visiter les bibliothèques d'Angmâr et j'avais reconnu les empreintes d'une certaine personne qui me précédait, aussi les avais-je suivies. Mais pourquoi elle avait prit une direction aussi pénible, j'aurais été bien en peine de le deviner.

Je commençais à me demander si nous pourrions la rattraper avant la ville lorsque j'aperçus deux silhouettes au loin. Les traces menaient par là et je ne doutais pas qu'il se fût agi de Sadness au pied de ce que la région avait à offrir de plus ressemblant à un buisson. Si peu d'ombre que ce simulacre de verdure calciné projeta, elle serait en tout cas bien accueillie par Tsukiyo me laissai-je dire. Par contre, pas la moindre idée de qui pouvait bien l'accompagner. Eressea ? Ce n'est pas de le retrouver infatigablement occupé à la chaperonner qui m'aurait étonné, mais plutôt qu'il ait pu la laisser s'aventurer par ici. Cependant, je ne voyais pas qui d'autre pouvait se tenir à ses côtés.

Trainant lamentablement derrière l'homme voilé, m'accrochant à lui en espérant que l'on puisse'arrêter un petit instant, je me demandai quand même pourquoi nous avions suivi ces empreintes jusqu'ici? Enfin jusqu'à ce que ça progression ralentisse un peu le rythme, il semblait observer quelque chose au loin?

J'observai à mon tour les deux silhouettes, un grand gars haut perché et un chien . Non ce pelage blanc et balafré... Sadness ? Mais que vient-elle faire ici ? Merde, avec Oshi ça risquerait d'être ennuyeux pour elle.
J'accélérai le pas du coup passant devant l'espion, pour me rapprocher, de Sadness et la personne qui était près d'elle, ni Leïna, ni Eressea...

Il ne me dit rien celui-là, bon! Une fois assez proche d'eux, Je m'arrêtais pour dévisager allègrement l'homme, agitant mes queues derrière moi.

-Sadness ? Mais que fais-tu dans un endroit pareil et seule ?

Visiblement, l'homme ne l'accompagnait pas et connaissant le caractère de la louve, surement que celle-ci, serait à la fois rassuré de me voir, et inversement très ennuyé d'être autant entouré, maintenant restant plus qu'à éviter qu'Õshi ne veille à l'attaquer.

L'avantage dans ce désert, a peut-être pu être le fait, que tu ne puisses y croiser personne, mais ironie du sort, une personne encore inconnue viens à te tomber dessus, il te demande de manière grossière, ce que tu es et tu recules et te demande ce qu'il te veut ? Tu l'ignores même pour te faire passer pour un simple loup et peut-être même espérer qu'il te laisse partir sans demander son reste.

Oui c'est ce que tu espérais jusqu'à ce que tu aperçoives deux autres personnes approcher, paniquant sur l'instant tu recules encore.

Prête à t'écrouler de peur là, tu fus soudainement rassurée de voir Tsukiyo arriver vers toi et Õshi la suivre, bon pour lui, tu espérais surtout qu'il n'était plus en tête l'envie de te faire la peau. Perdue tu passes sous ta forme humaine, baissant tes oreilles et ta queue de loup eux toujours présents et tu te caches courageusement derrière la renarde. Te raidissant à l'approche de l'homme sans savoir sa réaction. Et tu restes sur l'inconnu, pour savoir quand même ce qu'il en est de lui.

Je vis la créature restée muette, c'est son choix même si il semble infondé. Je vis deux personnes venir, des humanoïdes c'est certains mais de qu' elle race ? L'un était un homme dont la face était masqué par une imposante capuche et l'autre était une femme aux yeux violet. Des Humains ou autres choses ? Je ne su pas pour le moment.

À leurs arrivée, mon interlocutrice avais pris forme humaine et se cacha derrière la femme. J'avais bien raison, c'était une hybride. Mais celle-ci se méfiait de l'homme, bizarre.

Utilisant encore une fois le langage commun, je leurs dit avec ma voix qui resonnais un peu dans ce lieu d'un calme important:

-Ce lieu sans vie semblent cacher des surprises. Trois âmes se baladant dans ce lieu si hostile. Vous semblé connaître cette femme animale, connaissez-vous la ou les causes de ses maux ?"

Le soleil nous frappait mais ne pu révéler certains mystères visuels comme celui de l'homme au visage masqué par les ombres et le miens masqué par un masque. Des vie mystérieuses brisaient le tableau simple que donnait ce lieu. Un lieu dont la chaleur accablait certains et coûtait en vivres pour d'autres.

M'approchant d'un pas nonchalant, je saluai l'inconnu et Sadness d'un hochement de tête. À la question de l'homme masqué -Quelle est sa raison à lui, de couvrir son visage ?- ma seule réaction fut de la dévisager sans rien exprimer. Je me tournai alors vers la Voirloup et lui dis d'un ton rieur :

- Dis-donc, petite Sadness, comment t'arranges-tu pour attirer tous les drôles de Fantastiqua ? Même en plein désert, c'en est épatant.

Je refis face à l'étranger. Une rafale de vent, denrée rare dans ces parages, souleva un voile de sable entre nous, entraîna dans sa course mon manteau écarlate. Et alors, comme si cela avait été le murmure de Dieu lui-même, un doute s'insinua sournoisement dans mon esprit. C'était hypocrite, j'en avais bien conscience, mais le masque que cet individu portait étouffait toute impression de confiance que l'on aurait pu lui accorder. Un masque n'a d'autre utilité que celle de cacher son vrai visage, je ne le savais que trop bien. Mais que cachait-il ?

- J'ai vu plus dénué de vie, comme endroit. Et j'ignore ce qui peut bien nuire à la louve, bien que le climat constitue un coupable des plus plausibles en l'occurrence.

Je n'eus eu par le temps de terminer ma phrase que la louve vient à se cacher derrière moi. Bon à vrai dire ça ne me surprend pas par contre, c'est l'homme dont je suis qui me surprend bel et bien cette fois-ci.

Il connaît Sadness lui aussi, mais surtout semble l'avoir à la bonne, t'en mieux. Il n'est sûr que de se retrouver avec au temps de personnes dans un endroit pareil être plutôt surprenant.

“-Ce lieu sans vie semble cacher des surprises. Trois âmes se baladant dans ce lieu si hostile. Vous sembler connaître cette femme animale, connaissez-vous la ou les causes de ses maux ?"

- Dis-donc, petite Sadness, comment t'arranges-tu pour attirer tous les drôles de Fantastiqua ? Même en plein désert, c'en est épatant.

Je souriais à ÕShi sur la réplique envoyée à Sadness, les drôles de Fantastiqua . Du coup je venais à me demander qui d'autre appart Õshi et notre, interlocuteur du moment pouvait-elle avoir rencontré.

Les maux de Sadness, elles nous en avaient bien un peu parlé, mais je n'ai pas de raison de dire se le peut que je connaisse sur elle pour le dire ainsi a un inconnu, Sad en parlera si elle le veut.

- J'ai vu plus dénuer de vie, comme endroit. Et j'ignore ce qui peut bien nuire à la louve, bien que le climat constitue un coupable des plus plausibles en l'occurrence.

À c'est vrai, elle ne semble pas avoir pris de réserve d'eau sur elle, mais que vient-elle faire ici ? Fuirait-elle son ancien tortionnaire ? Je me défis d'une besace d'eau et lui tendit.

-Tient Sad, Tu ne vas pas tenir ici sans eau !

Je dévisageais l'autre, lui non plus ne semble pas avoir d'eau sur lui, mais il ne semble pas, vraiment souffrir de la chaleur. Je continue à penser que ce type est louche et pour revenir sur l'état de Sad:

-Pourquoi veux-tu savoir ce qu'elle a eu ? Tu es d'Angmar.

Cacher derrière la renarde, tu ne prends même plus la peine de répondre à qui que ce soit, ce n'est pas que tu ne veules par en prendre la peine, tu n'as simplement pas l'audace de le faire, tu es morte de peur, tu surveilles autant l'inconnu, que l'homme qui accompagne Tsukiyo. Vu votre première rencontre tu hésites toujours sur ce que tu dois penser de lui, tu ne considères pas ton passé comme injuste et en parler tu n'aimes pas ça non plus.
Tu as compris que les autres ne comprennent pas ce qu'est d'être un oméga, et tu les regardes en te tassant peu à peu derrière la renarde. Tu aimes plutôt qu'il parle d'autre chose, voir que tout le monde s'en a. Tu souris timidement à Tsuki de ne pas revêler ce que tu as déjà dit à la renarde, la provenance de tes coups et ce que tu es venue fuir jusqu'à cette région peu hospitalière.
De nouveau tu te colles à la renarde quand Oshi vient à te parler, le regardant brièvement, en haussant les épaules, comment peut-elle répondre à une question dont-elle ignore elle-même la réponse. Mais surtout le fait de ne pas du tout avoir de notion de sarcasme et de tout prendre au premier degrée. Quoique de son coté, pourquoi Õshi disait-il ne pas savoir ce qu'elle avait alors qu'il la sait oméga ? Peu-être le fait-il exprès ? Peu importe elle s'osa lever un peu, juste assez que l'on puisse entre le son faible de se voit:

-que...veux-tu dire...par maux ? Mes cicatrices ? Ce ne sont...que les marques...de mon clan.

Tu te tournes vers Tsukiyo et la remercies d'un geste de la tête lorsqu'elle te propose de l'eau et tu acceptes sans craindre à un piège de sa part, tu ne remarques même pas, que pour une fois tu arrives à faire confiance à quelqu'un.

Leurs réponses restaient toujours aussi vague. Que je sache les raisons des maux de l'hybride, sa n'a pas une grande importance pour moi.......j'ai un autre but......

Fixant la fille au yeux d'un violet profond je lui dit:

Angmar n'est qu'une région de ce vaste monde. Je viens et je parcours ce monde et Angmar n'est qu' un début et non ma terre d'origine. Disons que mon passé est visible sur mon corps, dis-je en montrant une des nombreuses cicatrices parcourant mon torse. Donc non, je ne connais pas la situation de cette région. Éclairé moi sur cette histoire.

Fixant l'homme, je lui dit:

-Certe, cette région n'est pas atroce mais tu n'as pas connu le seul lieu qui es le plus hostile.......

Puis je fixa la première vie que j'ai vu dans ce désert, je lui dit:

-La prochaine fois que tu fuit un lieu, prévoit de quoi survivre car la mort rôde autour des insouciants.

Je fouilla mon sac et lui envoya un des fruit qui me restait. Rien de précieux pour moi car aucun besoin j'en ressentait.

J'observai le petit manège de chacun. Tsukiyo restait fidèle à elle-même, Sadness... aussi, toute traumatisée qu'elle était. Eut-elle pu s'enfoncer dans le sable pour se cacher qu'elle l'eut fait, pas l'ombre d'un doute à ce sujet. L'inconnu lui jeta un fruit, noble intention de sa part. Il avait l'air inquiétant, mais ne se montrait pas hostile, que du contraire. Était-il comparable à moi ? Il dit avoir également connu de sombres heures, si j'interprète bien ses paroles. Échangeant un regard avec Tsukiyo, je haussai les épaules avant de m'adressant à Sadness :

- Je te donnerais bien quelque chose aussi, mais l'accepterais-tu ?

Puis seulement je me décidai à apporter un semblant de réponse à l'homme :

- Ici, nous sommes sur les terres d'Ângmâr, contrôlées par Fûma. Il guerroie contre son frère Kanoë qui dirige Ârnör. Entre ces deux régions se trouve Nürnen, gouvernée par Rosiel. C'est à ce dernier que j'ai loué allégeance, un peu malgré moi je l'avoue. En tout cas, il se tient à l'écart du conflit et cela m'arrange, j'ai déjà suffisamment d'hostilité à revendre que pour faire miens les ennemis de quelque seigneur. Enfin soit, si je comprends bien tu n'a encore prêté serment à personne dans cette contrée ?

L'homme lança un fruit en direction de Sadness même si sur le coup se fut-elle qui le rattrapa étant donné que la louve cherchait sûrement à se rendre les plus discrètes possible. Le fait qu'Õshi propose aussi à Sad de l'aidé la surprit quand même. Pas le fait qu'il cherche à l'aider.

Mais plutôt ça façon d'être avec la louve, créature dont l'homme ne supporte guère, et Aeon entant un eikyuu et rien en commun avec ces derniers dont-il n'eut toléré jusqu'à son existence même. Elle avait sur le coup un peu dure à le suivre.

Pourquoi détestait-il autant Aeon alors qu'il semble plutôt apprécié, du moins ne pas être dérangé par Sadness? Elle l'observa un long moment captant son regard et son geste du coup. Souriant aux paroles des deux hommes.

L'autre lui disait avoir connu le pire, mais en connaissant maintenant le passé et le secret d'õshi et en observant le comportement de la louve, pouvait-il vraiment dire qu'il avait connu pire qu'eux ? Chaque vie son histoire, par chance elle n'a pas eu une passée difficile elle était entrainée comme toute celle comme elle.

Peut-être, pourrait-elle prendre sa condition comme misérable, mais en vérité elle n'y pensait pas, elle s'en foutait d'une certaine façon que ça vie soit si courte. Elle vient à se laisser tomber, en se plaignant, qu'il fait chaud!

Agitant sa main pour rafraîchir son visage, remarquant un peu trop tard les brulures un peu partout sur les zones non protégées partent ses vêtements. Elle laissa s'échapper un “Oups!” Avant de se transformer en renarde argentée et venir se loger sous la cage de l'espion laissant du coup Sadness un peu seule.

Son pelage, habituellement brillant et léger, est terne et abîmer, dû aux brulures.

Le fruit lancé pour toi, te fut gentiment rattraper, et quelle chance il y eut chance qu'il te soit atterri en plein figure vue ton manque de réaction. Tu observes la scène sans plus trop prêter attention, Tsukiyo te tend le fruit, mais tu hésites à la prendre, et comme l'espion te propose lui aussi de te donner quelque chose tu hésites à répondre. Enfin jusqu'à ce que la renarde ne change de forme devant toi. Tu restes surpris, mais pas trop apeuré, ça reste Tsukiyo et c'est une renarde et non une louve. Tu es tes subjuger par sa façon d'agir . Elle n'a peur de rien elle, ce n'est pas comme toi, tu te retrouves finalement avec le fruit dans les mains.

-Merci …

Réponds-tu à l'inconnu d'une voix basse, puis tu te tournes vers Õshi.

-Je veux bien comme j'ai accepté de … ?

Se tourna-t-elle vers l'homme dont-il ne connaisse toujours pas le nom, il non plus ne sait pas le sien, enfin l'a-t-il entendue des autres, mais tu préférais te présenter par politesse.

-Je m'appelle Sadness... et toi ?[/font]

L'homme mystérieux me fit un résumé sur la région et son histoire. Je connaissais déjà cette histoire mais j'écouta pour rester poli. Je lui répondis:

-J'ai prêté serment d'allégeance à moi seul. Je n'aime pas être enchaîné à des ordres et des devoirs. Je tiens à ma liberté.

Je vis la fille-renarde prendre sa forme animale. La chaleur l'accablais à ce que je voyais. L'autre jeune fille me remercia et se présenta. Je lui dit:

-Enchanté Sadness et de rien pour le fruit. Bon vu qu'elle le temps des présentations est arrivé, je me présente, Azazel est mon prénom. Et le votre ?

Pendant se temps, dans ma tête, les 2 consciences se disputaient le contrôle de ma personnalité. La part sombre me disait de les tuer, les détruire, les asservir et la lumineuse me disait de les aider. Se combat mental se voyais, mon masque, blanc au départ, commençait à se t'entendre en noir et mon corps était parcouru de tremblement. Je me ressaisi mais le combat fesait toujours rage en moi.

Je leurs dit:

-Je vous écoute, hybrides et humains je présume.

Il y avait définitivement quelque chose chez cet homme, Azazel, qui me dérangeait profondément. Profondément car je ne parvenais pas à saisir quoi exactement, et pourtant j'étais sûr d'avoir la réponse sous les yeux, de rater une évidence. Mais comment déchiffrer l'attitude d'un homme masqué ?

Je plongeai la main sous les replis de ma cape, saisis une gourde d'eau encore pleine et une sacoche contenant des morceaux de viande séchée à l'intention de Sadness. Et à l'intention d'Azazel, je dévoilai sciemment ma dague en m'assurant bien que le reflet du soleil sur la lame parfaitement polie lui luise dans les yeux. Je tendis les vivres à la louve, me fendant de ce stupide sourire invisible en la taquinant :

- Tu es sûre d'oser croquer ce qui vient de moi ?

Pendant ce temps, Duvaile -que j'avais effleuré en fouillant les pans de mon vêtement- quitta sa cachette pour virevolter autour de moi. Sans avoir besoin de mots, je lui demandai de faire comprendre à Tsukiyo qu'Azazel ne m'inspirait aucune confiance. Je voulais au moins que cette insouciante puisse songer à se protéger si pour une raison ou une autre cela devait s'avérer nécessaire. Heureusement, elle s'était déjà abritée du soleil auprès de moi à mon insu pendant que je scrutais l'étranger.

J'avais sur le coup un peu abandonné Sadness, et celle-ci c'était présenter à l'inconnu répondant apparemment au nom d'Azazel. Oshi était définitivement gentil et plutôt aux petits soins avec la louve, enfin tant mieux, au moins il n'y avait aucune tension entre ses deux là et je pouvais me concentrer sur Azazel et... Duvaille qui vient tourner autour de ma tête comprenant très bien le message.

-Je m'appelle Tsukiyo Makkura.

Je souris, échange un regard avec l'homme, pour lui faire passer comprendre que j'avais compris, et même si je souris et semble infantile devant eux, ce n'est pas pour autant que je ne m'en méfie pas. C'est marrant mais certaines de ces mimiques me fait penser à celle d'Aeon lorsqu'elle tente de refouler l'entité.

Qu'il soit lui aussi possédé serait fort et très ennuyeux pour lui, Õshi, si j'ai bien compris ne se fie aucunement aux personnes potentiellement dangereuses, même si dans son cas je ne serais dit s'il se joue de nous, ou s'il est lui aussi victime d'une part violente.

Ce qui dans ce cas le rapporte un peu à l'aigüe, du coup, est-il à considérée vraiment comme un ennemi ? Pour l'instant rien ne semble prouver qu'il soit réellement dangereux. Enfin si cela venait à dégéré, je m'en pressais à réparer les tissus brulure de ma peau, pour éviter d'être dérangé, si combat il devait y avoir./div>

Acceptant les vivres proposés par Oshi, je n'osai vraiment le regarder, prenant une teinte plus vive, observant Tsukiyo, c'est peu être une idée, mais il me semble que ses brulures ne sont plus là. Je dévisageai Azazel, ayant remarqué du moins il me le semble que son masque semblait changer de couleur.La magie et les transformations étant nouvelles et encore trop inconnues pour moi, je ne cherchai pas plus loin. Me rapprochant du coup de l'espion, dont le regard qu'il venait d'échanger avec Tsuki, ne me plaisais pas beaucoup même si je ne le comprenais pas vraiment.

Je me reculai en voyant la petite chauve-souris, voler près d'eux, il me semble l'entendre parler, mais avec qui ? Sûrement Õshi vu qu'elle venait de s'envoler de sa cape. Il se méfiait donc bien d'Azazel ! Je me rapprochai encore un peu en gardant quand même une distance n'étant pas vraiment de leurs groupes.Mais si les choses tournaient mal, je ne sais vraiment pas ce que je pourrais faire . Je suis incapable de me battre, j'ai des crocs, mais pas la force pour, ne fuse percé la peau de mes proies, je ne suis pas rapide, ni agile avec mes hanches, qui ne supportent plus du tout de recevoir un coup.

Je vis la dague de l'homme briller au soleil. Ma partie sombre me disais de le tuer, de l'évisèrer et de garder sa tête comme trophée. Peu à peu mon masque devenait plus noir mais le nom de la regarde calma un peu l'emprise des ténèbres. Je lui dit :

-Enchanté Tsukiyo. Je vois que tu souffre de la chaleur, ne devrais-tu pas boire pour la calmer un peu ?

Montrant un peu mon dos à l'adresse de Oshi. Il vit la lumière se refléter sur la l'âme de la faux et sur celle de l'épée. Je voulais lui faire comprendre que toutes hostilitées de sa part lui causera perte.

Le calme avais repris, laissant au vent le droit de faire son chant. Je cassa sa douce mélodie pour dire:

-Une question me trotte dans la tête avant tous, que faite vous dans ce lieu dont les seuls habitants reste de marbre ?

Le silence repris mais mon combat intérieur fesait toujours rage. Il suffirait de peu pour que cela bascule d'un côté....Les voix continuèrent dans ma tête ne me laissant aucun répit. Mon corps en tremblait presque et le masque ne cessait pas de virer de couleur. On voyait là tous les signes d'un combat intérieur violant.

Le fait qu'Azazel me dévoila également ses armes m'indiqua qu'on était d'accord sur ce point : le moindre signe d'hostilité entraînerait inévitablement un affrontement par le fer. Mais si nous étions chacun aussi prompt à en découdre, qui de nous était le plus fort ? Le plus malin ? Je me fiais davantage à ce dernier point pour espérer avoir le dessus, mes compétences guerrières étant quasiment nulles, surtout sans l'effet de surprise.

En observant cet homme, je présumai qu'il était rompu au combat, mais je me rendis surtout compte que son masque changeait de teinte. Était-ce le détail qui m'inquiétait depuis tout à l'heure sans que je l'aie remarqué ? En tout cas, cela renforçait mon sentiment de méfiance et je commençais à vouloir emmener Tsukiyo le plus loin possible de cet individu.

- On voulait visiter un peu Ângmâr, mais on s'est éloigné de la route. D'ailleurs on a perdu assez de temps comme cela. Si on avançait, Tsuki ?

Mon regard s'égara vers Sadness et je fus étrangement pris d'un élan de pitié pour cette pauvre louve qui avait déjà beaucoup souffert. Malgré l'aversion que sa nature m'inspirait, je ne pouvais me résoudre à l'abandonner avec l'inquiétant Azazel.

- Souhaiterais-tu poursuivre ton chemin avec nous, petite Sadness ? Au moins tu ne manqueras plus d'eau ni de nourriture.

Les hostilités s'échangeaient déjà et toute de suite, je sentais la tension monter, quoique Azazel semble avoir quelques problèmes psychologiques il semblait resté lucide, Oshi s'empressa à nous faire s'éloigner de lui au plus, vite idée partager.

Mais je me retournai vers la louve...on ne peut pas la laisser là, et c'est ce que semblait aussi penser, l'espion ne lui laissant pas le choix de reculer ou choisir de partir de son coté, je repris ma forme humaine, me couvrant des rayons du soleil.

-Tu en fais pas ce ne sont que des brulures et elles ne sont déjà plus là !

Je saisis Sadness par la main pour la tirée vers nous et surtout, ne pas trop li laisser le choix de continuer à rester aussi seule qu'elle ne l'est. Prêt à se remettre en route, je tournai ma tête vers Oshi, puis vers Azazel.

-Bon ben, nous on va devoir te quitter...

Je n'avais pas remarqué l'arme d'Oshi étant dos à lui, par contre celles d'Azazel oui, du coup je reculai, de peur que les deux hommes ne viennent à se sauter dessus. Ce n'était pas vraiment pareil à la meute, mais, la tension naissante, me rappelle fort, celle deux mâles cherchant à soumettre leurs et certes, ici il n'y avait pas les crocs, ni les griffes, mais quelque part leurs gestes restaient les mêmes. Si ça venait à dérailler, l'un ou l'autre l'emporterait et dans ce cas je ne serais d'aucune utilité, mais Tsykiyo semblait elle aussi se préparer à l'affront. Donc elle aiderait Õshi et se mêlerait de ce combat .

Celui-ci, s'empressait de vouloir partir, et pendant un instant, je fus paniqué, car je ne voulais pas rester seule avec Azazel, mais je me calmai car le problème était réglé, il me proposait de les suivre, je n'eus pas le temps de réagir, ni même d'hésiter, que la renarde me saisit par la main pour me tirer, vers eux, sautillant, et tentant de rester debout. Mes hanches ne suivant pas très bien le mouvement, je boite quand même assez fort, et sans le vouloir s'en fus un peu de trop pour mon bassin qui ne trouva plus aucune force pour me soutenir et je venais à tomber sur le sable chaud. Les regardant ennuyée, je ne suis vraiment qu'une chose faible et inutile...

Une lutte fesait toujours rage dans ma tête, un combat entre le Bien et le Mal. Ce dernier remportait petit à petit le combat. Mon masque devenait de plus en plus sombre jusqu'à avoir la teinte noire qui recouvrait toute la surface.

Dans mon esprit, il ne régnait qu' une seule conscience, une conscience de mort et de désolation. "Asservit-les, contrôle-les, détruit-les,..." me disait-elle. Une douce euphorie m'envahie peu à peu comme une joie meurtrière.

Je me mis à rire d'un rire puissant et sombre. Puis, peu à peu, il se calma. Je les regardaient partir et je claqua des doigts. Des colonnes de flammes sortirent du sable juste devant eux les empêchant de continuer d'avancer. Je leurs dit:

-Qui vous à dit de partir ? J'ai d'autres projets pour vous. Devenez mes esclaves et je vous épargnerais sinon mourrez.

Je m'avança vers eux et créa un cercle de feu avec mes flammes. Personnes ne pourrais les traverser sans mourir brûlé. Ils étaient piégés et leur seule issue était la domination ou bien la mort. En tous cas, je les feraient souffrir atrocement. J'attendait leur réaction dans le silence du crépitement du feu.

Je tiquai à la vue du feu. Même pour moi, impossible de passer sans conséquence. Passablement énervé de ce simple fait, je me tournai brutalement vers celui qui venait de nous emprisonner.

- Des esclaves ? Je suis sûr que tu en trouveras facilement dans quelque bouge mal fréquenté dans une ville où les gardes sont laxistes avec les gens de ton espèce. Tu devras bien te contenter de cela si tu veux t'épargner le froid de ma lame.

Dégainant ma dague, je la dardai vers lui sans trop m'approcher cependant. Sois le plus malin. Je ne pourrais probablement le vaincre que si j'arrivais à le surprendre, et j'avais déjà pris mes dispositions dans ce sens. Mais plus que l'envie de lui tailler la chair, c'est l'inquiétude de protéger Tsuki qui occupait mon esprit. Et Sadness aussi, en fait, pour une étrange raison qui m'échappait.

Je changeai de position pour me préparer au combat, défiant du regard Azazel qui nous narguait. Il usait de magie, je le pourrais aussi, éventuellement. Mais je ne l'avais plus fait depuis des lustres et l'idée me répugnait. Puisque tu as l'air d'aimer le feu, je compte bien te refroidir.

Ma meilleure arme à cette fin était mon intelligence. Nous étions dans le sable, peut-être était-il possible d'étouffer le feu, au moins suffisament pour se faufiler. Je demandai à Duvaile de faire comprendre à Tsukiyo et Sadness de tenter d'enssabler les colonnes de flammes pendant que j'occuperais Azazel. Si cela ne marchait pas... un peu d'improvisation serait de mise.

Les flammes sortant du sol, me firent, reculer d'un bond, m'assurant que ni Õshi, ni Sadness ne soient toucher par elle. C'est quoi sont délires à celui-là . L'espion comme je me l'y attendais avait déjà, l'amer a la main, mais je sais aussi qu'il n'ira pas au corps-à-corps si cela lui est possible.

Par contre elle n'est pas un problème pour moi, cela fessait un moment où je n'avais plus été en combat et je sens déjà la frénésie s'emparer de moi. Mes queues s'agitant frénétiquement derrière moi. Je n'ai pas de couteau ou de dagues par contre sur moi, simplement, que je n'utilise pas se style d'arme.
Ne pouvant plus rester en place j'ai bien entendu la demande d'õshi mais, je ne pourrais pas, tenter de faire quelque chose maintenant, se serait risqué à tenter d'utiliser le champ de forces maintenant pour étouffer le sable, enfin dangereux pour moi.

Sans plus attendre, je partais sur Azazel, il voulait jouer au malin avec nous, il comprendrait qu'il avait peu été pas astucieux de nous prendre à trois, même s'il a confiance à ses capacités il est de même, pour moi. Une fois face à lui, se stoppait d'un coup ma course, pour partir sur le côté, restant toujours à distance de sa lame, par contre, je lui envoyais une rafale d'aiguille vers ses jambes.
Peu être ne semble tels pas dangereux, mais attendent qu'elle te touche, un nerd ou même un tendon, si tu essaies de les retirer, tu te feras plus de dégat encor, comme elles sont dentelée et légèrement recourbée et tu ne pourras bientôt plus tenir debout.

» Ce temps qui file... (PV Õshi -Kael-Sadness.)
» Ce qu'il y a après la mort ? Une autre perte de temps d'après moi...[PV Azazel]
» quand la mort frappe à la porte, le, croque, mort chante ♪♫ (morticia)
» Absence d'Oshi
» Õshi le rescapé

L'ombre de la mort...(PV Oshi-Sadness-Azazel).

L'ombre de la mort...(PV Oshi-Sadness-Azazel).

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