Une cérémonie bien spéciale [PV (Tarod, Fel, Kanoë)=prio et tous ceux qui le veulent]

J'ouvris les yeux sur un plafond étranger. Encore mal éveillé, je mis quelques instants à me remémorer où j'étais, et pourquoi j'y étais. Les souvenirs me revinrent un à un. J'avais laissé mes appartements à Fel... j'étais présentement dans l'une des suites inoccupées du chateau... J'allais me marier d'ici quelques heures.

Cette dernière pensée me retourna l'estomac. J'avais changé de chambre car selon les traditions le mari ne doit pas voir sa femme avant la cérémonie. J'allais me marier...

Un sourire étira mes lèvres. Moi qui avait toujours chéri ma liberté plus que tout, j'avais commencé par prêter serment à l'un des deux Princes du royaume, et voilà que je m'enchainai à une femme par des liens sacrés et indestructibles. Non, je ne m'enchainai pas à une femme. Je disai oui à la plus merveilleuse d'entre elles. Je m'unissai officiellement à la mère de mon petit garçon.

La tête toujours embrumée, je me levai péniblement et allai enfiler les premiers vêtements qui me tombèrent sous la main. J'avais encore quelques heures devant moi, alors inutile de stresser. Me réveillant une fois pour toute en me passant de l'eau fraiche sur le visage, je descendis les escaliers vers la salle commune, et m'assis à table, espérant pouvoir avaler quelque chose. Plusieurs de mes amis, soldats ou non, vinrent successivement s'asseoir à mes côtés, me félicitant et m'obligeant à manger quelque peu. J'appréciai vraiment leur amitié, et je passai ainsi une bonne heure en leur compagnie, insouciant, et comme sur un nuage.

Puis chacun dut reprendre ses activités. Etant libéré pour ce jour - fort heureusement - je me dirigeai vers les appartements de mon suppérieur et ami : le Prince Kanoë. Toquant à la porte de son bureau, je me heurtais à une porte close. Croisant un serviteur dans le couloir, celui-ci m'indiqua qu'il ignorait où se trouvait le Prince. Déçu, et sentant l'angoisse monter en moi, je retournai donc vers mes quartiers provisoires.

Un domestique m'y attendait, droit comme un piquet. Il executa une courte révérence lorsque j'entrai dans la pièce :

- Messir, le Prince Kanoë m'envoie pour vous venir en aide.

J'acquiesçai, appréciant le geste de mon ami.

- Et il me fait vous dire de jeter un oeil à ceci, ajouta-t-il, presque excité, en me montrant un colis posé sur le lit.

M'approchant d'un air interrogateur, j'ouvris le paquet imposant, et ouvris grand les yeux. J'avais sous mes yeux une tenue de cérémonie complète, frappée des armoiries du château, mais surtout digne des plus grands personnages. Aucune note n'accompagnait le présent, mais je n'avais aucun doute quant au destinataire.

Un à un, je sortai les vêtements et les pièces de l'armure flambant neuve que j'allai devoir porter. Je n'ignorai pas qu'un soldat, surtout hautement gradé, se devait de porter une telle tenue lors de chaque cérémonie, mais jamais je n'aurais pensé qu'un tel cadeau vint remplacer ma vieille armure. Excité comme un gosse, j'enfilai le tout sans précipitation, avec l'aide précieuse du domestique. Quand au bout d'une bonne demi-heure, la dernière pièce fut ajustée, je m'autorisai enfin à me regarder dans le miroir le plus proche.

Et ce que j'y vis me coupa le souffle. Alors que généralement, je pouvais me fondre dans la masse de mes soldats sans que l'on ne devine mon rang, j'avais à présent l'allure d'un Capitaine digne de ce nom. Mon armure d'apparat, d'une couleur argenté et relevée de quelques fils rouges, couleur du Prince, étincellait grâce aux quelques rayons de soleil qui passaient par la fenêtre. Mon épée, toujours la même, pendait fièrement à son fourreau flambant neuf. Mieux encore, la cape pourpre dont les écussons étaient frappés du symbole de Kanoë était de plus bel effet. L'armure était simple, légère, parfaite pour ce jour, mais aussi certainement pour les combats à venir.

- Si Messir est satisfait, m'annonça le domestique, Messir voudra certainement rejoindre la cour. Il va être temps.

De nouveau, une boule de stress se forma dans mon estomac. Mais cette fois, elle ne m'ota pas mon sourire. Ayant déjà déposé les deux alliances chez Kanoë, je n'avais plus qu'à descendre dans la cour, et attendre...

Me retenant à grand peine de ne pas dévaler les escaliers, j'adoptai un pas cérémonieux de circonstance, mais marquai une pause de surprise à la vue de la foule qui s'était réunie dans la cour du chateau. Fantastiqua tout entiere semblait s'être donnée rendez-vous ici. Au son des trompettes que j'entendis à peine, je traversai la foule pour monter sur l'estrade où on cher Prince et ami m'attendait déjà. Le gratifiant d'un grand sourire, je lui tendis la main, et lui dis assez bas pour que seul lui m'entende :

- Mon cher ami, seules les convenances me retiennent de ne pas t'embrasser comme un frère.

Puis, mon regard se posa sur une petite boule de poil qui fonçait droit sur moi. Accueillant mon fils dans mes bras, je le vis portant fièrement les deux alliances, dans son costume de petit homme.

- Tu as vu papa ? Moi aussi je suis beau ! m'annonça-t-il fièrement.

Je me relevai en ébouriffant ses cheveux déjà indisciplinés, et l'enjoignit de retourner s'asseoir derrière le Prince. De nouveau, les trompettes retentirent. Me retournant avec un grand sourire, j'échangeai un regard complice avec Kanoë, avant de découvrir la plus belle merveille de ce monde...

Une importante cérémonie allait avoir lieu au château. Cela faisait maintenant plusieurs jours que tous s’afféraient dans les préparatifs de cet événement. De quoi s’agissait-il ? D’un mariage. Un mariage pas des moindres, il était question de l’union du Capitaine Tarod à la jeune Felyndiira. Kanoë tenait à ce que ce mariage soit une réussite et se déroule sans anicroches. Il voulait rendre ce moment inoubliable pour ses amis. Il est vrai que le prince avait été très présent dans l’histoire de ce couple. Dès le début il avait senti que cet amour était vrai et profond. Malgré tout les événements perturbateur, il n’avait cessé d’exister. Le prince avait agit subtilement depuis sa rencontre avec le prince avec que ces deux êtres ne se séparent pas de façon définitive. Il avait semblait-il réussi. La jeune féline était revenu au château après en être partie, accompagnée d’un jeune enfant. Lorsque les heureux parents lui avaient présenté leur fils, Kanoë fut touché même si cela ne fut pas perceptible sur son visage. La date du mariage fut posée et les préparatifs commencèrent…

Le jour J était là. Le moment où son ami Tarod unirait sa vie à sa douce compagne Felyndiira ne tarderait plus. Kanoë fit amener un paquet à la chambre du futur marié. Dedans se trouvait sa tenue de cérémonie. Kanoë l’avait faite faire spécialement pour l’occasion dans le plus grand secret. Il espérait que cela plairait à son ami. C’était son cadeau plus personnel en plus de la cérémonie qui se tiendrait dans la cour du château… Pour l’occasion, le prince revêtit également de beaux habits. Il fit quérir le jeune Leefean. Il avait également une tenue pour lui et il souhaitait lui confier une mission de la plus haute importance. C’est-ce jeune garçon que Kanoë estima le plus digne d’apporter les alliances à ses parents. Lorsque tout fut convenu, Kanoë se rendit dans la cour de sa forteresse où tout était magnifique. Il félicita les servantes et serviteurs qui avaient fait tout leur possible pour que tout soit prêt à temps. Ils s’inclinèrent respectueusement suites aux remerciements de leur prince…

Kanoë monta sur l’estrade centrale en attendant que les personnes clés de la cérémonie arrivent. Il n’avait point préparer de discours donc n’avait pas besoin de répéter ses phrases dans sa tête. Non pas qu’il estimait le moment pas digne d’un discours, simplement il ne tenait pas à préparer ses mots. Ses paroles allaient être franches et vraies, pleines de l’émotions du moment, sincères…le discours d’un véritable ami car outre que le prince, Kanoë était surtout leur ami. Les trompettes sonnèrent alors annonçant l’arrivée du Capitaine. Il monta sur l’estrade et chuchota quelques mots au prince. Celui-ci lui répondit de la même manière.

« Je le sais mon ami…Tu es très élégant, cette tenue de sied à ravir… »

Le prince perçu l’arrivée de la mariée. Il se mit alors à sa place sur l’estrade. Les trompettes retentirent à nouveau. La jeune femme était magnifique. Kanoë avait installé des miroirs un peut partout autour de la tour afin que les rayons du soleil l’éclairent à son arrivée. L’effet était réussi. Felyndiira avait l’air d’une déesse. Tout le monde s’était tu comme subjugué par sa beauté…

Le château était en fête, et mon cœur aussi. Le moment tant attendu enfin était arrivée. J'allais me marier. Cet évènement allait changer toute mon existence. Après l'arrivée de mon fils, ma vie avait déjà prit un autre tour mai alors là, c'était encore plus fort. En ce jour béni de notre prince bien aimé, j'allais unir ma vie avec celui que j'aimais plus que tout et pour toujours. J'allais passer d'une existence banale à une véritable aventure, la plus belle de toute ma vie. Une vie seule à une vie à deux, encore mieux à trois. Mon fils couronnait ce bonheur presque trop parfait pour ce que j'aurais pu espérer. Mais il était là, bien réel. Mon adorable enfant était d'ailleurs près de moi à cet instant. Depuis ce matin, il n'avait pas cesser de courir dans tous les sens. Il arborait les belles couleurs de Kanoë ; un petit costume qui lui allait à ravir. Il était trop mignon. Moi j'enfilais enfin ma belle robe. Je m'étais pliée à toute les coutumes et portais une robe de mariée digne de ce nom. Elle n'était pas seulement blanche mais aussi scintillante que la pleine lune quand le ciel est complètement dégagé. Elle était pourtant très simple. Un corset nacré enserrait ma taille, serré avec des cordons argentés, la robe tombait jusqu'au sol, recouvrant mes pattes nue ; les chaussures, je ne m'y faisait vraiment pas même pour une occasion pareil je n'avais pu faire l'effort. Ce n'était pas faute d'avoir essayé toute la semaine de marcher avec ces ravissantes pantoufle de verre que le prince m'avait fait porter en même temps que la robe et les parures. Ses courtisanes avait passé un semaine à concevoir ces merveilles. Les parures en fait se résumaient à un collier de perles fines diamantées. Simple mais telle que je l'avais demandée. Pour finir, un diadème argenté couronnant ma tête, ornant ma chevelure noire soigneusement coiffée par les servantes du prince. Je me mirais dans le miroir, encore et encore, je me trouvais si belle. Belle pour mon mari, belle pour mon fil, pour notre prince, pour le royaume d'Arnor et mes amis du territoire neutre. J'avais presque envie de descendre pour aller les accueillir mais Tarod m'avait fait les recommandations pour cet évènement. Moi qui n'y connaissais rien en mariage, je lui avais fait confiance. Je devait attendre la cérémonie et être la dernière à entrer dans la cours du château. Patience.

"T'es belle maman"

Je pris mon petit dans es bras et l'embrassa tendrement sur sa joue :

"Merci mon ange, tu es très beau toi aussi".

Une servante arriva dans la chambre :

"Dame Felyndiira, le prince Kanoë souhaiterait que votre fils vienne à sa rencontre. Il a une mission pour lui en ce jour bénni de tous".

"Bien merci. Tu la suis Lee ?"

"Oui maman, à tout à l'heure"

"Je t'aime mon coeur"

"Moi aussi"

Il me fit un bisou et partis tout excité avec la jeune servante. Pendant e temps, les autres terminaient de me préparer. Enfin prête, le moment tétait venu. Suivie de courtisanes joliment vêtue, j'empruntais alors le couloir me menant à mon mariage. Quand enfin j'entrais dans la cours, tous les yeux se braquèrent sur moi. Un peu intimidée, je souris timidement. Très impressionnée par la décoration et le monde présent, j'avais comme envie de me cacher dans un petit trou de souris mais au bout, j'aperçus Tarod, magnifiquement vêtu. Le voir ainsi, rayonnant de bonheur me donna le courage qu'il me manquait. Des miroirs sur les murs renvoyaient mon image mais je n'y prêtais pas attention. J'avançais au son de trompette, le regard fixé sur mon amour. Un petit regard à mon fils avant de prendre la main de Tarod. Je murmurais à son attention :

"Quel élégance capitaine"

je regardais alors vite fait aux alentours et notais la présence de certaines connaissance. Rosiel était là, il avait pu venir, j'en étais heureuse. Je reconnu les deux chef de l'agilité Alyannah et la vampire Kairi. Je leur souris brièvement puis reportais mon attention sur la cérémonie.

j'avais sérieusement dû me démener pour arriver a temps a la cérémonie de mariage de ma meilleure amie: j'avais voyagé toute la nuit par nécro gate, fait une pose pour dormir un peu et j'étais reparti a cheval -squelette bien sûr et j'avais fait route toute la journée durant. j'avais passé une tenue appropriée a l'événement a savoir une cape mauve descendant jusqu'au sol, un pentalon de même couleur, une chemise a jabeau blanc et une ceinture argentée. normallement je préférrais des vêtements plus sombres mais aujourd'hui était un grand jour allors j'avais fait un effort pour ne pas me donner une allure déprimante et pour une fois un grand sourire était plaqué sur mon visage.

je venais en fait tout juste de me hisser au premier rang quand la cérémonie commença. sous peu felyndiira allait se marier, je rencontrerais le père de lee après la cérémonie et la fête commencerais ensuite. je m'apprêtais a passer une journée très agréable et je n'aurais raté cela pour rien au monde. adressant un pettit signe de la main a la mariée je me focalisait moi aussi sur la cérémonie

J'avais appris il y a deux jours que Félyndiira allait se marier. Ne sachant pas trop quoi faire de mon temps, j'avais décidé de lui rendre une petite visite.
En arrivant, je ne savais où poser mon regard tant les décorations étaient somptueuses. Cette cours était immense et tellement belle! Tout le monde était élégamment vêtue... je crois que je faisais tâche, je n'avais pas vraiment fait d'efforts vestimentaire et étais venu avec Un short légèrement déchiré bleu sombre et un dos nu de même couleur. Bon, question discrétion, c'était raté!
Il y avait par contre un monde fou et j'avais l'impression d'étouffer mais bon, pour la tigresse, je pouvais bien faire cet effort.
Je reconnu au loin la petite boule de poil grise qui faisait la fierté de sa mère. Trop adorable dans son costume!
Je grimpais dans un arbre pour m'éloigner un peu de la foule et remarqua que l'elfe n'était pas loin. Son caractère de cochon m'avait manqué! Je crois que j'irais l'embêter un peu a la fin de la cérémonie!

Soudain, les trompettes retentirent et Fély fit son apparition au milieu de la foule. Elle était ravissante! Je savais pas qu'elle pouvait être si élégante et surtout qu'elle portait des robes. Je crois qu'elle m'avait remarqué car elle m'avait adressé un sourire rapide avant de continuer sa marche.

Il faisait beau et la journée allait être paisible et calme. Enfin, je pouvais me reposer tranquille! En plus, ici, personne ne viendrais me chercher des noises.

J'étais rentrée au château depuis déjà quelques jours quand j'appris que le capitaine Tarod allait se marier bientôt. On m'avait pas dit grand chose sur la mariée , juste qu'elle était très belle, qu'elle avait travaillée un temps au château, et enfin, les paroles qui me firent penser à une amie qui en effet était belle et charmante, c'est qu'elle était aussi mi-tigre. J'étais tellement heureuse pour eux ! Le princes préparé tout. Ce serait une cérémonie splendide !

Le jour J, j'enfilai une robe d'un bleu sombre, serrée à la taille et décorée de diamants noir, enfila une paire de chaussure de la même couleur et j'accrochai un poignard à ma cuisse droite. Mon bon vieux dicton "mieux vaut prévenir que guérir" m'ayant déjà plusieurs fois sauvée la vie, je l'appliquais tout le temps, même pendant les grandes cérémonie ou on risquait rien. Parano ? peut être. Mais dans mon cas c'est un mal nécessaire. Je me coiffa. Mes cheveux bouclés descendaient en cascade sur mes épaules. Ceci fait, je descendis dans la cour ou devait se dérouler la cérémonie.

La cour devait être magnifiquement décoré depuis le temps que les servante travaillaient dessus. J'étais un peu déçus de ne pas pouvoir la voir. Le prince attendait. Mon regard parcourra les invités et y aperçus l'aura de Peau blanche. Malgré tout ce que je puis dire, elle m'avait manqué. Mais je ne l'avouerait jamais à voix haute même si ma vie en dépendait. Je m'installa pas trop loin. Saphir n'étant pas là je ne verrais strictement rien, mais pas grave. C'est l'intention qui compte. Bientôt, je sentis l'aura pleine de vie de la marier. Même sans rien voir, je pouvait entendre les exclamations des invités à coté. Elle devait être vraiment magnifique, comme toujours. Je me focalisa sur l'aura du prince et attendis la suite.

Zarathos arriva sur nécros au porte du château tôt dans la journée il avait préparé le coup pour ne pas avoir d'ennuis mais comme toujours Zarathos était doué pour se prendre en pleine tronche les seuls emmerdes qui pourrait il y avoir enfin c'était un peu normal aussi le capitaine le plus connu et dangereux de fuma qui allait au cœur du royaume ennemi , Zarathos se serait mis en blanc avec une cible sur le torse sa revenait au même... sa lui rappelait l'histoire du nain des montagne qui voulait épouser une princesse elfe Sylvine est qui était allait lui demander sa main en plein cœur de la foret le pauvre se dit Zarathos en voyant les gardes de Kanoë le tenir en joue et l'encerclait
*merde quoi même sans une tenue de fuma j'ai le droit a un telle accueille *
*je t’avais dit de pas prendre cette forme humaine **désoler si mon apparence démoniaque et mal vue et si ma véritable apparence humaine et pas des plus appréciable *
*oui enfin te mettre sou la forme la plus connu de Fantastiqua ce n’est pas mieux quasiment personne te connait sous ta forme démoniaque alors que sous cette forme t'es directe reconnaissable *

Zarathos sourit en sortant un fin papier de sa main droite et en levant l'autre
"Je suis ici par l'invitation du capitaine Tarod ce papier le prouve je vous serais donc grès de me laissez passer "
Le sergent prit la feuille la lit c'était l'invitation de Tarod avec son sceau et celui du prince autorisant exceptionnellement la venue du capitaine du sud

"Laissez moi vérifiez "

"Faite sergent puis-je en gage de ma bonne volonté vous donner mon arme "

Zarathos sorti alors son katana unifié
Le sergent le prit et le posa avec respect et douceur sur un tapis et allât vérifier Zarathos pendant ce temps se remémora comment lui avait fini par atterrir ici

Il y avait 1 semaine un émissaire de Tarod arriva dans la demeure de Zarathos avec une lettre toute de feuille d'or et d'argent Zarathos la prit en souriant Kienzan le regarda avec en rigolant
"Ils se rendent enfin à notre pouvoir "
Zarathos éclata de rire
"oh non il m'invite a son mariage youpi comme je suis heureux "
Zarathos regarda sa chaine avec un sourire ironique il détesta les fêtes depuis son exil aucune ne valait celle de Slaanesh mais bon son amis l'invitait et avec plaisir il irait même sis il devait se prendre les garde de Kanoë en pleine poire

bref il avais prévu son voyage , il fit une réunion avec ses plus fidele garde en secret dans sa demeure et leur demanda d’assurer une discrétion sans faille sur sons voyage seul deux personne savait ou allait réellement Zarathos les autres devait juste brouillait les piste en cas de recherche de certain membre de fuma sur e lieux ou se trouvait Zarathos, une fois sa régler Zarathos partit avec nécros et disparu dans la brume de la nuit il changeât son apparence plusieurs fois et les trace de pas de nécros ainsi personne n’avait pu le pister jusqu'au château du prince

Il était habiller dans une tenue noir un kimono de soie fine et légère avec dans le dos le signe du chaos et sur le cœur celui de Slaanesh, puis il portait par dessus son hakama de cérémonie noir tisser par les déesses araignée Loth elle-même
Kienzan quand a elle s’était réduite a une taille toute minime et ressemblait a une chevalière sur son annulaire avec une tète de dragon aux yeux rouge sang
Bref les gardes le sortirent de ses souvenirs quand le sergent revint en tendant l’invitation
« Nous vous tenons a l’œil capitaine Zarathos attention a part sa bonne journée monsieur »

Les garde lui tendirent son katana et Zarathos le remit dans sa
« pas de bêtise avec nous nous vous le laissons vu ce qu’il représente "

Zarathos sourit et remercia intérieurement le roi de lui avoir re graver ses katana pour en faire uni un katana unique
Bref le démon posa nécros dans une cour et dona de l’argent pour que le palefrenier s’occupe de lui comme il fallait puis le démon entra allat la ou se passait la ceremonie provocant un grand froid comme un vivant dans un cimetière
*heureusement qu’il n’y a pas grand monde dans le coin *
*ta gueule Kienzan si te plait *

La chaine sourit *pas ma faute j’ai envie de massacrer tout le monde ici*
Le démons sourit et monta sur un toit à l’abri du regard des autres et avec un sublime vu sur toute la ceremonie
*A voila la marier enfin je commençais à me faire ch…*

*calmos ma belle calmos allez profite *
Zarathos remarqua alors un gamin et senti une forte aura en lui il regarda sa chaine qui était sous sa forme de bague *je rêve ou ce gamin a une aura démoniaque*
Kienzan alors se senti mal a l’aise le fils de la féline
*il va falloir faire quelque chose de lui car j’ai peur que son mauvais coter ne soit trop dangereux même pour nous *
Zarathos massa ses cheveux en queue de cheval et de ses yeux rouge fixa le gamin

Felyndiira arriva magnifique sur l’estrade. Toute la cour s’était tut sans doute éblouit par sa prestance. Les souvenirs de la petite sauvageonne voleuse étaient bien loin à présent. Elle avait su se racheter auprès de tous et tous la considérait comme une femme respectable. Nombreux étaient ceux qui étaient venus au château pour l’occasion. Leurs amis de Nürnen, les soldats de l’armée et même une autre personne assez particulière. J’avais donné mon accord pour cela. La situation était sans doute étonnante mais ce jour était un jour de fête et le bonheur du couple avait effacé les barrières. Le capitaine Zarathos de l’armée de mon cher frère était présent. Il avait fait le déplacement jusqu’ici en tant qu’ami des mariés. Respectant notre pacte en ne tuant personne et en venant sans les armoiries de Fûma mais en tant que Zarathos, il montrait là que la parole d’un démon mise sur papier ne pouvait être brisé. Il était convenu avec Zarathos que nul ne serait informé de sa visite mis à part les gardes qui le feraient entrer tout cela dans le but d’éviter l’affolement du peuple et de pouvoir passer une journée agréable sans accroc…

Je fis signe aux trompettistes qui se mirent à souffler dans leur instrument. C’était le signe que la cérémonie commencerait. Une fois le silence revenu, je m’avançai vers les deux êtres souhaitant unir leur vie tendant ma main ouverte face contre ciel face à chacun d’eux afin qu’ils y déposent la leur. C’est d’une voix claire et forte de façon à être entendu de tous que je pris la parole.

« Bonjour à tous. Je vous remercie d’être si nombreux à avoir répondu à l’invitation. Aujourd’hui est un jour de fête, un jour de pur bonheur que nulle chose ne pourrait gâcher. Le soleil rayonne de mille feux , les nuages se sont fait discret, une légère brise rafraîchie notre air. Nulle ombre au tableau. Nulles ténèbres pour entacher ce jour solennel. Toutes les conditions sont réunies afin de pouvoir célébrer l’union des deux êtres ici présents…
Leurs amis savent combien leur amour est profond et puissant. Ceux qui les connaissent savent qu’ils sont francs dans leurs sentiments. Les autres peuvent le lire dans leur regard. Ils ont choisi ce jour pour unir leur vie à jamais…
Ils se sont cherchés, ils se sont aimés, leur amour a survécu à bien des péripéties et aujourd’hui, le capitaine Tarod et la jeune Felyndiira célèbrent leur mariage. Il m’ont demandé à moi, prince de ces terres de présider la cérémonie. J’ai accepté sans hésiter honoré de la confiance qu’ils m’accordaient. Cependant, ce n’est pas en qualité de prince que je vais les unir, mais en tant qu’ami sincère… »

Je marquai une pause dans mon discours puis regardai les deux futurs mariés dans les yeux, chacun leur tour.

« Tarod, toi qui a choisi d’unir ta vie à la douce Felyndiira, promet-tu de lui faire honneur, de la chérir, de la protéger et de l’aimer tout au long de ta vie ? »

…

« Felyndiira, toi qui a choisit d’unir ta vie au valeureux Tarod, promet-tu de lui faire honneur, de le chérir, de le protéger et de l’aimer tout du long de ta vie ? »

Je marchais depuis des mois. J’arrivais enfin au château du prince Kanoë, un être très sympathique qui m'avait promu chef de troupe de la sagesse quelques temps auparavant.
Lorsque je me présentais aux grandes et somptueuses portes du cet édifice, j’entendais des trompettes qui s’arrêtaient juste après avoir passé les portes. Je levais à peine la tête que mes yeux s’écarquillèrent, une cour immense, décorée et remplie de villageois et de gens de haut rang. Je compris par les paroles prononcées par le prince, que j’apercevais sur une estrade, que c’était un mariage. J’étais intrigué par cette cérémonie car je n’en avais jamais vu auparavant, je n’avais entendue que les paroles et les chants car je n’avais pas le droit d’y assister, à cause de mon enseignement. Je me faufilais dans la cour en faisant attention que personne ne me regarde. Je m’arrêtais sous l’ombre d’un arbre derrière la foule car tout le monde était bien habillé avec leur plus beau habit, moi je n’avais que les vêtements que je portais depuis le début de mon aventure. Je sentais la joie de tous et de toutes mais je ne savais pourquoi.

Bien sûr qu'elle y était.
Et ce malgré le fait qu'elle ne connaissait pas réellement les deux personnes qui unissaient leur vie aujourd'hui...
Elle était heureuse de cet évènement qui, pour une journée, permettait la joie et la bonne humeur.

La jeune femme s'était vêtue comme à son habitude : pantalon, corset et bottes. Elle ne trimballait pas pour une fois tout ses poignards. D'ailleurs, elle se sentait étrangement nue, ainsi sans défense.
Mais bon, c'était une journée de fête !! Pas de quoi dramatiser la chose, n'est-ce pas ?

Alors qu'elle écoutait le discours du prince Kanoë et que la cérémonie commençait, Mellindra scruta les invités. Elle aperçu Zara, son maître.
Elle essaya de croiser son regard, mais n'y parvint pas...
Aussi continua t-elle son inspection.

Là, elle croisa le regard d'un jeune homme aux yeux noirs et aux cheveux en bataille. Il se tenait dans l'ombre d'un grand arbre et semblait un peu perdu par ce qui se passait.

La jeune femme ne s'étant mélangée avec le reste des invités, se déplaça silencieusement vers le gros arbre, en le contournant par l'arrière.
Elle continuait à regarder la cérémonie quand elle murmura :

- C'est un mariage que l'on fête. Là, ils sont censés s'échanger leurs vœux... Ensuite ce sera une fête comme on en a jamais vu à Fantastiqua !

Fel fit une entrée royale dans la foule qui soudainement s'était tue. Elle était tout simplement magnifique. Sobrement, mais pas moins magnifiquement, vêtue, elle ressemblait à une déesse, à une reine, à la femme que j'aimais plus que tout au monde. Arrivant enfin sur l'estrade, elle m'adressa un sourire des plus radieux, que je lui rendis avec joie et sincérité. Nos mains se joignirent naturellement, et je sentis la sienne trembler d'émotion.

Il était inutile de demander le silence, la foule semblait emerveillée devant ce spectacle si peu habituel. Aussi, c'est dans le calme le plus total que le Prince prit la parole :

- Bonjour à tous. Je vous remercie d’être si nombreux à avoir répondu à l’invitation. Aujourd’hui est un jour de fête, un jour de pur bonheur que nulle chose ne pourrait gâcher. Le soleil rayonne de mille feux , les nuages se sont fait discret, une légère brise rafraîchie notre air. Nulle ombre au tableau. Nulles ténèbres pour entacher ce jour solennel. Toutes les conditions sont réunies afin de pouvoir célébrer l’union des deux êtres ici présents…
Leurs amis savent combien leur amour est profond et puissant. Ceux qui les connaissent savent qu’ils sont francs dans leurs sentiments. Les autres peuvent le lire dans leur regard. Ils ont choisi ce jour pour unir leur vie à jamais…
Ils se sont cherchés, ils se sont aimés, leur amour a survécu à bien des péripéties et aujourd’hui, le capitaine Tarod et la jeune Felyndiira célèbrent leur mariage. Il m’ont demandé à moi, prince de ces terres de présider la cérémonie. J’ai accepté sans hésiter honoré de la confiance qu’ils m’accordaient. Cependant, ce n’est pas en qualité de prince que je vais les unir, mais en tant qu’ami sincère

Cela m'étonna mais m'émut à la fois. Kanoë n'avait jamais caché notre profonde amitié, mais jamais non plus il n'avait clamé ouvertement notre affection l'un pour l'autre. C'était un véritable cadeau qu'il me faisait là.

Ses yeux pétillants de joie et de fierté se posèrent sur moi, puis sur Fel. Les hourras qui avaient suivis ce court discours cessèrent aussitôt.

-Tarod, toi qui a choisi d’unir ta vie à la douce Felyndiira, promet-tu de lui faire honneur, de la chérir, de la protéger et de l’aimer tout au long de ta vie ?

Je regardai mon Prince, couvais mon fils du regard alors qu'il s'approchait d'un pas cérémonieux pour me tendre la première alliance. Il était si jeune, et pourtant... on aurait souvent dit un adulte. Mon fils, ma fierté, j'aurais tant donné pour avoir été là dès ses premiers jours...

Chassant bien vite ces pensées plus sombres de mon esprit, je saisis la bague de ma mère, cet anneau à la symbolique si puissante. Prenant délicatement la main de Fel, je regardai ses pupilles félines avec un sourire lumineux.

- Sur ma vie et mon honneur, je le promets, affirmai-je en lui passant la bague au doigt.

Avec un sourire de satisfaction, Kanoë se tourna vers Fel.

- Felyndiira, toi qui a choisit d’unir ta vie au valeureux Tarod, promet-tu de lui faire honneur, de le chérir, de le protéger et de l’aimer tout du long de ta vie ?

Alors que le prince faisait son discours, la pression montait en moi mais une positive. Une émotion forte qui m'enlaçait tout le corps. C'était à la fois opressant et grisant. J'avais hâte que cette parti de cérémonie soit achevée, que je sois enfin Felyndiira Loubatas, femme du capitaine Tarod et jusqu'à ce que la mort nous sépare.

- Felyndiira, toi qui a choisit d’unir ta vie au valeureux Tarod, promet-tu de lui faire honneur, de le chérir, de le protéger et de l’aimer tout du long de ta vie ?

"Je te promet, majesté. oui je le promet, sur ma vie".

Kanoë demanda les alliances, Leefaen nous les apporta, un grand sourire aux lèvres. Je lui caressais la joue, une larme coula sur ma joue ; j'étais vraiment heureuse. Tarod me passa la bague, la fameuse bague qui avait tant voyagé et qui nous avez rapproché. Mission accomplis petite bague. Je lui passais de même l'anneau au doigt et Kanoë nous déclara enfin mari et femme. Il invita mon mari à m'embrasser, ce qu'il fit après avoir plongé ses yeux doré dans mon regard humide. Je lui rendis son baiser avec tendresse en serrant très fort sa main. En me détachant de lui, je lui murmurais doucement :

"Plus jamais je ne veux être loin de toi".

.................

La fête commença enfin. J'étais partis ôter ma robe de marié pour revêtir une robe de soirée pourpre, assez courte et dénudée dans le dos, question de pouvoir danser plus à l'aise ; toujours pieds nus certes mais j'étais tellement bien que certaine convenance n'avaient même plus d'importance. Je voulais vivre ce moment à fond. J'allais enfin pouvoir saluer mes invités. En revenant dans la salle des fêtes, je courais embrasse Rosiel. Je l'embrassais tendrement sur la joue :

"Mon ami je suis si heureuse que tu ai pu venir. Il faut que je te présente à mon ami".

Je l'attirais toute excitée vers Tarod et le présenta :

"Mon amour, voici Lord Rosiel Demaleth, dirigeant de Valhaine en terrain neutre. C'est l'homme qui m'a accueillis et qui m'as sauvé la vie ainsi que celle de Leefaen".

Je zapais le détail que j'avais aussi eu une liaison avec lui, ce n'était pas important et puis de toute façon mon coeur appartenait à Tarod. J'étais si contente qu'il se rencontre. Je les laissais un moment, voyant mon fils qui tirait ma robe :

"Maman, danses avec moi"

"Oui mon chaton. Je vous laisse, à plus tard".

Je déposais un baiser sur les lèvres de Tarod et m'engageais que la piste de danse avec mon enfant. Nous riiâmes ensemble tout en tourbillonnant au son de la musique. Je m'arrêtais un peu pour souffler alors que Lee se mit à courir dans la salle avec ses petits camarades, fils de soldat. et de domestiques. j'en profitais pour allait saluer Kairi Rilma qui lorgnait la fête sans sourire :

"Je suis ravie de te voir Mlle Rima. Tu ne t'amuse pas vraiment hein ? Ce n'est pas ton genre de venir faire la fête avec plein de gens. Mais je te remercie d'être venu pour cet évènement. Tu sais que Lee t'as reconnu ?"

Je lui souris et rajoutant :

"Il m'a dit. t'as vu la fille avec la chauve-souris elle est venue".

Celà m'étonnait qu'il s'en rappelle aussi bien. après tout, Kairi n'avait fait qu'un bref passage au manoir de Rosiel lorsque je l'y avait invitée lors de notre première rencontre. Le contact entre eux avait été très positif ; pas étonnant... Mais il n'avait qu'un an et il s'en rappelait très bien.

J'appelais le second chef de la légion de l'agilité, Alyanah, que j'avais sauvé d'une blessure par flèche, de nous rejoindre. Je la salué également avec des mots plein de reconnaissance :

"Contente de te voir Alyanah. Mais où est donc Saphir ? C'est dommage, tu ne verras rien ce soir..."

Une petite idée me vint.

"Je vais te décrire tout ce que je vois Lya, écoute bien et visualise".

Je lui décrivis alors dans les moindres détails, les décors, comment étais vêtu les invités, ect...

- Felyndiira, toi qui a choisit d’unir ta vie au valeureux Tarod, promet-tu de lui faire honneur, de le chérir, de le protéger et de l’aimer tout du long de ta vie ?

-Je te promet, majesté. oui je le promet, sur ma vie

J'avais eu peur, jusqu'à cet instant. Peur que Fel me fasse faut bon, une ultime fois. Mais le stress, d'un seul coup, s'évapora. Je reçu l'alliance que Fel avait choisi pour moi, anneau que je n'allais jamais plus quitter. Comme il était de coutume pour clore la cérémonie officielle, et lancer réellement les réjouissance, Kanoë nous invita à nous embrasser. Inutile de dire que nous ne nous sommes pas faits prier. Fel était au bord des larmes, tellement l'émotion était intense.

-Plus jamais je ne veux être loin de toi, me murmura-t-elle, et je savais que ses mots étaient sincères.

Kanoë frappa alors dans ses mains, et un orchestre se mit à jouer dans la grande salle. Tous les invités s'y précipitèrent, se ruant sur le buffet ou sur la piste de danse. Felyndiira s'eclipsa pour se changer, mon garçon sauta bien vite de l'estrade pour jouer avec ses amis. En l'espace de quelques secondes, j'étais seul dans la cour avec Kanoë.

- Mon ami, commençai-je, merci encore.

Je le pris alors dans mes bras et l'embrassai comme un frère. J'aurais eu envie de discuter un peu avec lui, mais déjà nos devoirs respectifs nous appelaient. Ce serait pour plus tard.

Descendant à mon tour de l'estrade, je revins à temps dans la grande salle pour voir apparaître la dame du jour dans une nouvelle robe toujours aussi resplendissante. Je m'attendai à ce qu'elle se précipite vers moi mais... elle plongea de l'autre coté de la salle. Elle plongea vers un autre homme, assez grand plutot chétif, le genre de gars à rester enfermé chez lui, la tête dans ses grimoires poussiéreux. Je me raidis sensiblement en voyant ma femme déposer un baiser tendre sur sa joue. Nous venions certes de nous marier - preuve que son coeur battait pour moi, non ? - mais je n'en étais pas moins jaloux des attentions qu'elle pouvait porter à d'autres... chacun ses défauts.

D'autant que je m'inquiétai pour rien. Déjà, elle tirait l'autre par le bras et s'avançait vers moi pour me le présenter.

- Mon amour, voici Lord Rosiel Demaleth, dirigeant de Valhaine en terrain neutre. C'est l'homme qui m'a accueillis et qui m'as sauvé la vie ainsi que celle de Leefaen

J'accueilli Lord Rosiel avec un sourire forcé, et me gardais de lui tendre la main. J'aurais trop été tenté de la broyer. Je ne savais pas pourquoi, mais cet homme m'inspirait soudain un dégout profond. En fait, si, je savais pourquoi. Rosiel avait passé ces deux dernières années à veiller sur un fils dont j'ignorai encore l'existence, et à s'occuper de Felyndiira. Avant de le connaitre, avant de le voir, de réaliser qu'il existait, j'étais plutot reconnaissant envers ce protecteur. Mais maintenant que je le voyais... J'avais comme l'impression qu'il m'avait volé deux années d'existence.

Leefaen arriva alors que le silence commençait à s'installer entre nous, et tendit ses petits bras vers Fel. Ils partirent danser en riant. Sans détacher mon regard des deux êtres qui m'étaient le plus cher, je fis un énorme effort sur moi même pour m'adresser à Rosiel :

- Alors c'est vous qui avez aidé Felyndiira ?

Sur le coup, je n'avais rien de mieux. J'avais autant que possible évité le ton méprisant, mais il était évident que je ne le portai déjà pas dans mon coeur. Au loin, je vis Leefaen disparaitre dans la foule, certainement parti jouer, et Fel discuter avec des invités plus ou moins étranges. Mon regard croisa également celui de Zarathos. J'avais douté qu'il viendrait. Pourtant, il était là, dissimulé, anonyme, mais bien là. Je lui adressai un signe de tête reconnaissant, et un large sourire lui signifiant que s'il le désirait, je ne le retenais pas plus longtemps. Un mariage pour un démon, j'imaginai assez bien le calvaire pour lui demander d'en endurer d'avantage...

Je me tournai ensuite enfin vers Rosiel, essayant de maitriser la jalousie qui me rongeait. Les regrets aussi, et le remord de ne pas avoir été là pour eux. En bref, j'essayai tant bien que mal de refouler toutes les énergies négatives qui n'avaient pas leur place dans une telle conversation...

le mariage venait de se terminer et la musique emplissait l'air ce qui pour un habitué du silence tel que moi était plutôt désagréable sans compter que j'avais peu a faire sinnon discuter avec deux ou trois invités haut placés qui comptaient passer a valhaine. je terminais rapidement ces conversations car je n'avais pas la tête a cela et fût soulagé lorsque ma vieille amie qui était maintenant la femme de tarod vint me tirrer de la pour me le présenter. daprès ce que j'avais pu apprendre il était capitaine et un bon ami de kanoë. j'étais curieux de le rencontrer: après tout fely ne disait que du bien de lui cependant je n'eus pas beaucoup de temps pour y penser car fely vint me voir peu après, déposa un baiser sur ma joue -ce qui sembla grandement déplaire a son mari- et me tira vers lui pour faire les présentation ce de quoi je ne me plaignais pas.

ce...tarod me donnait a première vue l'impression de ne pas vraiment m'apprécier ce que je jugeais plus ou moins normal mais...je préférais essayer de désamorcer la situation: je me doutais qu'il n'étais pas du genre a essayer de s'expliquer avant de dégainer son épée. espérant que tout ceci n'était qu'une erreur a mettre sur le compte de la paranoïa je me laissais trainer sans résister vers le père de lee. a la minute ou je croisais son regard mes certitudes se confirmèrent: je pouvais presque sentir sa colère envers moi dans ce regard qu'il me jetais et inconsciement je déplaçais mon pied droit vers l'arrière pour avoir un meilleur appui et ne pas tomber si il m'attaquais...ça ne se produitait sûrement pas mais un peu de prudence ne m'avais jamais nui...heureusement dans le pire des cas j'avais mon arme mais je n'étais pas sur de pouvoir me mesurer a un soldat entrainé car j'étais un escrimeur assez moyen mais pour l'instant inutile de penser a ça: même lui ne m'attaquerais pas en plein millieux d'une fête. fely interrompit le fil de mes penssées en s'adressant a son mari

- Mon amour, voici Lord Rosiel Demaleth, dirigeant de Valhaine en terrain neutre. C'est l'homme qui m'a accueillis et qui m'as sauvé la vie ainsi que celle de Leefaen

malheureusement pour moi leefaen entraina sa mère sur la piste de dance ce qui normallement m'aurait arraché un sourire mais ici et maintenant ça impliquais que je me retrouvais avec quelqu'un qui semblait rêver de me tordre le cou et en être capable et avec pour seule protection le fait que si il m'attaquais il y aurait des tas de témoins...il m'étais déja arivé de me retrouver dans des situations plus stressantes allors je parvenait a garder mon sang froid mais je redoutais quand même qu'il tente de m'étrangler. il fit un effort manifeste pour bien se comporter et me parla

- Alors c'est vous qui avez aidé Felyndiira ?

je hochais la tête avant de répondre tranquillement. aussi bien essayer de clarifier tout point suspect avant que ça ne dégénère. me rendant compte par les efforts qu'il faisait pour se contrôler qu'il ne voudrait sûrement pas passer une minute de plus que nécéssaire en ma compagnie je me décidais a ne pas l'y forcer en vidant mon sac. le fixant dans les yeux je répondit donc

-en effet...j'aimerais éviter tout malentendu:aujourd'hui est jour de fête, particulièrement pour vous

tarod fit un signe de tête en direction de quelqu'un. suivant son regard j'eus la vague impression de reconnaitre l'homme qui s'en allait comme si le capitaine lui avait donné congé. il reporta ensuite son attention sur moi. pour ma part je m'étais calmé et la tension qui m'habitait avais laissée place a la logique. je fis un pas en avant et décidais de ce que j'allais dire: des mots qui ne me ressemblaient pas beaucoup d'aileur mais je voulais éviter que la colère que me portait tarod prenne des proportion démesurées allors je me décidais a tirer tout cela au clair. sans bouger et toujours sans ciller je répondit

-vous n'aimez probablement pas tourner autour du pot je vais donc faire une entorse a mes habitudes et être direct. je sais ou plutôt je vois malgré vos efforts pour le cacher que vous rêvez surement de m'étrangler ou a tout le moins que vous êtes en colère contre moi et je ne vous en veut pas pour ça puisque vous avez sûrement...ou croyez avoir de bonnes raisons de m'en vouloir. cependant je suis certain que nous pouvont règler...ou au moins clarrifier certains détails ici ne serais-ce que pour que leefaen qui est très intelligent ne s'apperçoive pas que son père et celui qu'il considère comme son oncle sont...fauted'un meilleur therme disons en froid. aussi j'aimerais que vous m'expliquez la raison de votre colère: j'ai ma pettite idée sur le sujet mais comme je peux me tromper je préfère l'entendre par vous

je reculais encore un peu mon pied pour être certain de ne pas tomber si il s'en prenait physiquement a moi: je ne le conaissais pas assez pour pouvoir prévoir ses éventuelles réactions et il était possible que je l'ai fâché en lui disant tout haut ce qu'il pensait tout bas. j'espérais le meilleur et me préparrais au pire car il n'étais pas dans mes habitudes d'être aussi direct mais je tenais a ce qu'a ma sortie de cette fête tarod ait cessé de me regarder avec haine

autant tirer cela au clair tout de suite...pour que je ne sois pas le seul a avoir mon idée sur ce qui se passe dans la tête de l'autre et pour démarrer cette conversation sur un pied d'égalité je vais faire preuve d'une plus grand honnnêteté encore et vous confier ceci:vous vous êtes en colère et moi je crains pour ma vie car je doute de votre capacité a garder votre sang froid durant cette conversation et que nous savons tout deux très bien que si nous croisons le fer je serais vaincu dans la minute sans compter que je n'ai pas ammené le moindre renfort. voila: nous sommes maintenant tout les deux conscients de ce qui se passe réellement ici. je n'ai aucune intention de me faire un ennemi du mari de ma meilleure amie allors autant jouer cartes sur table: je ne mens pas, faites de même !

dis-je toujours avec ma politesse habituelle en fixant mon interlocuteur dans les yeux allors que mes méninges continuaient de tourner. je me montrais très direct mais je savais que tout ça sortirait a un momment ou a un autre

(HRP: je m'arrête la ou je vous pond un roman de la taille d'harry potter tome 5)

[HRP : tkt Rosiel, ça m'arrive aussi =)]

J'aurais presque aimé que ce Lord se montre arrogant, detestable, méprisable... n'importe quoi en fait, qui me donne un motif valable pour le hair à ce point. Mais, à l'évidence, j'allais devoir revoir mon jugement, car c'est d'un ton très calme et trop compréhensif que Rosiel joua cartes sur table :

- vous n'aimez probablement pas tourner autour du pot je vais donc faire une entorse a mes habitudes et être direct. je sais ou plutôt je vois malgré vos efforts pour le cacher que vous rêvez surement de m'étrangler ou a tout le moins que vous êtes en colère contre moi et je ne vous en veut pas pour ça puisque vous avez sûrement...ou croyez avoir de bonnes raisons de m'en vouloir. cependant je suis certain que nous pouvont règler...ou au moins clarrifier certains détails ici ne serais-ce que pour que leefaen qui est très intelligent ne s'apperçoive pas que son père et celui qu'il considère comme son oncle sont...fauted'un meilleur therme disons en froid. aussi j'aimerais que vous m'expliquez la raison de votre colère: j'ai ma pettite idée sur le sujet mais comme je peux me tromper je préfère l'entendre par vous

Malgré ces paroles qui sentaient la confiance et la maîtrise de la situation, je vis le nécromancien reculer d'un pas. Lui faisais-je donc peur ? Il ne tarda pas à me le confirmer à demi-mot. Sans lui accorder un regard, je me surpris à sourire. J'étais décidemment incapable de cacher ma colère. Je pouvais rester impassible dans bien des cas, mais la haine ou la colère, ça, je ne le maitrisais pas.

Une étincelle de raison sembla pointer le bout de son nez. Aujourd'hui était un jour unique. Allais-je donc le gâcher pour une histoire de fierté ? Et Rosiel avait mis le doigt sur un détail plus qu'important... Leefaen. Cette raison seule suffit à me faire ouvrir la bouche, de manière beaucoup plus naturelle cette fois, et en regardant mon interlocuteur droit dans les yeux :

- Vous n'avez pas à me craindre, Lord Rosiel, commençai-je. Même si vous étiez l'homme le plus détestale qui soit - et certes cela n'a pas l'air d'être le cas - j'ai une dette envers vous. Comment pourrais-je décemment tuer l'homme à qui je dois non seulement la vie de ma femme, mais aussi celle de mon fils ?

Inconsciemment - ou pas... - j'avais légèrement appuyé sur les deux derniers pronoms possessifs. Jalousie, quand tu nous tiens...

- Mais vous avez raison, je vous dois quelques explications, continuai-je. Pour faire simple, disons que vous avez tenu un rôle qui aurait - et de loin - dût etre le mien. Vous n'y pouvez certes rien... mais je vous en veux pour ça. Je vous en veux parce que...

Je marquai une courte pause, me rendant compte de ce que j'allais dire. Je venais de mettre le doigt sur la véritable origine de ma colère.

- Je vous en veux car je n'arrive pas à en vouloir à la véritable responsable... murmurai-je, de telle sorte que seul le nécromancien put m'entendre.

Je posai mes yeux sur Fel, qui riait plus loin avec une jeune fille à l'air bien timide. Mon coeur se serra. La confiance perdue est comme un miroir : même si on le répare, il y aura toujours des fêlures dans le reflet… Ces mots de mon Prince me revinrent en mémoire. J'eus un sourire triste. Le miroir avait été brisé déjà plusieurs fois...

Mettant ma main sur l'épaule de Rosiel, oubliant un peu les convenances sur le coup, je posai de nouveau mon regard sur le sien :

- Merci, finis-je par lui dire, réellement sincère. Merci pour tout ce que tu as fait pour eux.

Je m'éloignai ensuite de lui, n'attendant pas sa réponse. J'avais soudainement l'envie et le besoin d'être seul. Profitant d'un air particulièrement rythmé qui occupait tous les convives, je m'eclipsai discrètement par l'une des nombreuses portes de la salle, et montai directement sur les remparts.

La nuit était tombée, et le ciel resplendissait d'étoiles sous le regard attentif de la pleine lune. Quelques soldats montaient la garde, mais les effectifs avaient été particulièrement réduits pour cette soirée. En quelque sorte, tout le monde avait eut quartier libre, et seul les volontaires tenaient les positions.

Mon regard se porta sur la plaine et les villages alentours. Baigné dans le clair de lune, tout était calme et paisible... J'avais du mal à croire que j'étais ici, seul en haut des fortifications, alors qu'en bas, on célébrait mon propre mariage... Mais j'avais grand besoin de réfléchir...

[HRP : j'ai répondu tout de suite, de toute façon les actions sont éclatées à présent, ce n'est donc pas la peine de suivre un ordre précis je pense ^^]

Les voeux de mariage avaient été prononcés par les deux amants. Le regard de Fély était pétillant de bonheur. Son petit Leefaen se pavanait autour de ses parents. Bref, le bonheur parfait... Berk! Je déteste ça! Tout le monde s'amusait et festoyait au son des musiques. Je vis la tigresse danser avec son chaton en riant. Ensuite, elle se dirigea vers moi avec un grand sourire:

"Je suis ravie de te voir Mlle Rima. Tu ne t'amuse pas vraiment hein ? Ce n'est pas ton genre de venir faire la fête avec plein de gens. Mais je te remercie d'être venu pour cet évènement. Tu sais que Lee t'as reconnu ?"Il m'a dit. t'as vu la fille avec la chauve-souris elle est venue".

"Ben je savais pas quoi faire alors je suis venue. Et tu as raison, je n'aime pas les fêtes, il y a trop de monde. Quand à ton chaton, ça m'étonne pas, je l'adore et lui aussi je pense!"

Je regardais furtivement autour de moi les convives qui jouissait des plaisirs du banquet. Il est vrai que son gamin avait un côté qui me plaisais par dessus tout.
j'aperçus soudain ma chère amie oreilles pointues qui était venu voir le spectacle. Enfin, Saphir n'était pas avec elle donc j'en déduisais qu'elle ne voyait pas grand chose. Félyndiira ne tarda pas à l'appeler et elle vint nous rejoindre.

"Contente de te voir Alyanah. Mais où est donc Saphir ? C'est dommage, tu ne verras rien ce soir..."

Et ouai, bien dit la tigrée, je saluais également l'elfe d'un signe de tête:

"Salut oreilles pointues, alors quoi de neuf depuis?"

"Je vais te décrire tout ce que je vois Lya, écoute bien et visualise".

Fély se mit alors à décrire ce qu'on voyait, des immenses colonnes nacrées aux fleurs magnifiques qui ornaient les balcons. Lya devait tout percevoir comme-ci elle regardait de ses propres yeux. La soirée promettait d'être plus sympa que prévue mais je n'avais pas franchement envie de m'éterniser...

Le roi prononça un long et beau discours puis les mariés échangèrent leur vœux.
Que c'est mignon ! M'oui enfin, je n'est jamais étais une grande fan des mariage ... Mais peut importe, j'étais la pour ... Fely. Quand les vœux furent échanger je sentis une énergie très noir. Je me félicita d'avoir gardé un poignard, mais ne chercha pas plus loin. Les mariés descendirent chacun leur tours de la scène pour venir danser et saluer les invités. Quesque j'aimais danser moi aussi quand j'étais petite ! Mais c'était fini tout ça, je ne suis plus une enfant. Je marchais avec l'intention de retourner dans mes appartements quand Fely m'interpella :

- Contente de te voir Alyanah. Mais où est donc Saphir ? C'est dommage, tu ne verras rien ce soir ...

Je m'arrêta et me dirigea vers elle avant que peau blanche me lance, toujours d'une voix dénué de toute émotions :

- Salut oreilles pointues, alors quoi de neuf depuis ?

- Bonjour Fely, Peau blanche, je lui souris en lui rendant son signe de tête, Non Saphir n'aime pas rester au château alors il reste avec sa meute dans la foret. C'est dommage oui mais on s'y fait. Je lui fit un de mes plus beau sourire avant de continuer. J'avoue que je suis surprise de te trouver ici Peau blanche, je ne pensais jamais te voir dans une fêtes !

C'est vrai que quand j'y repensais ce n'était pas du tout son genre, mais bon. Fely décida de tout me décrire ... en détails apparemment, elle me parla de toutes la déco, des habits des gens ... je ne pus m'empêcher de sourire, j'avais oublier à quelle point elle étais gentille et pleine d'attention.

"Ben je savais pas quoi faire alors je suis venue. Et tu as raison, je n'aime pas les fêtes, il y a trop de monde. Quand à ton chaton, ça m'etonne pas, je l'adore et lui aussi je pense!"

Je souris à la vampire. Elle était méchante, voir cruelle et avait un sale caractère mais elle avait un bon fond et c'est cette part d'elle que je voulais exploiter lorsqu'elle était en ma compagnie. Perso, je l'appréciais malgré ces agissements douteux et son goût très prononcé pour le sang.
Après avoir décris toute la scène à Alyanah, je leur souhaitais à toutes les deux :

"Mes amies, je vous prie de m'excuser, j'ai encore du monde à saluer. Je suis ravie de vous avoir revue. Je vois bien qu'autant l'une que l'autre vous souhaitez quitter cette fête alors ne vous en privez pas. Ne vous forcez pas à rester davantage si vous n'avez pas le coeur à la fête, être venue à mon mariage me fait déjà suffisamment plaisir".

Je tournais la tête pour voir qui je pouvais aller remercier de sa présence et c'est là que je remarquais que Rosiel était seul. Tarod n'étant plus en vu, c'est lui que je choisis de rejoindre au plus vite. Je reportais une dernière fois mon regard sur mes deux mystérieuses invitées en disant :

"Saluez vos compagnons animal respectif pour moi. Je vous laisse, tachez de ne pas trop vous disputer".

Je leur lançais un sourire amusé et reparti me perdre à travers le monde qui dansait. Je jetais un regard sur Leefaen. Nos domestiques s'occupaient à le distraire ainsi que ses camarades avec des petits tours de passe-passe. En paix de ce côté là, je passais devant Rosiel et lui demandais :

"Tout va bien mon ami ? Tu m'a l'air soucieux".

Evidemment moi je n'avais pas du tout remarqué le malaise entre les deux hommes et s'est assez naïvement que je questionnais de nouveau Rosiel :

"Comment ça s'est passé avec Tarod ? Hum tu sais où il est parti ?

Je le cherchais un peu du regard tout en écoutant Rosiel. Puis alors qu'il m'indiqua la sortie, je le remerciais et quittais à mon tour la salle de bal. J'étais un peu soucieuse après avoir entendu ce que Rosiel m'avait dit mais j'étais prête à corriger ce malaise. Comment n'y avais-je pas pensé plus tôt ban sang. Tarod devait se sentir mal de se retrouver en présence d'un homme qui a jouer son rôle auprès de moi et de mon fils. Je n'aurais pas du les présenter l'un à l'autre. Guidée par son parfum, je le retrouvais en haut des fortifications. Il ne m'entendis même pas arrivé tant il semblait absorbé par la contemplation du ciel étoilé. Je vins tendrement derrière lui et enserrais sa taille de mes bras nus en murmurant :

"Pardonnes-moi mon amour, je n'ai pas réfléchis à ce que tu allais ressentir face à Rosiel. Il m'a confié le malaise qu'il y a eu entre vous, j'en suis navré".

Je me détachais de lui et le fis faire demi tour pour avoir son regard face à moi et rajoutais :

"Je comprends de que tu éprouves Tarod mais dis-toi que c'est de ma faute si tu n'as pu être là pour Lee. Je ne saurais jamais comment me faire pardonner ma trahison et cette double absence que je t'ai imposé pendant plus de deux ans mais je vais tout faire pour que notre avenir soit le meilleur possible".

Je l'embrassais et en le serrant dans mes bras, je lui rappelais, que je l'aimais plus que tout homme sur terre.

Je n'entendis pas Fel approcher, aussi je fus un peu surpris de sentir ses bras me serrer contre elle lorsqu'elle m'eut rejoint.

- Pardonnes-moi mon amour, je n'ai pas réfléchis à ce que tu allais ressentir face à Rosiel. Il m'a confié le malaise qu'il y a eu entre vous, j'en suis navré.

Elle me tourna face à elle, et je ne pus que contempler son allure magnifique. Comme hypnotisé par ses pupilles dorées, j'en oubliai presque la raison de ma présence ici.

-Je comprends de que tu éprouves Tarod mais dis-toi que c'est de ma faute si tu n'as pu être là pour Lee. Je ne saurais jamais comment me faire pardonner ma trahison et cette double absence que je t'ai imposé pendant plus de deux ans mais je vais tout faire pour que notre avenir soit le meilleur possible.

Oui oui, nous venions tout juste de nous marier. Affirmatif... Nous avions encore un long chemin à parcourir ensemble... Fel m'embrassa avec affection, et m'invita à redescender pour rejoindre nos invités. Les explications seraient pour plus tard...

Une vague d'applaudissement nous accueillit alors que nous passions la porte dans l'autre sens, main dans la main. Immédiatement, l'orchestre se mit à jouer une musique douce et envoutante. Souriant à Fel, j'exécutai une révérence dans les règles et l'invitai à danser. Inutile de préciser que venant de ma part, c'était l'un des plus beaux cadeaux que je pouvais lui faire... Danser, je vous jure !

Pourtant c'est bien moi qui pris la main de ma femme et qui l'entrainai sur la piste, au milieu des convives qui formaient un cercle autour de nous. Au rythme de la musique, je la faisais tourner, voler... Tous les regards étaient braqués sur nous, mais moi je ne voyais qu'elle. La musique s'arrêta finalement, et je ne sus résister au plaisir de l'embrasser. Une fois encore, les bravos rententirent bruyamment. C'est néanmoins ce moment là que je choisis pour l'entrainer vers le fond de la salle, sur un banc, un peu à l'écart. C'est aussi à ce moment là que le Prince Kanoë choisit pour nous rejoindre...

Zarathos une foi la cérémonie éclata de rire dans son coin et alla directement ver le bar
Arrivait au bar le démon regarda Kienzan a son doigt et dit
« Alors souhaiter vous m’épouser ? » la bague répondit avec une voie fausser « oh oui bien sur mon maitre » Zarathos éclata devant le serveur « un cercueil de vodka chouchen hydromel et sang »

L'homme le regarda effrayer « écoute humain le sang tu en as car j’ai vu la gamine vampire là-bas et sa m’étonnerai quelle tourne a l’eau c’est plutôt du 15 litre au sang quelle fait la drôlesse »

Puis ses yeux changèrent et devinrent remplis de feu « et si tu ne veux pas que je dévoile a ta femme tes sauterie avec la nounou de la petite fanny je te conseille de faire mon cercueil fissa humain »

Tout de suite l’homme s’exécuta et Zarathos Fu servit puis il reprit position en hauteur afin de voir la fête
« Lord Rosiel tss gâcheur de travail Kanoë dans son costar avec notre petit tarodounet j’adore la bague tien elle me rappelle des souvenir » zarathos continue de tout voir et d’apprécier de faire la commère
Soudain il décida de changer sa tenue et sa forme pour plus décontracter l’alcool l’avait un peu fait se lâcher

Le feu l’entoura et disparu laissant place a un homme tout de cuir avec une longue veste tombant au sol ses yeux rouge montrait la peur et ses long cheveux noir inspirait les ténèbres
Kienzan elle était autour de lui elle avait repris sa forme de serpent de chaine puis se retransforma en bague pour mieux aprécier la suite de la fete
« Bien allons dans la foule et aspirons à nous faire connaitre »

Zarathos évita son apprenti qui avait choisi Kanoë sans même lui en parler et alla directement voir deux personnes qu’il avait repérer depuis le début
Il regarda Felyndiira les quittait et bouscula gentiment la marie pour lui glisser une petite fleur de lotus noir le démon ne s'arrêta pas elle sen n’apercevra pas tout de suite quelle venait de recevoir un cadeau du démon très personnelle celui des fleurs des enfers qui apporte la vérité des cœurs a ceux qui les porte et peuvent soigner bien des douleurs

Bref zarathos arriva à coter de ce qui était une elfe noir et d’une petite vampire que zarathos avait croisait il y a fort longtemps lors des guerres ancienne
« Miss Kaïri Rima content de voir que vous ete toujours intacte »Le démons regarda la je vampire puis il se tourna ver la jeune elfe et submerger par sa beauté et oui zarathos avait un faible pour les race noir et sombre mais de toute c’était les elfe noir qu’il aimait leur froideur leur douceur leur force d’âme leur sadisme leur critique les elfe noir était fascinant diriger par les femmes et plus mortelle que n’importe qu’elle autre elfe mais la zarathos remarqua une femme magnifique et qui le rendait blanc comme neige
Il regarda ses yeux pour la connaitre et soudain compris ce qui l’attirait

*aveugle et merde je comprends pourquoi je ne pouvais la voir comme les autre les aveugle son les seul être pure qui peuvent voir les être dans leur âmes et non leur corps *

Zarathos sourit au fille et se présenta « za…. Zarathos Hellfire pour vous servir »

Felyndiira prononça ses vœux. Les alliances furent échangés ainsi que le baiser scellant le pacte que nos deux amoureux venaient de passer. Pour clore la cérémonie et signifier l’ouverture de la fête, le prince fit un signe de tête discret à Gaëa, la jeune femme papillon qui avait pris Felyndiira sous son aile lors de son arrivée au château. Tout comme convenu, la jeune femme usa de ses dons pour donner le signal aux nombreux papillons rassemblés pour l’occasion de s’envoler. Cet envol multicolore fait de centaines d’ailes de papillon était splendide. Suite à cela, les trompettes retentirent. La cérémonie laissa place à la fête, la musique, les danses, les rires… Le prince disparut laissant les deux maîtres de cérémonie présider la soirée. Il se mêla à la foule et salua quelques connaissances.

Alors que la fête battait son plein, il ressentit une sorte de malaise. Tarod son grand ami semblait préoccupé, des sentiments négatifs se mêlaient dans son esprit. Ils disparurent cependant très vite lorsque sa bien-aimée alla le rejoindre. Ils ouvrèrent alors le bal. Décidément, ce couple était magnifique. Le soleil déclinant, ce dégradé orangé violacé ne faisait que les sublimer. Bientôt il ferait nuit noire. Les flambeaux commençaient d’ailleurs à être enflammés par les domestiques. Pour la piste de danse, le prince avait prévu une tout autre ambiance. Ce soir serait la pleine lune. Kanoë avait pris soin de faire disposer des pierres de lune tout autour de la piste. Lorsque la lune prendrait place haut dans le ciel, une magnifique lumière blanche lunaire inonderait les lieux…

Repérant le couple, le prince vola vers eux. Il se posa délicatement à leurs côté et s’installa à leur banc. Il regarda la cour de la forteresse puis les jeunes mariés.

« La cérémonie vous plait-elle ? Je sais que vous vouliez un mariage simple au début, mais je n’ai pas pu m’en empêcher. Je voulais vous offrir une fête digne de votre grandeur d’âme. Je tenais à vous faire ce cadeau tout particulièrement »

Le prince aperçut alors le petit louveteau gambadant avec ses amis tout aussi énergiques que lui. Je souris alors.

« Leef a l’air de bien s’amuser, ces enfants sont inépuisables. Ca fait plaisir à voir… »

Tarod et moi étions redescendu. La pister de danse nous apelait et c'est avec ravissement que je laissais mon amoureux me faire virevolter sous la lueur de la lune. Quelle beauté...la lune bien sur, quoi que je notais que j'étais la cible de bien des regard. Pour une fois ce n'était ni des regard de haine ou de mépris mais bien de l'admiration. je n'osais les regarder davantage tant cela me gênait. Je préférais garder mes yeux posé sur Tarod dont la joie illuminait maintenant son visage? Il n'y aurait rien à redire là-dessus. Lui et moi, nous étions heureux. Lorsque la musique cessa pour laisser place à un autre morceau, il m'embrassa puis me mena un peu plus loin, sur un banc. Nous nous y installâmes et alors que je songeais à dire à Tarod qu'il me fallait trouver le prince pour lui parler, ce dernier vola jusqu'à nous et vint nous honorer de sa présence.

« La cérémonie vous plait-elle ? Je sais que vous vouliez un mariage simple au début, mais je n’ai pas pu m’en empêcher. Je voulais vous offrir une fête digne de votre grandeur d’âme. Je tenais à vous faire ce cadeau tout particulièrement »

"Tout est parfait votre altesse. Je ne vous en remercierais jamais assez pour tut ce que vous avez fait pour nous".

Il souris et regarda mon fils et ses camarades qui courraient pas très loin de nous, slalomant entre les danseur et se cachant derrière les robes des femmes.

« Leef a l’air de bien s’amuser, ces enfants sont inépuisables. Ca fait plaisir à voir… »

Je souris faiblement. Oui Lee s'amusait et j'étais très contente de voir autant de joie dans ce petit être. Mais pourquoi à chaque fois que quelqu'un me parlait de lui il fallait que je pense de suite à sa face cachée que j’appréhendais de voir surgir à n'importe quel moment. Je savais que le prince pouvait lire mes pensées et je ne cherchais pas à les cacher. Lui aussi devait être au courant de ce qui arrivait à Lee et devait comprendre mon inquiétude. Lui serait en mesure d'empêcher un drame si sa mauvaise personnalité faisait surface. Je me mit alors à retracer la conversation que j'avais eu avec le vieil ermite qui m'avait appris le futur de Leefaen. Je n'omis aucun détail tout en fixant le prince dans les yeux de manière à ce qu'il ne rate rien de l'histoire. En pensant aux totems, je les cherchais des yeux. Ce qui me soulagea, c'était que Mélaïna, jouait avec les enfant, courant dans tous les sens, comme une chienne joueuse et le plus rassurant, Manoir, couché sur une tribune, semblait comater, le regard rouge pâle et serein. Tout semblait pour le mieux. Lee resterait Lee ce soir. C'est alors que je songeais à ce pourquoi je voulais voir le prince. Je m'adressais alors à lui ainsi qu'à mon mari à qui j'avais caché une décision prise dans la matinée. Je ne l'avais pas mit au courrant n'étant pas encore sur de moi mais à présent, je ne voulais plus avoir l'opportunité de me défiler. Les tentations sont nombreuses à Fantastiqua et je ne voulais plus prendre le risque de vouloir partir. Il me fallait un boulot en quelques sortes, une responsabilité. Je leur dit alors fixant toujours mon fils :

"Prince Kanoë, Tarod, je dois vous annoncer un décision que j'ai prise aujourd'hui".

Je marquais une pause et tout en sachant que l'ange avait déjà compris ce que j'allais dire, je repris :

"Je désire devenir membre de votre armée votre altesse et combattre pour vous aux côtés de mon mari".

Je me tournais plus vers Tarod et rajoutais :

"Je veux servir la même cause que toi et ne jamais avoir à te quitter. Je veux aider à protéger ce règne pour que notre famille vivent en sécurité sous la gouvernance d'un prince digne de ce nom".

Un large sourire s'afficha sur mon visage. Enfin, c'était dit.

Je discutais un peu avec l'elfe, Décidée à partir rapidement, je m'apprétais à mettre fin à la conversation quand un étrange individu se posta devant nous

Miss Kaïri Rima content de voir que vous ètes toujours intacte

Il avait une aura sombre qui dégageait quelque chose d'inconnu. Au premier abords, je ne l'aimais pas, bien qu'il semblait aussi noir que moi.
Il regardait l'elfe et semblait perturbé... Sa tête me disais quelque chose, ou l'avais-je vu? Enfin, avec ma gentillesse légendaire, je lui disais:

On se connait?

Il se présenta alors en bafouillant légèrement ce qui me fit sourire, un sourire ironique bien entendu:

« za…. Zarathos Hellfire pour vous servir »

Quoi! Le capitaine de l'armée de Fuma!? Je me souvenais maintenant de sa tête lors de la guerre à laquelle j'avais pris part par accident.
Que faisait-t-il ici? Je crispais mes main sur ma faux mais réfléchit un instant. S'il avait réussit à entrer au château sans problème et qu'il venait se présenter d'emblé à des soldats de Kanoë, c'est qu'il n'avait rien à craindre. De plus, je ne voulais pas déranger mon prince qui discutait avec Fély et son épopux.

Je le fixais de mes pupilles rouges sang puis me tournais vers l'elfe. Je demande ce qu'elle allait dire...

Quand Fely m'eut tout décris, elle partit rejoindre son époux. Elle me laissa donc seule avec peau blanche. Nous discutâmes un moment puis quand je sentis qu'elle voulais couper court à notre conversation pour rentré dans ses appartements un homme vint nous aborder.

- Miss Kaïri Rima content de voir que vous êtes toujours intacte.

Cet homme ... Enfin si s'en était un, semblait connaitre peau blanche mais je me doutais bien que sa tête a lui, ne lui disait rien. Il se tourna vert moi et je sentis son ... Trouble ? peut être, je n'aurais sus le décrire. Peau blanche interrompit le fil de ma pensée en lui demandant avec son tact légendaire :

- On se connait ?

Une réplique qui me fit sourire. Décidément, elle m'avait manquée elle. L'homme souris et se présenta alors :

- Za…. Zarathos Hellfire pour vous servir.

Je rêve ou il bafouillait ?! Hum, Zarathos ce nom me disait vaguement quelque chose ... Mais oui ! Sans afficher aucune expression sur mon visage je lança d'une voix calme en lui rendant son sourire :

- Alyanah Ni'hal, Ravie de rencontrer celui qui glorifie tant l'armée de Fuma.

Je me demander bien comment ce faisait il qu'il soit ici en pareil occasion, mais c'est qu'il devait être ami avec l'un des deux époux, les soldats l'aurait arrêté sinon. D'un geste discret, je caressa le poignard que j'avais sur ma cuisse en me félicitant d'y avoir pensé. il ne me servirait peut être pas, mais mieux vaut prévenir que guérir et dans des cas comme ça, on est content d'y avoir pensé. Je continua d'une voix plus calme qu'elle n'aurait du l'être.

- Que nous vaut le plaisir d'accueillir un haut gradé de l'armée de Fuma ?

Kanoë arriva vers nous et s'enquit du bon déroulement de la cérémonie. Fel répondit pour nous deux et je ne pus qu'acquiescer. C'était tout simplement... parfait ? Néanmoins, le Prince semblait trouver tout cela très naturel, puisqu'il ne s'attarda pas mais poursuivit plutôt :

- Leef a l’air de bien s’amuser, ces enfants sont inépuisables. Ca fait plaisir à voir…

Inépuisable... en effet, le Prince ne pensait pas si bien dire. Il allait falloir que je lui parle de mon fils assez rapidement à ce propos... Chassant bien vite ces idées noires, je remis à plus tard ce sujet fâcheux. D'autant plus que Fel réclamait toute notre attention :

-Prince Kanoë, Tarod, je dois vous annoncer un décision que j'ai prise aujourd'hui.

Je... n'aimais pas ça du tout. J'essayai de garder une expression neutre, mais la dernière fois que Fel a pris une décision... disons que cela avait plutôt mal fini. Je m'attendais au pire.

-Je désire devenir membre de votre armée votre altesse et combattre pour vous aux côtés de mon mari.

A - R - G

Je ne savais pas quoi penser, et d'ailleurs Fel ne m'en laissa pas le temps. A la fois soulagé et épouvanté, je l'entendis poursuivre :

- Je veux servir la même cause que toi et ne jamais avoir à te quitter. Je veux aider à protéger ce règne pour que notre famille vivent en sécurité sous la gouvernance d'un prince digne de ce nom.

Si Fel nous offrait son plus beau sourire, moi, je ne souriai pas du tout. Mon visage était fermé, et j'essayai de ne pas m'opposer fermement à cette décision. Certes, cela lui donner une raison de plus pour ne plus jamais s'éloigner de moi... Mais quels risques ! En l'espace de quelques secondes, je trouvai au moins une dizaine de bonnes raisons pour m'opposer à ce choix. Pourtant, les seuls mots qui parvinrent à franchir mes lèvres furent :

- C'est... bien.

Mais comme d'habitude, il ne fallut pas plus de deux secondes aux deux autres pour comprendre que je ne trouvais pas ça bien du tout. Devant le regard interrogatif de Kanoë et celui insistant de Fel, je décidai de jouer franc. Regardant Fel dans les yeux, j'annonçai avec sincérité :

- Ecoute, j'apprécie vraiment ce que tu fais mais...

Mauvais départ, reprenons.

- Je comprends parfaitement pourquoi tu voudrais t'engager...

Faux départ, deuxième.

- Je ne crois pas que ce soit une bonne idée, lâchai-je un peu inutilement.

Fallait-il vraiment que je donne mes raisons ? A voir leur tête, oui...

- Je risque ma vie pour cette cause, c'est peut être suffisant tu ne crois pas ? Je ne supporterai pas de te savoir en danger, encore moins de te perdre ! Tu pourrais très bien rester au chateau et t'y trouver une place ! Il y a tant à faire ! Tu peux embrasser les idéaux de Kanoë, mais de là à te battre ! Pense à Leef ! Qui veillera sur lui lorsque la guerre éclatera si nous sommes deux au front ?

Mes yeux cherchaient les siens, paniqués. Je me tournai vers mon ami, oubliant les convenaces, cherchant juste un soutien :

- Dis lui à quel point c'est stupide ! Elle n'a pas à risquer sa vie inutilement comme ça ! Dis le lui... ajoutai-je à mi-voix.

J'étais complètement perdu. De manière égoïste, c'était évidemment clair que je rêvai que Fel s'engage. Tous les deux, quoi qu'il arrive, plus jamais séparés... Mais la donne avait changé. Il y avait Leef, et la vie de Fel importait plus que mon bonheur personnel. D'un autre côté, si tel était son choix, avais-je seulement le droit de m'y opposer ?

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Une cérémonie bien spéciale [PV (Tarod, Fel, Kanoë)=prio et tous ceux qui le veulent]

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