Le temps passe comme personne ne peux le soupçonner et même moi un fils de dieu ne pouvais prédire qu'une telle rivalité régnerait dans mon armée par ma faute. Les avoir diviser en quatre groupe était une erreur et si Kanoë venait a s'en rendre compte sur le champ de bataille ça sonnerait le glas de la défaite. Le soleil était haut dans le ciel et il éclairait mon bureau d'une douce lumière. J'étais là assis à mon bureau silencieux le regard dans le vide, cherchant une solution a ce problème retournant ce tracas dans tous les sens ne trouvant aucune autre alternative que de rétrograder voir éliminer certain de mes hommes je fus pris de rage. C'est dans cet excès de violence que je serrais les poing pour frapper durement le bureau le brisant en deux dans le sens de la longueur créant un fracas du diable. Paniquer et inquiet les deux garde qui se trouvaient à la porte de la pièce entrèrent en trombe et me regardèrent de travers avant de me demander ce qui se passait. Mon regard étais noir je ne tolérait pas que des être inférieur telle que de vulgaire garde viennent m'interrompre dans mes penser et tenter de s’immiscer dans ma tête. Ce fut sur un ton ne laissant aucune opposition possible et forçant le respect que je leur ordonnai de quitter mon bureau et de ne laisser en aucun cas quelqu'un me déranger sauf s'ils tenaient à nettoyer du sang toute la journée e avant que ce soit leurs propre sang qui serait bon à ramasser. C'est blanc comme un linge et dans la hâte que les deux garde prirent leurs jambes a leurs cous et sortirent du bureau.

Ca y est j'étais enfin seul, mais le problème étais toujours présent et d'actualité et il me fallait une liste des effectifs de mon armée afin de savoir qui tuer pour régler mes problème et enfin pouvoir réorganiser mes effectifs. Peut être trouver une autre solution très probablement beaucoup plus complexe conserver mes effectif et tout revoir ce que j'ai fait depuis mon retour du royaume des dieux. J'étais toujours assis sur mon fauteuil concentré, le regard noir perdu dans le vide. Dans un large mouvement de la jambe le propulsait la table brisé qui reposait sur mes genoux contre la porte dans un bruit à en réveiller les mort. Ravis de ne voir personne pénétrer dans mon antre et feindre l'inquiétude je trouvai le courage d'accorder un petit effort pour réfléchir et sauver la vie de mes homme même si cela ne me plaisait guère de devoir réfléchir à quelque chose de si futile.

Plus d'une heure s'était écouler depuis que ce problème s'était imposé à moi et aucune solution excluant la mort ne me convenait pourtant je devais faire quelque chose n'imposant pas des effluves de sang s'écouler de long de mon arme. Depuis mon retour chez les homme j'ai passer mon temps a tuer cela ne me gênait absolument pas mais le respect de mes homme se transformeraient en peur puis il m'abandonneraient s'était une évidence telle était la faiblesse de l'homme face à trop fort. L'évidence était pourtant à porter il me suffirait de rétrograder les propriétaire de mes anneau à des moins que rien et mater une quelconque rébellions dans le sang et avec ma lame. C'est hors de moi et fou de rage d'avoir manqué cette option et tourné autour si longtemps sans avoir mis la main dessus, j'ordonnai aux gardes se trouvant devant la porte de venir dans le bureau en mois de trois seconde ils étaient devant moi aux gardes-à-vous attendant mes instruction. Riant intérieurement de constater leurs craintes dans leurs yeux c'est sur un ton indifférent que je leurs annonçai de réunir tout mes homme dans la cours d'exécution rebaptisé pour l'événement qu'a été la mort d'Uryû et ce fus d'ailleurs en souriant de je prononçai le nom de cette place.

Une heure à toute une armée pour se réunir c'est une chose impossible mais cela m'amusait surtout de leurs imposer quelque chose d'aussi idiot. Bon il est l'heure de se rendre dans la cours du château, le soleil commençait à décliner j'observais, debout sur une colonne le corps luminescent, mon armée se réunir dans la cours du château, une heure est passé le temps est écoulé c'est l'heure de ma prise de parole :

-Bonsoir à vous guerrier, quelle jolie soirée vous ne trouvez pas ? (Sur ses mots mon regard brillait d'inhumanité) Observez vous divisé par ma faute quoi de plus honteux que mon acte. Je vois que certain manque à l'appelle leur sanction sera de resté au château pour l'année à venir. (Je m'amusait je n'avais rarement assister à quelque chose d'aussi hilarant, dans très peux de regard la peur n'était pas lisible et la plupart osait se faire appelé guerrier sanguinaire) Nous sommes tous ici pour remédier à mon erreur et dès maintenant je supprime les quatre garnison qui vous divisaient. (en claquant des doigts les quatre bague que j'avais donné au commandant partirent en poussière) Vous serez maintenant un seul corps de bataille dirigé par un seul homme qui recevra ses ordre par nulle autre que moi. (Mon regard se promena dans l'assemblé cherchant celui que je désignerait et il était déjà tout désigné) Zarathos tu dirigera l'armée à mes cotée et Nightmar tu dirigera un bataillon.

Sur cette conclusion je pris mon envol et retournai dans mes appartement m'isoler et réfléchir à la tournure des événements à venir.

Zarathos le sentait depuis peu les tensions entre les légions ne cessait de monter et de devenir intenable le sud n'arrêtait pas de se battre avec les trois autre et à la fin l'armer du prince était plus une bande de chiens enrager

Le démon était dans sa demeure dans les sous sol de l'aile sud du château et frapper et casser toute ses armures ses garde le fuyait comme la peste quand il était dans un état comme sa
"Non d'un démon dans une église mais ou j'ai bien put me tromper rahhhh je vais finir par devenir fou"


Le démon frappa le mur se qui fit tomber de la poussière et trembler toute la demeure
Puis il se calma en prenant une pose dans la pièce en désordre et ouvra une grande bouteille de vodka saké
"Santé papa et aide moi à trouver le courage de remédier a cette anarchie"

Il salua la seule chose intacte un portrait de famille ou on voyait Zarathos et ses père adoptif
Soudain la porte s’ouvra et deux troll des ténèbres entrèrent et regardèrent leur maitre
"Seigneur une réunion a lieux dans 10 minutes dans la cour d'exécution ""10minutes??? Comment sa se fait ?""Il semblerait que notre prince lui aussi soit en colère et a demander une réunion mais on vient juste d'être prévenu par nos ombre "

Zarathos brisa son verre "bande d'abruti d'orgueilleux " dit il en parlant des 3 autres légions de fuma
"Prévenez tout le monde on se magne je veux la légion prête propre dans 9 minute"

Les trolls s'exécutèrent et en 9 minute l'armé de fuma complète était présente et belle Zarathos arriva dans sa tenue de cérémonie noir sa cape descendait au sol et ses deux katana brillait au soleil sa forme humaine imposait le respect
Il se plaça devant toute sa légions se prosterna devant le prince et se releva en étant droit et fier

-Bonsoir à vous guerrier, quelle jolie soirée vous ne trouvez pas ? Observez vous divisé par ma faute quoi de plus honteux que mon acte. Je vois que certain manque à l'appelle leur sanction sera de resté au château pour l'année à venir.
Nous sommes tous ici pour remédier à mon erreur et dès maintenant je supprime les quatre garnisons qui vous divisaient.

Zarathos vit alors son anneau tombait en poussière et il senti un poids mais aussi une partie de lui partir

Vous serez maintenant un seul corps de bataille dirigé par un seul homme qui recevra ses ordres par nulle autre que moi.

Le regard du prince cherchait mais semblait déjà savoir qui il avait choisi et Zarathos s'aperçu que c'était lui
Zarathos tu dirigeras l'armée à mes cotée et Nightmare tu dirigeras un bataillon.
Le prince parti laissant l'armé seul
Zarathos alors regarda le prince s'envolait et sourit puis en apercevant les anciens capitaines de légions et tout en avançant d'un pas léger et fort il se mit sur l'estrade et lança d'une voie forte qui retendit en dehors du château et dans les murs
"Je ne me présenterai pas vous savez tous qui je suis et mes fait d'arme nous avons était séparer en pensant que nous pouvions agir mieux mais le résulta est là vous n'avais fait que affaiblir l'armé alors je vous promets de remettre de l'ordre dans cette armé qu'importe ou vous étiez avant vous serez tous maintenant pour moi des simples soldats qui devrons me faire preuve de leur capacité et puissance "

Zarathos se mit à bruler et a montrer sa forme de démons squelette "quiconque ne respectera pas le prince l'armer et moi se verra punir d'une manière radical"

Le démon parti alors et laissa place aux vétérans et ceux qui aurait le courage de montré leur force d’âmes

Natika devait se rendre comme tout reste de l'armée de Fûma pour une réorganisation de celle-ci. Mais Comme Natika est nouvelle, elle se demande pour quoi doit-elle y aller et pourquoi tout ce chambardement pour changer une armée. Natika avait également mis sa tenue de cérémonie. Mais reste habiller en clairs comme à son habitude. Mais Natika se sentait perdu la dedant elle 'avait pas encore l'habitude de tout ça elle venait tout juste d'intégré l'armée. Natika écouta le prince Fûma comme les autres guerriers.

Ensuite elle écoutât parler le capitaine Zarathos qui semble être le capitaine de la troupe. Natika quand elle se pose beaucoup de questions surtout depuis qu'elle sait qu'elle a un frère jumeau, mais qu'elle ne sait pas où il se trouve. Par-contre Natika ne vit pas toute l'armée de Füma et se demande pourquoi ils ne sont pas là alors que tout ça semble si important, quand on entend le prince Fûma et son capitaine parler. Natika attendit elle aurait certainement des réponses à ces questions par la suite.

Natika se demande un moment ce qu'elle est venu faire là dedans, mais ça dura longtemps, son envie de suivre la trace de ses parents reprit le dessus-bien vite. A ce moment-là Natika vit le prince Füma retourner à ses appartements sans aucun doute. Parc contre Natika ne vit pas le chef de bataillon Nightmar elle se demande ou peut bien être celui-ci. Elle ignore en revanche tout ce passe d'autre autour d'elle. elle ne pense plus qu'à tout ce qu'elle vient d'entendre sans en comprendre la totalité.