enfin depuis le temps Zarathos est ses hommes avaient reçu l'accord pour pouvoir recruter à Valhaine du monde avec carte blanche, bon le démons voulait pas forcer la population mais leur montrer une face du prince différente de ce que tout le monde pense ce n'est pas forcer



le démons arriva donc à Valhaine ville qu'il connaissait bien et ou il avait déjas vu qu'elle point les hommes et femmes de la ville pouvait avoir un coté sombre un coter que fuma et Zarathos adorait.

son arrivait en ville fut très remarquer en effet le démons était vêtue de son armure noir avec sur le plastron le signe de Slaanesh en or ses jambes était entourer par des jambières qui les protégeaient au maximum le tout recouvert de son hakama noir le démons portait à sa ceinture du coter gauche son katana dans son fourreau, l'armure entière de Zarathos en Mithril noir brillait de mile feu grâce au soleil de midi qui l'observait.

Kienzan l’accompagnait à sa droite et juste derrière lui sa fille la séduisante Cidwenn Nightmar menant une importante escouade de démonette furie et harpie en tenue moulante est sexy sous apparence humaine quelque yuan-ti à pied était aussi dans le petit groupe de fuma bref la belle légion du sud fit directe savoir qu'elle était là plusieurs chariot était à l 'entrer de la ville et un vieillard posa une table avec des papier une plume et de l'encre .


Zarathos une fois en ville se mit sur la place du village et tout en restant dessus Nécros il regarda un yuan-ti en tenue de cuir avec une longue cape noir sortir un rouleau et criait haut et fort pour que toute la foule qui s’était réuni entende

"villageois villageoise de Valhaine sous la demande du seigneur fuma prince de Fantastiqua plusieurs hommes et femmes de son royal et divine armé sont envoyer dans les grande ville pour vous proposez de nous rejoindre et de nous aidez face a la menace du prince noir et démoniaque ka"
le yuan-ti eu un moment d’hésitation devant le nom de Kanoé et regarda son maitre qui lui fit signe de continué
"Kanoé si vous rejoignez nos rend mes amis vous serez logis nourrit blanche payer et surtout vous aurai l'infime honneur de servir dans une des 4 légions de notre prince sous les ordre de nos 4 grand capitaine dont le capitaine de la légion du sud ici présent Zarathos "

les villageois regardèrent l'homme sur le cheval et certain alors de suite avancèrent ver les membre de la légion du sud
"ou faut il signez " "je vous rejoins "
plusieurs homme de suite avait fait leur choix les roulottes était près à les emmener et le vieillard au allure douce et gentil tendit des papier à faire signer au volontaire.


Zarathos regarda sa fille "prépare des hommes j'ai un mauvais pressentiment je veut une sécurité renforcée Valhaine est une ville qui intéresse Kanoé comme nous "

Kienzan regarda le démon et partie en éclaireur voir un peux se qui pouvait leur donner un tel pressentiment

Comment on disait déjà? Quand on tourne en rond depuis des heures, que tous les arbres et les brins d'herbe se ressemblent et que personne n'était en vue depuis des heures? Hum? Perdu? Ah oui, c'était donc ça... Violine s'était encore une fois perdue dans l'immensité de Nürnen. Ca devenait vraiment une très mauvaise habitude. La dernière fois qu'elle s'était perdue en voulant suivre un papillon, elle avait failli se noyer. Donc, pour une fois, ce n'était pas un éclair blanc qui se balladait - ou plutôt tournait en rond - mais une jeune fille aux cheveux couleur de neige. Cependant, sous cette forme, des ondes négatives puissance dix se jetaient sur les passants les plus proches afin de leur dire : "Danger pas touche à Mwa!". Ralala, incorrigible Violine! Prête à jouer avec n'importe qui en tant que petit renardeau, et pourtant capable de tuer les rares personnes qui oseraient l'approcher d'un peu trop près. Enfin, ça, ça vallait pour les petits villageois de base, pas pour les guerriers, magiciens et autres créatures bizarres aux pouvoirs dévastateurs...

Mais, comme la fin justifie les moyens, la jeune fille avait, à contre coeur, reprit sa forme humaine pour demander, toujours à contre coeur, où se trouvait la ville la plus proche. Et une charmante paysanne lui avait indiqué une ville du nom de Valhaine, à quelques minutes de marches. Et c'était vrai! Quelques minutes plus tard, Violine découvrait cette jolie ville. Elle se faufila à travers la population en évitant au maximum les contacts, rasant les murs. Elle alla s'installer dans un coin, prévoyant de réfléchir à ce qu'elle pourrait bien faire quand soudain, tout un cortège se mit à défiler dans la ville...

Un pseudo-bonhomme tout drapé de noir cria à qui voulait l'entendre ces quelques mots :

"Villageois villageoise de Valhaine sous la demande du seigneur Fûma prince de Fantastiqua plusieurs hommes et femmes de sa royale et divine armée sont envoyés dans les grandes villes pour vous proposer de nous rejoindre et de nous aider face à la menace du prince noir et démoniaque Kanoé si vous rejoignez nos rangs mes amis vous serez logés nourris blanche payés et surtout vous aurez l'infime honneur de servir dans une des 4 légions de notre prince sous les ordre de nos 4 grand capitaine dont le capitaine de la légion du sud ici présent Zarathos."

C'était quoi encore que ces histoires? Et depuis quand il était démoniaque Kanoë? C'est vrai que Violine n'avait pas vraiment eu le temps de trop faire connaissance avec lui lors de sa visite au château mais tout de même... Au premier abord, il semblait plutôt amical... Un peu réservé oui, mais sympathique. Il déformait vraiment les choses de petit bonhomme en noir. Mais bon, c'était sans doute cela la magie du discours, on peut faire croire n'importe quoi à n'importe qui... D'ailleurs plusiers personnes du peuple s'avançaient déjà pour signer des papiers.

En temps tout à fait normal, Violine aurait reprit vite vite sa forme animale et se serait enfuie à l'autre bout du monde. Seulement le mensonge volontaire - ou non d'ailleurs - lui hérissait les poils. Elle quitta son petit coin et alla se poster sur un toit, bien en hauteur - enfin autant que pouvait lui permettre un toit - et bien en vue pour tout le monde. Elle s'assit et lança, tout innocemment :

" Moi je ne connais pas personnellement ton Prince, mais si j'étais un villageois doté d'un minimum d'intelligence, je ne signerais pas ces papiers douteux sans avoir des preuves concrètes, et de la bonne fois de tes paroles, et de la soi-disant méchanceté du Prince Kanoë... Enfin moi je dis ça... je dis rien... "

Elle espérait que le peuple réfléchisse un moment et aussi que personne ne tente de la transformer en renard bouilli.... Ca a mauvais goût le renard bouilli...

-->la veille : Cid était dans ces appartements, tranquillement posé sur un vieux fauteuil en velours, au couleur de füma. Une faible lueur des bougies éclairées la pièce. La nécromancienne confortablement installé , terminait tranquillement les parchemins administratif de la section sud, qui avait torturé quoi ? voir l’inverse . Les nombres de personnes ayant survécu au interrogatoire était mince, contrairement a ceux qui y avaient succombaient, un sourire glaciale se dessina sur les lèvres de la magicienne noirs, elle et Zarathos étaient les premiers sur la listes des nombres de torture effectué. Il faut dire que les nombres pouvaient donner froid dans le dos a certaine personne, mais pas pour cid.
La nécromancienne tellement subjugué par ces papiers qu’elle n’entendit pas Zarathos entrer dans la pièce, celui-ci remarquant que sa fille n’avait toujours pas remarquer sa présence, il se rapprocha d’elle et lui lança un « BOUH » par pur réflexe, la nécromancienne saisissa sa dague qui était sur la table de chevet a sa gauche. D’un mouvement souple et rapide la dague se dirigea vers le cou du capitaine qui lui ne bougeait pas d’un cil et là, arrêt sur image, cid arrêtant son geste avec justesse, la lame non loin de la gorge de son père ; la nécromancienne relâcha son bras elle inspira et …

« MAIS VOUS ÊTES COMPLETEMENT MALADE !!! J’AI FAILLI VOUS TUEZ !....
-cid…
-VOUS AURIEZ PÛT FRAPPER AVANT D’ENTRER !
- j’ai frapper a ta porte
-VOUS…. (le ton de la nécromancienne redescendi aussi vite qu’il était monter) vous avez frapper ?
-Oui
-mille excuse je n’avais pas a m’emporter comme sa, mais c’était pas une raison pour me faire peur ainsi…
-désolé de même, je te rend visite car je vais avoir besoin de toi, et je ne vois personne d’autre que toi . j’aimerai t’avoir comme bras droit pour une mission.

La nécromante fût signe au capitaine de s’asseoir, ce qu’il fût sans plus attendre.

« si c’est pour encore me faire faire des papiers , non merci, je me ferais plus avoir…
-non rassure toi, nous devons allez des demain sur les terre de Nürnen,

voyant le regard interrogateur de la nécromancienne, l’homme continua :

-Nôtre prince nous demande d’aller recruter des hommes ou femme pour notre armée, et j’aimerais que tu sois là sa te dirais.
- Avec joie , mais …. En échange vous terminez les papiers que vous m’avez refourguer !

sur le visage de l’homme se dessina une flemme, mais il céda…

« très bien départ a l’aube bonne nuit mon enfant…
-bonne nuit père

elle raccompagna son père a la porte il l’embrassa sur la joue et disparut dans les couloir <--

Et voilà comment Cid se retrouva en second position dans le cortège, elle précédé Zarathos qui elle était suivit par, des démonette furie et harpie. bonhomme avait revêtu son armure en mitril noir celle que Cid appréciait quand il la portait, Cid l’admirais, elle , elle était vêtu d’une tenue plus discrète mais cela n’empêcher pas les hommes de la dévisager quand elle passait, elle avait endosser sa tenue de cuir noir, un bustier qui découvrait sa peau pale, , un pantalon serrait de même matière que le haut et enfin des bottes a talon en cuir noir où la nécromancienne était très a l’aise.
Leur arrivé en ville fut très vite le tour de celle ci. Des chuchotements sur leurs passage, des regard inquiets mais aussi d’émerveillé, bref plein de sentiment entre mêler.

*un recrutement … je n’y crois pas vraiment …*

malgré son doute, Cid savait tout comme son père que chaque personne avait une partie sombre cacher dans son cœur et que de personne ne la faisait ressortir. Le cortège fit un arrêt au centre du village , le script officiel du prince fuma installa sa table , son encre et sa plume. . cid regarda un yuan-ti en tenue de cuir avec une longue cape noir sortir un rouleau et criait haut et fort pour que toute la foule qui s’était réuni entende

"villageois villageoise de Valhaine sous la demande du seigneur fuma prince de Fantastiqua plusieurs hommes et femmes de son royal et divine armé sont envoyer dans les grande ville pour vous proposez de nous rejoindre et de nous aidez face a la menace du prince noir et démoniaque ka"
le yuan-ti eu un moment d’hésitation devant le nom de Kanoë et regarda Zarathos qui celui ci acquiesça afin que celui-ci termine le discours
"Kanoë si vous rejoignez nos rend mes amis vous serez logis nourrit blanche payer et surtout vous aurai l'infime honneur de servir dans une des 4 légions de notre prince sous les ordre de nos 4 grand capitaine dont le capitaine de la légion du sud ici présent Zarathos "

a la fin se ce discours plusieurs personne se portèrent volontaire.

*finalement les hommes sont attirés par le pouvoir… J’aurais jamais crût qu’il y en aurait autant…*

Elle fuit soudain tiré de ces pensée par Zarathos

"prépare des hommes j'ai un mauvais pressentiment je veut une sécurité renforcée Valhaine est une ville qui intéresse Kanoë comme nous
Cid hocha la tête et descendit de son cheval avec souplesse. La nécromancienne avait une démarche fier et droite les villageois lui cédèrent le passage.

« une femme ? lança un des villageois qui c’était portait volontaire
-vous vous attendiez a quoi ? Je me nomme Cidwenn nightmar, lieutenant de la section sud.
-vous êtes une femme ? un autre villageois qui venait d’arriver j’ai toujours crus que le démon Cidwenn était un homme ou autre, vus les horreur que vous fait… mais sa me plaît ! »

Cette remarque arracha un sourire a la nécromancienne, une voie attira son attention :

" Moi je ne connais pas personnellement ton Prince, mais si j'étais un villageois doté d'un minimum d'intelligence, je ne signerais pas ces papiers douteux sans avoir des preuves concrètes, et de la bonne fois de tes paroles, et de la soi-disant méchanceté du Prince Kanoë... Enfin moi je dis ça... je dis rien... "

la nécromancienne se dirigea vers la jeune femme qui venait de parler et lui répondit dune voie ferme mai douce a la fois :

-Et que sais –tu du prince fuma ? rien Tu ne peux pas juger avant de connaître, tu peux peut-être porter attention au rumeur,certes, mais que sais –tu vraiment de kanoë ? Connais tu sa vrai personnalité ?. Au jour d’aujourd’hui nous baignons dans un monde d’illusion réfléchis a sa !!

Derrière la nécromancienne un grabuge se fît entendre la foule était agglutinait autour de son capitaine.
Elle s’inclina devant violine en signe de respect et s’enfonçât dans la foule tout en dégainant son épée afuté. Une qu’elle réussi a se frayer un passage elle reconnut l’homme qui lui tournait le dos et qui ne l’avait pas remarquer et qui faisait face a Zara et le provoquer elle l’avait déjà rencontrer auparavant.

" Toi et moi, un contre un jusqu'à la mort pour l'honneur de nos princes !"
-la capitaine ‘a pas de temps a perdre avec toi, être sans gêne et vulgaire, avant de te confronter a lui tu devras d’abord t’occuper de moi !!

la nécromancienne se faufila entre lui et le capitaine. Epées en avant , les yeux bleu glacer de la nécromante ne lâchait pas ‘homme du regard. Une ambiance glacé s’installa sur la place…

[HRP : pour plus de commodité, je propose que les paroles de chacun soient rapportées dans la couleur de son camp... faites ou pas, vous avez le choix, mais pensez aux suivants]


Nos rangs ne grossissaient plus autant qu'auparavant. La guerre était maintenant imminente, et pourtant, d'après une enquête menée par notre Prince, la juste cause comptait bien moins de guerriers que l'armée adverse. Nous n'avions plus le choix... il fallait recruter.

J'aurais dû m'estimer heureux que Kanoë me confie cette mission de confiance. En fait, pour ne pas mentir, il n'aurait pu me trouver pire calvaire. Je n'étais guère philantrope, et même plutôt solitaire, alors m'envoyer faire de la pub ! Merci bien. J'étais néanmoins content d'avoir pu emmener Raph avec moi. Le chef de troupe était certes un peu rustre sur les bords, mais je l'appréçiais beaucoup, et sa manière d'être pourrait sans nul doutes nous aider à nouer le contact avec les gens des environs. C'est donc plus ou moins le sourire aux lèvres que nous nous rendîmes à Valhaine.

Là-bas, déjà sur la place, une surprise nous attendait. Je ne mis pas longtemps à reconnaitre Zarathos et sa petite protégée. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, les guerriers de Fûma avaient choisi le même lieu et la même journée pour leur campagne de recrutement. Car que faisaient-ils perchés au milieu de la foule sinon recruter ?

Je sentis Raphaël se tendre à côté de moi. Mais avant que je n'ai eu le temps de lui intimer la discrétion (si tant est que Zara et moi pouvions encore nous louper depuis que nous avions ensemble repoussé les barbars, et surtout depuis que je lui devais... enfin bref), Raph sauta sur un toit pour aller écouter le discours du guerrier sur la place. Mais il n'y resta pas longtemps. Alors que j'allais lui ordonner de descendre me rejoindre, il sauta au milieu des villageois qui s'écartèrent brusquement, et gueula sans restriction toute sa haine sur ses ennemis.

- La bourde ! marmonnai-je entre mes dents.

Tout se passa assez vite : Raph défia Zarathos qui fut vite défendu par sa protégée. Mais en un tournemain, un quatrième béligérant monta sur scène. Je sentis ma gorge se serrer et la colère monter. Encore elle ! Mais comme Fel menaçait de sa dague le premier de mes lieutenants, je n'avais d'autre choix que d'intervenir à mon tour.

- Le maître de ses lieux ne tolère pas de rafus au sein de son domaine et il serrait très mécontent d'apprendre que des trouble-faites envahissent son village. Si ça ne vous ennuis pas, je voudrais obéir à ses ordres sans utiliser la violence. Je vous demande donc de vous calmer et de laisser le capitaine Zarathos et Mlle Nightmar faire leur recrutement. Vous pourrez faire le votre après.

Elle se retourna ensuite vers ses deux 'amis' - pouvait-elle réellement en avoir ? - de sorte qu'elle ne me vit pas monter à mon tour. De ma main protégée par un gantelet de cuir, j'écartai sa dague de la gorge de Raph qui n'avait pas bougé - avait-il compris qu'il vallait mieux m'attendre cette fois ci ? - ce qui eut pour effet de la faire se tourner de nouveau.

Le regard dur, je m'efforçai de la considérer comme je l'aurai fait pour n'importe quelle autre personne venant s'immicier dans mes affaires. Autant dire que j'échouai lamentablement. La rancune perçait dans ma voix aussi clairement que la colère.

- Mêle-toi de ce qui te regardes veux-tu ? commençai-je. Tes affaires personelles sont déjà assez malsaines comme cela pour que tu te permettes de salir celles des autres.

Inutile de dire à quoi je faisai référence. Je sentai dans mon dos le public jubiler craintivement. On sentait l'électricité dans l'air, et pourtant le spectacle de tous ces guerriers devait être bien passionnant.

- Zarathos, saluai-je avec respect dans un signe de tête.

Je pris ensuite Raph par l'épaule et le poussait dans le dos pour le faire descendre de là. Par égard pour le guerrier démon, à qui je devais plus que je ne le voulais, j'avais décidé d'éviter à maximum le conflit. Je ne pouvais pas deviner, alors que j'allais descendre à mon tour, la tournure que les évènements allaient prendre.

Et ben si Zarathos avait pu prévoir ça il se serait surement mis dans un autre village pour le recrutement
Déjà le coup de la petite gamine qui ouvra grand sa goule pour sortir
" Moi je ne connais pas personnellement ton Prince, mais si j'étais un villageois doté d'un minimum d'intelligence, je ne signerais pas ces papiers douteux sans avoir des preuves concrètes et de la bonne fois de tes paroles et de la soi-disant méchanceté du Prince Kanoé.. Enfin moi je dis ça... je dis rien... "
Zarathos sourit et la regarda les démonettes allez agir, mais Zarathos leur fit un léger signe du doigt et personne ne remarqua que la jeune violine avait déjà plusieurs personnes qui la prenaient pour cible *vous vous en occuperez plus tard je veux pas lui donner raison en public *
Puis le coup de ce deux cerveaux 1 muscle qui provoqua Zarathos là ce fut énorme Zarathos eux du mal à ne pas rigolez


" Et moi j'vais dire un truc ! Le "prince noir et démoniaque Kanoé" comme il dit est un type bien ! Puis moi j'ai envie de dire, un prince qui exécute ses hommes au moindre doute et qui envoie des démons faire de la propagande pour sa "royale et divine armée", je sais pas vous les gars, mais moi je trouve qu'ca sonne faux ! Et vous laissez pas avoir les gars ! J'vous dirais pas de venir chez nous, on s'en fout nous, si vous d'vez v'nir chez nous c'est par choix et rien d'autre... Mais v'nez pas chez Füma, c'te prince lopette ! Ah et j'aimerais juste dire un truc... En fait non, j'ai rien à ajouter moi ! J'ai déjà tout dit !"
Zarathos le regarda "dit moi gamin que sais tu de mon prince qui exécute des gens comme ça j'aimerais bien savoir ce qu'on t'a racontait enfin pour ton information je suis certes un démon, mais tu n'étais même pas encore une pensée dans la tête de tes parents que je servais le grand roi alors si tu veux essayer de discréditer une personne sur cette terre évite avec moi car j'ai plus de crédit que toi très cher Raphaël "
Zarathos le regarda avancer
" T'as insulté mon prince... Ça va chier, je te défie en duel ! Toi et moi, un contre un jusqu'à la mort pour l'honneur de nos princes !"


Cette fois-ci c'était trop le démon éclata de rire et le regarda du haut de Nécros "tu l'as dit toi-même je suis un démon et tu veux m'affronter pauvre fou je fais partie des élites de Fantastiqua avec ton capitaine alors quand tu arrivera à ma.... "
Mais avant que Zarathos ai fini sa fille arriva *bon c'est pas aujourd'hui que je vais me défouler *
-le capitaine 'a pas de temps a perdre avec toi, être sans gêne et vulgaire, avant de te confronter a lui tu devras d'abord t'occuper de moi !!
*bon je fais quoi moi maintenant le recrutement est un peu geler alors je crois que la fabrique de popcorn du coin va m'en donner et je vais assister à un combat sympathique pour me calmer *
Enfin c'est ce qu'il pensait avant que celle qui n'aurai jamais pensé voir arrive.
"Le maître de ses lieux ne tolère pas de rafus au sein de son domaine et il serrait très mécontent d'apprendre que des trouble-faites envahissent son village. Si ça ne vous ennuis pas, je voudrais obéir à ses ordres sans utiliser la violence. Je vous demande donc de vous calmer et de laisser le capitaine Zarathos et Mlle Nightmar faire leur recrutement. Vous pourrez faire le votre après Décidément, je vous retrouve partout. Zarathos, Cidwenn, bien le bonjour".

"enchanter mais dit moi je rêve ou tu a pris du plomb dans la tête et à décidé d'être sage "
Et une voie vint lui rappeler que le monde était vraiment mais vraiment petit :
Mêle-toi de ce qui te regardes veux-tu ? Tes affaires personnelles sont déjà assez malsaines comme cela pour que tu te permettes de salir celles des autres.

*aie il lui a pas pardonné je pense dommage bon enfin passons *
- Zarathos,
Zarathos regarda le capitaine de la force le seul des 4 capitaine de Kanoé que Zarathos respecter au point de voir limite un ami en lui
"Tarod enchanter bon je crois que la situation est un peu tendu alors je propose que je termine un peu ce que j'ai commencé et je te laisse la place après... soyons adulte et respectueux on est en territoire neutre alors évitons les confrontations "

Zarathos savait que si il se battait contre Tarod les civils allaient en pâtir mais il ne voulait surtout pas se battre contre Tarod n'importe qui d'autre mais pas lui enfin la situation semblait se calmer et tout aller s’arrangeait quand une flèche arriva sur une démonette
et une sur un garde de Kanoé * quesque?? qui???? qui a fait sa ??? * les yeux de zarathos se posèrent sur la jeune démonette qui tomba au sol raide laissant un silence régnait deux petites secondes

Zarathos eu a peine le temps de réagir il savait ce qui allait ce passait pour avoir dejas fait ce genre de coup, tout le monde se jeta sur celui d'en face l'insultant et le frappant à mort et en effet déjà les démonette c'était jeté sur les gardes de Kanoé à la vue de leur sœur tué et pareille pour les hommes de Kanoé

"non!! ne " mais avant que Zarathos eu terminer une flèche qu'il esquiva le fit tomber de Nécros et la bataille était lancer le démon regarda Cid
"essaie de pas crever je doit voir quelque chose"
Zarathos fonça dans le tas il ne chercha pas à savoir qui du civil ou du soldat était en face de lui. deux morts de chaque coter venait d'apparaitre créant un combat à mort et sa il ne pouvait le pardonner et il voulait savoir qui avait fait sa, il espérer que ce soit pas un de ses hommes mais ne savait pas car aucune aura meurtrière avait était ressenti
*merde quelqu'un nous a envoyer eux comme nous ici pour nous entretuer et comme des crétins sans cervelle personne n'a essayer de réfléchir à savoir qui à tir é protégeant le ou les tireurs il faut que...*


Zarathos s’arrêta face alors à Raphaël qui semblait énerver et voulait a coup sur la peau de Zarathos
"j'ai pas de temps à te consacrer gamin tu m'excuse mais la je doit allez voir ailleurs "

Zarathos essaya d'avancer mais un coup d'épée failli le trancher
" mais tes boucher ou quoi okay si tu veux vraiment faire un combat à mort pas de souci mais tu affrontes le mauvais adversaire si je trouve pas qui à tirer à cause de toi je te promet que l'enfer sera un paradis à coter des souffrances que je t'infligerai personnellement"
Kienzan apparu alors au coter de son seigneur et le démon sorti son katana
« une leçon sur l'art des lames sa t’intéresse ?? »

Je ne la sentais pas du tout cette journée. Le grand guerrier passa outre ma dague et reparti dans une bataille verbale avec Zarathos. Plantée sur place, je trouvais qu'on ne faisait pas vraiment attention à moi et ça me gavait. Mince j'avais pourtant parlé clairement. J'entendis quand même le démon renégat me répondre avec son ironie habituelle :

"Enchanter mais dit moi je rêve ou tu a pris du plomb dans la tête et à décidé d'être sage "

"Ya que les imbécile qui change pas..., lui répondis-je tout bas. Bon vous avez compris ce que j'...?"

"Mêle-toi de ce qui te regardes veux-tu ? Tes affairespersonnelles sont déjà assez malsaines comme cela pour que tu tepermettes de salir celles des autres.".

Tarod venait d'arriver. Il n'avait pas digérer ma dernière visite au château de son maître... Ayant été contrainte aux travaux d'intérêt général, j'y était quand même resté deux bon mois. J'avais ensuite réussi à négocier la liberté avec le prince Kanoë, promettant de faire des efforts et en disant que son capitaine serait plus concentré sur son rôle au sein de son armée s'il n'était plus amené à me croiser dans les couloirs. Les paroles que nous échangions étaient alors très froide quand il y en avait et dans les deux sens. Je n'avais pas supporté la façon dont il m'avait jugé ; il avait même était prêt à me voir souffrir sous des coups de fouet... Jamais je ne lui pardonnerait. J'étais parti sans lui dire au revoir... J'avais la certitude de le détester mais en même temps, j'étais consciente à présent que je portais son enfant et cela était très difficile à vivre. Comment lui dire ça ? Devrais-je garder cet enfant ? Mais je ne me laissai ni déstabiliser ni perdre le contrôle de moi-même. Avec calme et assurance je lui répondis cachant mon trouble lié à ma grossesse ; après tout j'avais de quoi ne pas être très à l'aise, en quelques moi j'avais pris des rondeurs qui pouvait encore passer pour une suralimentation :

"En voilà une façon de parler aux dames. Sache que mes affaires malsaine sont jetée aux oubliettes et que je prend un nouveau départ. Mais ce n'est ni le lieux ni l'endroit pour en parler. Quand tout le monde ce sera calmé, on pourr..."

Plein de choses se produisirent mes bousculée par des villageois effrayés, je ne vis pas tout de suite. En me redressant, je compris à peu près qu'une des démonette de Zara avait été tuer par une flèche ; perdu ou était-elle destinée à la tuer ? Cela entraina le démon dans une fureur noir et il se lança dans un combat contre Raphaël qui le provoquait froidement.

"Mais c'est pas vrai ! D'où vient cette flèche ? MAis... Mais arrêtez !"

Un mélange de panique et de folie meurtrière envahissait la place. Je distinguais alors un homme qui semblait provenir de la garde de Kanoë qui s'éclipsait derrière ses compagnons. Je bondit dans sa direction jusqu'à lui atterrir dessus. La je le plaquais au sol en arrachant l'arc avec lequel il avait tiré, des mains et lui cria :

"Mais t'es pas bien ou t'écoute rien imbécile ! J'ai dis que nous ne voulions pas de baston ! Pourquoi avoir tiré sur cette démonette ? Tu veux t'attirer la colère de son maître ? Tu sais ce que sais de se frotter à Zarathos ? Je peux te promettre une mort lente et douloureuse enfoiré".

Je lui décochais un point dans le visage toujours hors de moi :

"Et ça c'est pour avoir volé une vie sans raison. Tu mériterais que je vole la tienne mais je préfère laisser Zarathos se charger de ton cas. En attendant... fais dodo".

Utilisant mon propre arc, je l'assommais avec et le jeta un peu plus loin, sous les regards des autres guerriers de Kanoë.

"Quoi, vous voulez subir le même sort bande de brutes ?"

Ils se rapprochais dangereusement de moi armé et des regards plein de haine. J'arrêtais pas d'en voir de ça...

"Dégagez où je serais obligé d'en tuer pour l'exemple. Je... oh et puis vous l'avez cherché".

Je décochais trois flèche et trois des hommes tombèrent raide mort, du sang suintant du trou dans leur tête. Je m'attendais à ce que leur capitaine les disperse mais tanpis, je n'allais pas attendre que ces hommes me taille en pièce. Et puis j'avais une mission, une vrai et qui n'était pas misérable pour une fois. Dégainant une autre flèche je continuais :

"C'est pour qui la prochaine ?"

Je me lançais dans me combat contre certain d'entre eux, en fureur contre moi pour avoir liquidé les leurs. Voyant un peu plus loin la renarde blanche, je dis à deux d'entre eux dans le feu de l'action :

"Oh regardez un renard argenté !"

Ces idiot tournèrent brièvement la tête ; je les égorgeai d'un seul coup de dague, puis continua à virer les autres, me prenant de temps à autre des coups...



[HRP] : j'espère avoir à peu près tout saisi par rapport à ce qu'à écrit Zara :s

[HRP : Fel pas exactement, en fait c'est un tiers qui a tiré et abbattu un garde de chaque coté. Mais c'est pas grave, ça rajoute du piment]

J'entendis Fel qui me répondait, mais ne prit pas la peine de comprendre quoi que ce soit. Jétais prêt à lever le camp et à revenir le jour suivant afin d'éviter un affrontement au coeur de la ville. De plus... je n'avais pas vraiment le coeur à me battre contre un ami. Quelle étrange situation que de considérer son plus grand adversaire comme un homme digne de respect. Quelque part, j'aurais préféré le haïr, mais le destin en avait décidé autrement.

Deux sifflements stridents fusèrent entre nos rangs. Faisant volte face, je vis deux guerriers de talent s'effondrer, raides morts. Un mort de chaque côté, le tireur ne pouvait être qu'un tiers. Je réfléchissai à toute vitesse, mais j'étais apparement le seul.

La situation déjà bancale dégénéra. D'habitude discipliné, mes guerriers se jetèrent sur l'ennemi plus vite qu'ils ne l'avaient jamais fait. Et les guerriers de Fûma le leur rendirent bien. Alors que j'allais sommer Raph de m'aider à rétablir l'ordre, je m'apperçus qu'il était déjà parti livrer son combat... contre Zarathos en personne. Furieux, et même carément hors de moi, j'oubliai toute pitié et toute discrétion. Il fallait limiter les pertes, et le seul moyen d'y parvenir restait de combattre moi même.

Analysant la situation, je décidai d'aller au plus urgent. Si je n'intervenai pas dans les trentes prochaines secondes, j'allais perdre un chef de troupe de renom. Et cela, il en était hors de question.

Raph, à terre, semblait enfin comprendre la bêtise qui l'avait pris. Voyant la mort dans la lame de son ennemi, il ne s'attendait certes pas à ce que j'intervienne in extremis. Pourtant, mes pattes de loup repoussèrent violemment Zara loin de mon subalterne. Surgissant de nulle part, Zara n'avait pu me voir venir.

Le combat aurait pu continuer entre nous deux, mais je ne désirai pas me battre avec le démon. Toujours sous forme lupine, je le fixai intensément.

*Pardonne moi Zarathos, mais je ne pouvais te laisser achever l'un de mes hommes.* résonna ma voix dans son esprit.

Je tournai ensuite les talons, et m'adressai à mon second.

*Raphaël, ceci était ta dernière incartade, lui annonçai-je. Maintenant relève-toi et aide moi à séparer cette bande d'imbéciles.*

Les ordres étant donnés, et à présent que j'étais sûr d'être obéi, je me tournais de nouveau vers le démon.

*La guerre n'a pas encore commencé, mon frère. Aide moi à préserver les innocents de ce massacre.*

Le message était on ne peut plus clair. Ne regardant pas ce que ferait Zarathos, je m'élançai au milieu de la mêlée, assomant plus que tuant, ordonnant à chacun de mes hommes de cesser le combat et de se mettre en lieux sûrs. Je lisai dans leur regard une haine enflammée, et beaucoup d'incompréhension face à mes ordres. Et si certains tentèrent d'y désobéir, je pus compter sur leur peur de mes représailles pour les calmer.

J'avais presque finit de faire entendre raison à tous mes soldats lorsque mon regard fut attiré par le regroupement d'un certain nombre. Plusieurs corps gisaient, non loin, criblés de flèches. Ce n'est qu'en me rapprochant que je compris la situation. Encore elle.

Alors que mes guerriers l'encerclaient, je rompis leur rang et vins me poster au centre, juste en face d'elle. L'arc qu'elle brandissait ne se baissa pas.

*Rejoignez les autres* ordonnai-je à mes soldats *Immédiatement !* Pour ceux qui ignoraient encore que les chemins télépatique peuvent retransmettre chacune des émotions humaines, il serait de bon ton qu'ils observent la surprise et la peur qui s'emparèrent de mes soldats. Jamais un ordre ne pourrait être plus intransigeant.

Mes hommes partis, je fixai Fel de mes yeux d'ambres, et avançai vers elle. Ses deux mains crispées sur son arc ne bougèrent pas lorsque la pointe de la flèche encochée toucha mon front. Elle n'avait qu'à relâcher la corde, et le trait m'achèverait en quelques secondes. Je prenai un risque énorme, mais ainsi elle saurait que je ne lui voulais aucun mal. Je m'étais mis, tout seul, à sa merci. Rien que cela aurait déjà dû tout lui faire comprendre. Néanmoins, je désirai être clair.

*Tu me manques* lui dis-je, toujours par voix télépatique.

Je n'attendis aucune réponse, et, lui tournant le dos, repartis dans la mêlée. Ayant enfin vu tous mes hommes, je constatai que les combats avaient quasiment cessé, pour nous laisser voir un bien triste tableau. Au sol, gisaient soldats, fermiers et marchands, femmes de bien et autres servantes qui avaient eu le malheur de se trouver sur la place. Mais pire que tout, mon regard fut attiré par un petit tas informe étendu sur le bas côté. Un enfant, 8 ans, tout au plus, transpercé par une flèche perdue.

Mutant de nouveau, c'est avec mes bras d'homme que je soulevais le petit. Me dirigeant vers Zarathos, les bras occupés par l'enfant, donc parfaitement inoffensif, je montai de nouveau sur l'estrade de la place, et invitai du regard Zara à m'y rejoindre. Montrant l'enfant à tous, j'annonçai avec force :

- Voilà ce que vos haines ont fait. Voilà ce que votre témérité amène. Ceci ne devait être qu'une journée de recrutement...

Je fis une courte pause, laissant à chacun le loisir de méditer mes paroles.

- Soldats ! Récupérez les morts, et érigez un bûcher comme il est de coutûme ! Ne faîtes pas de différence entre vous et ceux qui sont morts de votre main.

Je m'adressai ensuite à Zarathos.

- Je pense que nos rites sont les votres également. Après cette tuerie, unissons plutot nos forces.

Je laissai ensuite la parole au démon qui, j'en étais presque sûr, approuverait ce que je venais de dire.

« J'irais remercier celui qui a tué ta grognasse plus tard ! Sinistre homme noir, prends garde à toi ! »

Zarathos ferma les yeux et d'une voie qui sentais le calme avant la tempête il dit "tu viens de signer ton arrêt de mort "
le chargeant avec la rage des démons mais la sureté de son expérience Zarathos ne cessât de combattre avec dextérité et habiliter tout en restant calme Raphael était fort mais bien vite il perdit le fil des attaque du démons qui devenait plus rapide plus précise plus mortelle pour finir sur une attaque que Zarathos évita et lui donna une ouverture magnifique

« Merde ! »"Meurt idiot"

Zarathos allait abattre son coup quand il fut lancer plus loin par des pattes de loups les démons se releva un guerrier allait en profiter pour abattre le démon qui bloqua l'arme avec sa main et lança un coup de pied dans le ventre "coucher on en a fini pour l'instant "
*Pardonne moi Zarathos, mais je ne pouvais te laisser achever l'un de mes hommes.*
*je comprends *

Voyant le capitaine que Zarathos considérai comme son égal tournait les talons et surement sermonner par télépathie son second Zarathos reprit son épée et regarda le champ de bataille

*La guerre n'a pas encore commencé, mon frère. Aide moi à préserver les innocents de ce massacre.*


Zarathos prit ses affaires et lança ses flammes dans la foule semant la peur et arrêtant les combat les second et plus loyaux combattant de Zarathos le regardèrent et compris enfin ce qu'il fallait faire aussitôt les troupes du sud se mirent à arrêter leur frère et si il le fallait il blesser leur adversaire mais n'achevait pas d'ailleurs il prenait un malin plaisir à blesser fallait rappeler qu'il était les démons du sud les ombre de fuma le chaos a l'état pure
Zarathos aperçu enfin Tarod revenir il senti de la tristesse en lui et compris *cette féline ce n’est pas faute d'avoir eux envie de l'aider et lui faire comprendre ses tord *
Zarathos alors regarda Tarod avec un enfant dans les 8 ans mort il monta sur l'estrade et y invita le démon remplie de sang qui le suivit avec peine et douleur

- Voilà ce que vos haines ont fait. Voilà ce que votre témérité amène. Ceci ne devait être qu'une journée de recrutement...
- Soldats ! Récupérez les morts, et érigez un bûcher comme il est de coutume ! Ne faîtes pas de différence entre vous et ceux qui sont morts de votre main.
- Je pense que nos rites sont les vôtres également. Après cette tuerie, unissons plutôt nos forces.

Zarathos regarda ses démons "prenait les démons mort et préparez les rites de Mortara pour les autre amener les avec les hommes de Kanoë et pas de question compris "

Zarathos voulait que les démons et leur rite mortuaire particulier a cause de leur importance pour lui les autre guerrier avait les mêmes rites mortuaire que la normal et dans tout les cas une cérémonie particulière pour certain aurait lieux dans le palais de fuma

Zarathos regarda les hommes et femme valide

"Soldat de Kanoë et de Fuma une ombre veut nous monter les uns contre les autres fessons une trêve et trouvons la que nos mort ne sombre pas inutilement nous somme avant tout frère d'arme alors trouvons ces rat avant qu'il disparaisse seul nous somme fort unis nous pouvons être invincible "


Zarathos les regarda ses hommes était déjà près et certain était déjà parti sur les trace de l'assassin dès le début maintenant il fallait les retrouver et Zarathos craignait le pire pour eux


Mini flashback de nécros le cheval
Pendant le combat nécros était resté à l’ écart et avait dédisait de surveiller le combat sans son maitre il ne pourrait pas se mètre en feu et faire de dégât donc il regarda. Quand soudain une petite renarde mignonne comme tout vint le voir et se place sou ses pattes le canasson la regarda puis soudain dit pour briser le silence "et miss tu devrais faire attention ce n'est pas un lieu pour toi ici enfin reste au milieu de moi et tu risqueras rien "
En effet un garde de Kanoë qui avait vu la renarde et la voulais pour diner s'approchât et nécros regarda la renarde "attention près 3 2 1 " et soudain les sabots du cheval remontèrent dans l'entre jambe du garde le fessant volez au loin "non mais "
Le cheval noir regarda la renarde entre ses patte et souri montrant sa dentition blanche et saine "nécros pour vous servir cheval démoniaque du démon Zarathos et étalon de sang royal "

[Mini-FlashBack? XD]

C'était vraiment un sacré bazard! Violine resta un bon moment à regarder le carnage. De toute façon, qu'est ce qu'elle aurait bien pu faire, à part mordre les mollets des imprudents et recouvrir de savon le terrain? C'est là qu'elle se rendait compte qu'elle n'était vraiment pas faite pour le combat. Et elle en était bien contente. Non mais regardez-moi tout ce sang, et ces corps, et ces villageois innoncents plus morts que vifs! Et ça se disait guerrier, chevalier ou autre choses de ce genre? Des assassins oui! Mais bon, il n'était pas tous comme ça! D'ailleurs, le bazard cessa soudainement. Tarod portait dans ces bras un enfant transpercé d'une flèche, et dit quelques mots plein de bon sens à cette bande d'imbécile. Et puis là, c'était comme le calme après la tempête. De chaque côté, les soldats ramassaient les morts et aidaient les blessés. Violine se coucha et mit sa tête entre ses pattes. Voilà, c'est comme ça que devait tourner le monde, en s'entraidant. Ils étaient tous mignons tout plein à aider le premier venu, même s'il était de l'autre camp. D'ailleurs, l'attitude des soldats de Fûma fit apparaitre une ampoule brillante dans la tête de la jeune renarde. C'est qu'il ne devait pas être si méchant que ça ce prince, non? Faudrait absolument qu'elle aille faire un petit tour pour lui dire coucou, enfin, là, c'était pas le moment, et Violine se voyait mal s'incruster dans le château d'un prince. Enfin si justement, elle s'y voyait très bien, mais l'accueil risquerait d'être moins amical, enfin bref! C'est hors-sujet! Donc, se sentant parfaitement inutile à ce moment précis, elle se dit qu'aller aider tout ce petit monde serait une bonne idée. Au moment où elle allait détaler, une voix la retint.

" Et miss tu devrais faire attention ce n'est pas un lieu pour toi ici enfin reste au milieu de moi et tu risqueras rien "

Et après un "Paf" placé :

" Nécros pour vous servir cheval démoniaque du démon Zarathos et étalon de sang royal "

Mais c'est qu'il était mignon tout plein ce cheval! Et super sympa en plus! Pour montrer son contentement, Violine tournicota autour des pattes de son nouvel ami, le frôlant avec sa queue blanche. Et puis son idée première revint, aider les gens. Elle se planta devant Nécros et pencha la tête sur le côté.

"Coucou Nécros, moi c'est Violine. Et si on allait aider les gens?"

Sans attendre, la renarde détala et repéra très vite un soldat blessé qui luttait pour ne pas sombrer dans l'inconscience. Violine s'approcha et lui lécha le visage pour le garder éveiller. C'était tout à fait hors de question de reprendre forme humain, oh ça non! Alors elle faisait avec les moyens du bord, jappant et mordillant pour tenir le soldat en éveil, et au passage attirer du monde. Fallait pas le laisser mourir ce pauvre gars.